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Le printemps dans le parc national de la Jacques-Cartier.

Printemps dans le parc national de la Jacques-Cartier au Québec.
Printemps dans le parc national de la Jacques-Cartier au Québec.

Normalement on emploie le ratio 3 : 2 ou 4 : 3 pour afficher dans le mode vertical. Mais le format 16 : 9 de la photo ci-dessus permet de montrer autant les réverbérations dans l’eau qu’une portion significative du paysage. Donc, peu importe les conventions et ce qui rend les puristes heureux, on utilise ce qui rend justice à notre impression première.

Qu’est-ce qui a retenu mon attention dans cette scène ? La très large gamme des tons de vert, l’alternance des parties claires et des régions ombragées dans le paysage et les reflets, la rondeur des feuillus et les pointes des conifères, l’atmosphère de l’endroit et, enfin, la présence humaine. Cela s’observe en une fraction de seconde et le cliché se prend avant que le canot se retrouve dans la zone ombragée à gauche.

Chalet historique dans le parc national de la Jacques-Cartier au printemps au Québec.
Chalet historique dans le parc national de la Jacques-Cartier au printemps au Québec.

La photo ci-dessus montre un chalet historique dans le parc national de la Jacques-Cartier au printemps. On ne peut plus le louer, mais il constitue un atout pour les amateurs de photographie. À cet endroit, l’utilisation de la planche à pagaie se fait sans danger à cause d’un courant vraiment faible.

Attraction touristique dans le parc national de la Jacques-Cartier au Québec.
Attraction touristique dans le parc national de la Jacques-Cartier au Québec.

Durant la même journée et sur la même rivière, mais quelques kilomètres en amont, des gens tentent pour la première fois une descente dans une embarcation gonflable sur un plan d’eau plus mouvementé.

Le premier groupe se lance alors que le deuxième observe en attendant son tour et en tentant d’apprendre des erreurs des autres. Il arrive que les pagayeurs restent pris sur le dessus d’une roche plate à fleur d’eau ; ils doivent alors faire preuve d’initiative pour se libérer et poursuivre leur trajet. Parfois, des canotiers se retrouvent à l’eau et le personnel de la Sépaq https://www.sepaq.com/  doit les dépanner.

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Une journée de printemps 2024 à l’île d’Orléans.

Un sportif profite des grands vents de l'île d'Orléans au printemps 2024
Un sportif profite des grands vents de l’île d’Orléans au printemps 2024

Une visite d’une seule journée à l’île d’Orléans pour une session de photographie a suffi à capturer une très grande variété de conditions nuageuses en avril 2024. Au printemps, lorsque l’air humide et instable traverse la chaîne de montagnes au nord du fleuve St-Laurent, on peut s’attendre à tout sur l’île d’Orléans. Ci-dessus, un amateur de planche aérotractée exerce son art entre les averses localisées. Tout ce qui compte pour lui, ce sont les forts vents.

Maisons colorées de l'île d'Orléans 2024
Maisons colorées de l’île d’Orléans 2024

À quelques kilomètres de la route du Mitan, de belles maisons  et un peu de ciel bleu contrastent avec les averses ayant lieu ailleurs sur l’île. On peut constater que la couche nuageuse n’est jamais bien épaisse.

En regardant vers le nord à partir de l'île d'Orléans, printemps 2024.
En regardant vers le nord à partir de l’île d’Orléans, printemps 2024.

Ci-dessus, un cumulus bourgeonnant (TCU) en provenance du nord s’approche du fleuve St-Laurent en fin d’après-midi. Il traversera possiblement le fleuve en direction de l’île, s’il n’a pas entretemps perdu un peu de sa vigueur à cause de la subsidence, ce phénomène qui force l’air à se compresser et se réchauffer lorsqu’il est forcé de descendre le long d’une chaîne de montagnes.

Bateaux à voile sur l'île d'Orléans au printemps 2024
Bateaux à voile sur l’île d’Orléans au printemps 2024

La forme des nuages de la photo ci-dessus donne une bonne indication de la force des vents aujourd’hui. On l’entend siffler à travers les cordages et entre les mâts des voiliers de la marina de la municipalité de St-Jean, île d’Orléans. Lors de ma visite, quelques propriétaires préparaient leur voilier pour les journées plus chaudes du mois de mai.

