Malgré tout, en observant bien, il est toujours possible d’observer un promeneur isolé, comme dans la photo ci-dessus. La plupart des gens empruntent les sentiers balisés pour plus de facilité, mais d’autres, comme l’individu ci-dessus, s’aventurent en raquettes près de la rivière Jacques-Cartier qui est complètement recouverte de neige à ce temps-ci de l’année.
À environ trois kilomètres du chalet de découverte et de services se trouve un pont. De là, le randonneur peut capturer de très belles scènes. En hiver, on peut obtenir un effet intéressant en se positionnant près des berges.
Dans le parc, devant cette scène, j’éprouve une sensation de grande tranquillité. Pourtant, il n’y a aucun élément spectaculaire. C’est plutôt l’ensemble des composantes qui est en parfaite harmonie : les reflets dans l’eau, un peu de neige bleuâtre ici et là, des broussailles et quelques arbres penchés et éclairés de côté par une douce lumière de fin d’après-midi. Les grands troncs occupant la majorité de la scène, j’ai choisi un format vertical pour la composition photographique.
Ci-dessus, la scène capte l’attention par sa combinaison de lignes horizontales, verticales et obliques en même temps que par ses alternances de noir et de blanc au premier plan. Je me suis positionné pour inclure dans la photo une grosse branche qui entre dans le cadre par le coin supérieur droit.
On trouve au premier plan de l’eau libre, de la glace recouverte de neige, de la glace pure et de nouveau de la glace recouverte de neige. Au moyen plan, des conifères et des feuillus. En arrière-plan, une forêt qui laisse voir la neige au sol dans la montagne. Je n’ai laissé qu’une pointe de ciel, ce dernier n’offrant aucun intérêt particulier en cette journée nuageuse de février, si ce n’est que de rajouter un peu de blanc pour compléter l’alternance des couleurs.
Durant ma randonnée dans le parc national de la Jacques-Cartier aujourd’hui, j’ai rencontré des Français, une Polonaise et sept étudiants de Singapour. Ils font partie d’un échange avec le Canada et étudient actuellement dans une université ontarienne. Ils profitent de leur semaine de lecture pour faire un petit voyage au Québec.
On ne peut mieux demander comme journée pour faire la longue excursion qu’ils ont prévue. Il faisait -13 C tôt ce matin, mais une nouvelle masse d’air a fait son entrée au Québec et au moment de faire ces photos, nous avions déjà atteint +1C avec un beau soleil et une quasi-absence de vent. J’estime cependant qu’ils devront mettre les bouchées doubles pour terminer leur excursion avant la fermeture du parc pour la soirée.
Des décorations en forme d’oiseaux sont collées sur les fenêtres du centre de découverte et de services au KM 10. J’ai tenté une photo à partir de l’intérieur du bâtiment, en incluant la forêt en arrière-plan.
En route vers Matane, un arrêt s’impose par le Parc national du Bic. La morphologie unique de la région attire immédiatement l’attention. On photographie cette scène à partir du promontoire installé à l’entrée du parc. Début septembre, les feuillus prennent un ton orangé. Ces couleurs offrent un contraste intéressant avec l’arrière-plan bleuté.
Un escalier en bois récemment aménagé le long de la plage de Matane n’a pu résister aux assauts des tempêtes. La même chose s’était produite à Percéil y a plusieurs années, alors que le mouvement des glaces avait détruit en peu de temps une superbe promenade érigée pour les touristes.
On doit repenser les constructions en bord de mer en fonction des changements climatiques.
Une quarantaine d’oiseaux se déplacent ensemble à la recherche de nourriture sur cette plage de Matane. J’ai capturé la scène avec un zoom Canon EF 11-24mm f/4 USM. Lorsqu’ils sont immobiles, ces volatiles se confondent parfaitement avec les roches des environs, comme le témoigne la photo ci-dessous. On n’en dénombre pas moins de trente-quatre au sol.
Un dernier cliché montre les rejets du fleuve sur le rivage à chaque marée. J’imagine que quelqu’un pourrait utiliser ces produits de la mer en les transformant en quelque chose de commercialisable. Des Bretons le font déjà avec succès à Ouessanten France pour certaines sortes d’algues.
Chaque semaine qui passe provoque un léger changement dans la végétation et le couvert neigeux du parc national de la Jacques-Cartier. En début de semaine, j’y étais au moment où une faible neige tombait sur la région. La glace ne recouvre pas encore entièrement la rivière, mais on peut voir sur la première photo qu’elle entoure désormais les roches au centre du cours d’eau.
De passage à L’Islet, un arrêt s’impose au Musée maritime du Québec. Ci-dessus, on aperçoit le brise-glace Ernest Lapointe, chargé de dégager le fleuve Saint-Laurent entre Montréal et Trois-Rivières pendant 37 ans.
Sur le terrain se trouve également le fameux HMCS Bras d’Or. Cet hydroptère fut créé au Canada lors de la guerre froide pour surveiller les eaux canadiennes contre l’intrusion possible de sous-marins soviétiques. Comme on le mentionne dans ce bateau-musée, « il était obligatoire de posséder un double brevet de pilote d’avion et de navigation pour conduire cet engin doté d’ailes autoportantes ».
Un peu plus à l’est, on arrive à Pointe-au-Père, dans la région de Rimouski. Là se trouve le seul sous-marin musée au Canada. Le public peut visiter l’intérieur du HMCS Onondaga, utilisé jusqu’en 2000. Le voyageur traverse 17 stations pour apprendre la vie à bord d’un submersible.
Le mécanicien travaillait pendant des périodes de deux mois consécutifs à la surveillance des moteurs, dans cet endroit bruyant et empestant le gasoil. Un espion allemand débarqué par un sous-marin de nuit en Gaspésie avait été repéré dans un autobus parce qu’il sentait fortement le diesel.
Ci-dessus, un cliché d’une des salles du Musée de l’Empress of Ireland. Son naufrage dans le fleuve Saint-Laurent fut le deuxième plus coûteux en vies humaines après le Titanic. Parmi tous les objets remontés de l’épave se trouve ce squelette en porcelaine qu’un des passagers avait dans sa cabine.
En novembre, dans le centre-ville de Québec, le vert prédomine encore sur les terrains des propriétés, même si les arbres ont perdu leurs feuilles. Mais une courte excursion de vingt minutes vers le nord dans le parc national de la Jacques-Cartier permet de constater l’arrivée de l’hiver.
Une quinzaine de centimètres de neige recouvrent déjà le sol et, passé le kilomètre 10 dans le parc, la route devient inaccessible aux voitures. Au kiosque principal se trouve un grand stationnement pour tous ceux qui désirent continuer à pied dans les sentiers environnants. On en revient plus détendu et avec quelques photos en souvenir.
Le cliché montre une vue des terres fertiles le long du fleuve Saint-Laurent, dans la région de Kamouraska. Un observatoire public permet aux visiteurs d’admirer le panorama.
En soirée, à Rivière-du-Loup, ces deux kayakistes profitent d’un fleuve Saint-Laurent tranquille pour s’adonner à leur sport favori.
Ce cliché HDR d’une unité de l’Auberge de la Pointe à Rivière-du-Loup compte sept photos superposées, pour une somme totale de 354 mégaoctets de données. Cela permet d’obtenir un ciel correctement exposé et de faire en sorte que les chambres au premier plan ne soient pas complètement obscurcies.
Près du traversier Rivière-du-Loup — Saint-Siméon, les rochers prennent ici et là une couleur orangée. Cela offre un beau contraste lorsque le ciel bleu apparaît.
Le voyage s’effectue vers Saint-Siméon sur un fleuve docile. Un zoom grand-angle Canon EF 11-24mm F/4 USMautorise la capture de la scène sans déformation exagérée.
Ci-dessus, on voit l’Île-aux-Lièvres à partir du traversier. Les multiples couches nuageuses créent des effets de stries sur le fleuve Saint-Laurent.