Une maison de l'île d'Orléans au printemps 2024
Une maison de l’île d’Orléans au printemps 2024

J’apprécie beaucoup la scène ci-dessus, mais j’admets que certains pourront lui trouver un côté sombre, sinon sinistre. C’est d’ailleurs cet aspect un peu dérangeant qui a attiré mon attention et que j’ai tenté de capturer.

Une embarcation nécessite un peu de peinture sur île d'Orléans, printemps 2024.
Une embarcation nécessite un peu de peinture sur île d’Orléans, printemps 2024.

Dans cette dernière photo, le ciel est pratiquement dégagé, ce qui permet d’exploiter pleinement les contrastes. Un traitement pseudo-HDR   permet de faire ressortir la peinture d’une embarcation qui a connu de meilleures années.

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Le parc national de la Jacques-Cartier en hiver.

Le randonneur entrant dans la forêt du parc national de la Jacques-Cartier hiver 2024
Le randonneur entrant dans la forêt du parc national de la Jacques-Cartier hiver 2024

La province de Québec offre durant l’hiver 2024 l’entrée gratuite  quelques jours par semaine dans le parc national de la Jacques-Cartier. On y rencontre alors davantage de gens. Le randonneur désirant le calme absolu doit privilégier les journées payantes.

Malgré tout, en observant bien, il est toujours possible d’observer un promeneur isolé, comme dans la photo ci-dessus. La plupart des gens empruntent les sentiers balisés pour plus de facilité, mais d’autres, comme l’individu ci-dessus, s’aventurent en raquettes près de la rivière Jacques-Cartier qui est complètement recouverte de neige à ce temps-ci de l’année.

Paysage du parc national de la Jacques-Cartier, hiver 2024.
Paysage du parc national de la Jacques-Cartier, hiver 2024.

À environ trois kilomètres du chalet de découverte et de services se trouve un pont. De là, le randonneur peut capturer de très belles scènes. En hiver, on peut obtenir un effet intéressant en se positionnant près des berges.

Novembre 2023 dans le parc national de la Jacques-Cartier au Québec.
Novembre 2023 dans le parc national de la Jacques-Cartier au Québec.

Dans le parc, devant cette scène, j’éprouve une sensation de grande tranquillité. Pourtant, il n’y a aucun élément spectaculaire. C’est plutôt l’ensemble des composantes qui est en parfaite harmonie : les reflets dans l’eau, un peu de neige bleuâtre ici et là, des broussailles et quelques arbres penchés et éclairés de côté par une douce lumière de fin d’après-midi. Les grands troncs occupant la majorité de la scène, j’ai choisi un format vertical pour la composition photographique.

Parc national de la Jacques-Cartier hiver 2024
Parc national de la Jacques-Cartier hiver 2024

Ci-dessus, la scène capte l’attention par sa combinaison de lignes horizontales, verticales et obliques en même temps que par ses alternances de noir et de blanc au premier plan. Je me suis positionné pour inclure dans la photo une grosse branche qui entre dans le cadre par le coin supérieur droit.

On trouve au premier plan de l’eau libre, de la glace recouverte de neige, de la glace pure et de nouveau de la glace recouverte de neige. Au moyen plan, des conifères et des feuillus. En arrière-plan, une forêt qui laisse voir la neige au sol dans la montagne. Je n’ai laissé qu’une pointe de ciel, ce dernier n’offrant aucun intérêt particulier en cette journée nuageuse de février, si ce n’est que de rajouter un peu de blanc pour compléter l’alternance des couleurs.

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Le roman graphique Magnum Génération (s).

Le roman graphique Magnum Génération (s)
Le roman graphique Magnum Génération (s)

Au moyen de dessins et de superbes photographies, ce roman graphique relate les évènements qui ont contribué à la création de Magnum, la célèbre agence internationale de photographie.

Avant Magnum, on ne trouve que des photographes qui tentent de se faire connaître et de gagner un mince pécule face aux géants comme Time et autres médias qui dictent leurs volontés. Ces grandes compagnies recadrent les images originales, ne reconnaissent pas le droit d’auteur et engrangent des profits gigantesques sur le dos des photographes comme Robert Capa, David « Chim » Seymour,   Gerda Taro, Henri Cartier-Bresson et George Rodger. C’est en réaction aux abus que ces photographes créeront la nouvelle agence.

Le livre nous conscientise sur les risques énormes pris pour ramener des clichés des différents conflits planétaires. Robert Capa et Gerda Taro y perdront même la vie dans le feu de l’action.

Une page du roman graphique Magnum Generations
Une page du roman graphique Magnum Generations

On assiste à l’évolution de Magnum, son internationalisation et le changement de sa vocation première. D’un travail initialement axé sur la couverture des guerres, les photographes se tournent progressivement vers une diversification de leurs activités, autant pour accommoder les besoins spécifiques des médias que des productions cinématographiques.

L’agence les protège désormais des abus. Les photographes réalisent cependant qu’ils doivent demeurer à l’écoute des donneurs de contrats pour survivre financièrement. Ils se réservent tout de même une marge de manœuvre pour la création pure, selon la personnalité de chacun et chacune et l’humeur du jour.

De garder en vie cette agence constituée de professionnels aux ambitions différentes n’est pas une mince tâche. Elle connaît des crises, des schismes, des réinventions toutes essentielles à l’évolution de cette institution de renommée internationale.

Pour ceux qui ignorent tout de Magnum, ce roman graphique propose une première approche très accessible.

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Titre: Magnum Generation (s)

Scénario: JD Morvan

Dessin: Arnaud Locquet, Scietronc, Rafael Ortiz

Couleur: Hiroyuki Ooshima

Éditions: Caurette, ©2022

ISBN: 978-2-38289-028-8

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Roman graphique et bandes dessinées

Le roman graphique Jours de sable

Le roman graphique "Jours de sable" par Aimée de Jongh.
Le roman graphique «Jours de sable» par Aimée de Jongh.

Le roman graphique « Jours de sable » se veut un rappel historique du fameux Dust Bowl qui a frappé le centre des États-Unis entre 1930 et 1940. Ce furent dix années de misère qui inspirèrent John Steinbeck   pour son œuvre « Les raisins de la colère ».

Les tempêtes de sable et de poussière qui ont envahi une partie de l’Oklahoma, du Kansas, du Texas, du Nouveau-Mexique et du Colorado provenaient d’une multitude de causes combinées, dont la surutilisation du sol par les agriculteurs et des sécheresses à répétition.

Le Dust Bowl américain
Le Dust Bowl américain

En rajoutant les facteurs liés à la crise économique et aux multiples épidémies, on peut comprendre l’exode massif des ménages américains. Ils laissèrent tout derrière eux, incluant plusieurs membres de leur famille décédés des suites de complications respiratoires dues à la poussière. La plupart se dirigèrent vers la côte ouest, mais cet afflux important de la population ne fit qu’augmenter le chômage déjà présent dans cette région.

Une planche du roman graphique Jours de sable
Une planche du roman graphique Jours de sable

Le plus étrange, c’est que des décennies plus tard, les changements climatiques vécus aujourd’hui dans ces mêmes états pourraient aider à la répétition du phénomène, sans qu’il couvre nécessairement une période aussi longue.

L’autrice Aimée de Jongh met en scène des personnes fictives, mais le scénario respecte la réalité vécue par la population. Dans son histoire, un jeune photographe quitte New York en 1937 avec le mandat d’aller faire un reportage sur le Dust Bowl. On lui a indiqué les sujets à couvrir, mais il prend conscience assez vite qu’il a affaire à un drame humain aux proportions insoupçonnées.

Le personnage principal du roman graphique tente de faire son travail dans la tempête de sable
Le personnage principal du roman graphique tente de faire son travail dans la tempête de sable

De demander à des gens qui souffrent et qui ont tout perdu de prendre la pose pour des médias de New York ne s’avère pas aussi simple qu’il l’avait cru. La situation se complique encore davantage lorsqu’il apprend à connaître ces personnes et qu’il peut lui-même expérimenter leurs difficultés.

En plus des cases habilement dessinées qui font le régal du lecteur, ce dernier a accès à de nombreuses photos d’époque glanées dans plusieurs musées, ainsi qu’à du contenu historique officiel. J’ai adoré ce bouquin gagnant de plusieurs prix en Europe.

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Titre : Jours de sable

Autrice : Aimée de Jongh

Éditions : Dargaud, 2022

ISBN : 978-2-5050-8254-5

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Pointe-au-Père et L’Islet 2023

Musée maritime du Québec à l'Islet 2023
Musée maritime du Québec à l’Islet 2023

De passage à L’Islet, un arrêt s’impose au Musée maritime du Québec. Ci-dessus, on aperçoit le brise-glace Ernest Lapointe, chargé de dégager le fleuve Saint-Laurent entre Montréal et Trois-Rivières pendant 37 ans.

L'hydroptère Bras d'Or au musée de l'Islet
L’hydroptère Bras d’Or au musée de l’Islet

Sur le terrain se trouve également le fameux HMCS Bras d’Or. Cet hydroptère fut créé au Canada lors de la guerre froide pour surveiller les eaux canadiennes contre l’intrusion possible de sous-marins soviétiques. Comme on le mentionne dans ce bateau-musée, « il était obligatoire de posséder un double brevet de pilote d’avion et de navigation pour conduire cet engin doté d’ailes autoportantes ».

Le sous-marin HMCS Onondaga au musée de Pointe-au-Père, Québec 2023
Le sous-marin HMCS Onondaga au musée de Pointe-au-Père, Québec 2023

Un peu plus à l’est, on arrive à Pointe-au-Père, dans la région de Rimouski. Là se trouve le seul sous-marin musée au Canada. Le public peut visiter l’intérieur du HMCS Onondaga, utilisé jusqu’en 2000. Le voyageur traverse 17 stations pour apprendre la vie à bord d’un submersible. 

Intérieur du sous-marin canadien Onondaga à Pointe-au-Père
Intérieur du sous-marin canadien Onondaga à Pointe-au-Père

Le mécanicien travaillait pendant des périodes de deux mois consécutifs à la surveillance des moteurs, dans cet endroit bruyant et empestant le gasoil. Un espion allemand débarqué par un sous-marin de nuit en Gaspésie avait été repéré dans un autobus parce qu’il sentait fortement le diesel.

Le musée de l'Empress of Ireland à Pointe-au-Père, Québec 2023
Le musée de l’Empress of Ireland à Pointe-au-Père, Québec 2023

Ci-dessus, un cliché d’une des salles du Musée de l’Empress of Ireland. Son naufrage dans le fleuve Saint-Laurent fut le deuxième plus coûteux en vies humaines après le Titanic. Parmi tous les objets remontés de l’épave se trouve ce squelette en porcelaine qu’un des passagers avait dans sa cabine.

Tête de squelette trouvée dans l'Empress of Ireland
Tête de squelette trouvée dans l’Empress of Ireland

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La région de Rivière-du-Loup 2023

Kamouraska et le fleuve Saint-Laurent 2023
Kamouraska et le fleuve Saint-Laurent 2023

Le cliché montre une vue des terres fertiles le long du fleuve Saint-Laurent, dans la région de Kamouraska. Un observatoire public permet aux visiteurs d’admirer le panorama.

Activité de kayak de mer sur le St-Laurent près de Rivière-du-Loup.
Activité de kayak de mer sur le St-Laurent près de Rivière-du-Loup.

En soirée, à Rivière-du-Loup, ces deux kayakistes profitent d’un fleuve Saint-Laurent tranquille pour s’adonner à leur sport favori.

Le fleuve St-Laurent vu de Rivière-du-Loup
Le fleuve St-Laurent vu de Rivière-du-Loup

Ce cliché HDR d’une unité de l’Auberge de la Pointe à Rivière-du-Loup compte sept photos superposées, pour une somme totale de 354 mégaoctets de données. Cela permet d’obtenir un ciel correctement exposé et de faire en sorte que les chambres au premier plan ne soient pas complètement obscurcies.

Rochers tachetés de orange à Rivière-du-Loup
Rochers tachetés de orange à Rivière-du-Loup

Près du traversier Rivière-du-Loup — Saint-Siméon, les rochers prennent ici et là une couleur orangée. Cela offre un beau contraste lorsque le ciel bleu apparaît.

Le traversier vers St-Siméon, province de Québec 2023.
Le traversier vers St-Siméon, province de Québec 2023.

Le voyage s’effectue vers Saint-Siméon sur un fleuve docile. Un zoom grand-angle Canon EF 11-24mm F/4 USM autorise la capture de la scène sans déformation exagérée.

Île-aux-Lièvres et le fleuve St-Laurent au Québec 2023
Île-aux-Lièvres et le fleuve St-Laurent au Québec 2023

Ci-dessus, on voit l’Île-aux-Lièvres à partir du traversier. Les multiples couches nuageuses créent des effets de stries sur le fleuve Saint-Laurent.

Auberge la Châtelaine Saint-Laurent, La Malbaie 2023.
Auberge la Châtelaine Saint-Laurent, La Malbaie 2023.

Voici un cliché d’un des corridors de l’Auberge Châtelaine, à La Malbaie. On s’y arrête entre autres pour l’excellent déjeuner inclus offert au lendemain d’une bonne nuit de repos. Ici, pas de gros bacon et de patates graisseuses : seulement du « fait maison », autant pour le pain que les confitures.

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Le Norwegian Joy à Québec

Le navire de croisière Norwegian Joy amarré au quai 22 de Québec en 2023.
Le navire de croisière Norwegian Joy amarré au quai 22 de Québec en 2023.

Le navire de croisière Norwegian Joy, qui jauge près de 168 000 tonnes, fait partie des plus gros vaisseaux qui accostent dans le Vieux-Québec en automne.

Le navire de croisière Norwegian Joy amarré à Québec à l'automne 2023.
Le navire de croisière Norwegian Joy amarré à Québec à l’automne 2023.

Il peut accueillir 3852 passagers et, pour le service à bord, on compte 1851 membres d’équipage, soit presque un employé pour deux vacanciers. Sa construction date de 2017. Malgré son jeune âge, il a bénéficié de rénovations en 2020.

Un passager glisse dans le tube au sommet du Norwegian Joy amarré à Québec en 2023.
Un passager glisse dans le tube au sommet du Norwegian Joy amarré à Québec en 2023.

Dans la photo ci-dessus, vous observez en haut à gauche un tube transparent surélevé au-dessus du pont supérieur. Au moyen d’un grossissement de la photo, on s’aperçoit que des personnes glissent à grande vitesse, la tête en bas, à l’intérieur de cette glissade d’eau. Le cliché ci-dessous vous aidera à mieux voir le type en maillot de bain rouge et bleu qui passe à vive allure. On doit régler la vitesse d’obturation de l’appareil-photo à 1/2000 pour éviter un flou de bougé.

Passager dans la glissade du Norwegian Joy en 2023.
Passager dans la glissade du Norwegian Joy en 2023.

Cette journée-là, je n’emportais qu’un zoom Canon EF 11-24 mm f/4 USM. J’ai dû recadrer quelque peu pour grossir la photo, mais on aperçoit tout de même assez bien la scène. Une partie du tube donne au sportif l’impression qu’il plonge soudainement vers le sol, car l’installation dépasse des côtés du navire.

Recherche de matières dangereuses avant l'embarquement sur le Norwegian Joy amarré à Québec en 2023.
Recherche de matières dangereuses avant l’embarquement sur le Norwegian Joy amarré à Québec en 2023.

Pendant que les gens s’amusent sur le pont supérieur, toute une équipe s’affaire à ravitailler le navire et assurer sa sécurité. On peut même observer, dans la photo ci-dessus, un chien qui fait le tour des palettes avec son maître pour détecter les possibles produits dangereux ou illicites.

Le navire de croisière Norwegian Joy à Québec.
Le navire de croisière Norwegian Joy à Québec.

Voici une dernière photo du Norwegian Joy prise de l’intérieur d’une passerelle en cèdre récemment construite près du quai 22 du port de Québec. Le soleil qui filtre à travers les barreaux offre un beau jeu de lumière, le tout capté par un zoom Canon EF 11-24 mm f/4 USM réglé sur 11 mm. On améliore encore l’effet en utilisant le mode pseudo HDR offert par les logiciels de traitement numérique.

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Photos de la ville de Québec en été

Le bar Ste-Angèle en soirée dans le Vieux-Québec
Le bar Ste-Angèle en soirée dans le Vieux-Québec

Le luminaire du bar Ste-Angèle éclaire indirectement ces citoyens du Vieux-Québec qui discutent paisiblement en cette fin de journée d’été.

Citoyens du quartier Saint-Jean-Baptiste en route pour l'ouverture du Festival d'été de Québec 2023
Citoyens du quartier Saint-Jean-Baptiste en route pour l’ouverture du Festival d’été de Québec 2023

Alors que le jour s’achève, plusieurs résidents du quartier Saint-Jean-Baptiste se rendent sur les Plaines d’Abraham au moment du Festival d’été de Québec 2023.

L'épicerie Scott dans la ville de Québec.
L’épicerie Scott dans la ville de Québec.

Le soleil couchant frappe le côté de ces bâtiments de Québec, créant deux aires à la luminosité très distinctes. De tels extrêmes posent des difficultés à l’appareil-photo. En utilisant un fichier Raw plutôt que JPEG, la correction des zones les plus ombragées et les plus claires s’en trouve facilitée.

Une jeune sud-coréenne relaxe dans le Vieux-Québec.

À l’été 2023, une touriste sud-coréenne prend une petite pause dans le Vieux-Québec après une journée de marche bien remplie à l’intérieur des remparts de la vieille ville.

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Photographier le Vieux-Québec.

Une vue du Vieux-Québec et du Château Frontenac au loin au moyen du zoom 11-24mm de Canon.
Une vue du Vieux-Québec et du Château Frontenac au loin au moyen du zoom 11-24mm de Canon.

La chance joue un facteur non négligeable dans l’acquisition d’un cliché qui sort un peu de l’ordinaire. Pour mettre le hasard de notre côté, les expéditions photo doivent se multiplier, peu importe la météo.

Lors de ma visite dans le Vieux-Québec, j’avais pensé utiliser un objectif très grand-angle Canon 11-24 mm f/4 L. Il permet de s’approcher très près d’un édifice élevé et d’obtenir des lignes verticales sans que le haut de l’immeuble disparaisse.

En effet, les autres zooms très performants exigent l’emploi d’un logiciel pour conserver un effet de verticalité presque parfaite. Mais on ne peut éviter de couper le dessus du bâtiment.

Je cherchais donc une perspective pour tirer un cliché différent du Château Frontenac. Je le voyais mieux en arrière-plan, comme point d’arrivée pour le regard, plutôt que prenant toute la place. Même de grosseur réduite, on le reconnaît avant toute autre construction.

Pour ce faire, j’ai choisi comme lieu d’entrée dans la photo un édifice à l’architecture intéressante. Il me rappelait vaguement le Flatiron Building de New York. Naturellement, l’immeuble de Québec est moins élevé et offre cet effet arrondi lorsque capturé en format grand angle.

J’ai vu de très nombreuses représentations du Vieux-Québec jusqu’à présent. Cependant, je ne me souviens pas d’avoir aperçu la rue et les vieilles constructions de cette façon. Habituellement, le bâtiment au premier plan ne demeure visible que partiellement, car on ne peut l’observer dans toute sa hauteur.

Perdu dans l’analyse de l’angle idéal, j’ai entendu un drôle de son de moteur. Sur ma gauche, une ancienne automobile avançait lentement. Elle passerait dans quelques secondes devant l’objectif du Canon 5 dsr. 

J’ai à peine eu le temps de lever l’appareil-photo et de le placer au bon endroit. La voiture gagnait déjà en vitesse et je devais saisir l’occasion. Cette auto d’époque se fondait parfaitement bien dans la scène. Seule la familiale plus contemporaine nous indique au premier coup d’œil une photo plus récente.

La modernité et le passé se rejoignent encore aujourd’hui en harmonie dans un Vieux-Québec protégé des développeurs. Pour croquer des souvenirs un peu différents, on se doit de sortir fréquemment dans la vieille ville.

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