Voici un cliché d’un des corridors de l’Auberge Châtelaine, à La Malbaie. On s’y arrête entre autres pour l’excellent déjeuner inclus offert au lendemain d’une bonne nuit de repos. Ici, pas de gros bacon et de patates graisseuses : seulement du « fait maison », autant pour le pain que les confitures.
Dimanche 24 septembre 2023, la compagnie Quatre Natures organisait un cours certifié de kayak de mer niveau 1 sur le fleuve Saint-Laurent, à partir de l’île d’Orléans. L’inscription se faisant longtemps d’avance, on devait avoir un peu de chance lors de l’activité, car elle aurait lieu autant par beau temps que par météo pourrie.
Je tente donc ma chance. Heureusement, une journée incroyable attend les six étudiants en cette fin de septembre : plein soleil et une vingtaine de degrés Celsius. Comment doit-on se vêtir pour les circonstances ? On sait que la température du corps humain est de 37 degrés Celsius. Le kayakiste additionne la température de l’eau et celle de l’air et compare le total à la température du corps humain. Le fleuve étant cette journée-là à 18 degrés et l’air autour de 20 degrés, cela donne un total de 38. Ce chiffre étant légèrement supérieur à la température normale du corps, on peut porter des vêtements usuels pour les activités dans l’eau, et non pas une combinaison isothermique.
L’avant-midi sert à couvrir la théorie. Personne ne met un pied dans l’eau. L’instructeur discute de ce que le kayakiste doit obligatoirement avoir à bord, de la qualité relative des différents équipements, de la préparation, des communications et fréquences radio, de la sécurité et de la prévention de l’hypothermie, etc.
Après le dîner, on place d’abord les kayaks sur le gazon puis on apprend le vocabulaire relié à chaque partie du kayak. Par la suite, l’étudiant s’installe dans l’embarcation et se familiarise avec les ajustements des cale-pieds du kayak, la façon de tenir la pagaie, l’installation de la jupette, etc. On apporte ensuite les embarcations sur la rive et la pratique du kayaking débute.
Tout d’abord, on apprend les manœuvres de base. Comment embarquer et débarquer, la trajectoire que la pagaie doit suivre dans l’eau selon que l’on veut avancer, reculer, tourner. On discute de la position correcte du corps, des bras et des poignets sur la pagaie et de l’importance de la rotation du bassin pour forcer adéquatement. On réalise rapidement l’influence des vents de côté sur le kayak, spécialement lorsqu’il n’a pas de dérive ou de gouvernail.
On considère le fleuve comme étant de niveau 2 pour la pratique du kayak. Le courant est important et on compose avec des marées de trois mètres. Le vent autour de l’île est également plus fort qu’à Québec. Le pratiquant de niveau 1 est invité à se trouver des endroits de niveau 1 pour prendre de l’expérience et de ne jamais partir seul à cette étape de son apprentissage.
Pendant les exercices, on aperçoit au large les navires porte-conteneurs et les différents bateaux de plaisance. Les plus gros bâtiments génèrent des vagues qui prennent entre cinq et dix minutes avant d’atteindre la rive. Lorsque celles-ci approchent, l’instructeur avertit les kayakistes novices de se tourner face à l’onde, de façon à limiter les effets sur l’embarcation.
Puis viennent les manœuvres d’urgence : quelle est la procédure pour sortir d’un kayak qui vient de chavirer ? Comment aider quelqu’un qui a chaviré ?
Je n’ai pas eu le temps de me rendre à cette étape du cours. J’ai chaviré avant. Je ne me rappelle pas comment j’ai fait pour m’extirper du kayak et revenir à la surface, mais on ne parle pas ici d’une méthode approuvée. Le cerveau détecte immédiatement le danger et s’organise pour que le corps sorte du kayak et que la tête ne reste pas trop longtemps sous l’eau.
Dans les minutes qui suivent, l’instructeur nous enseigne comment s’effectue la sortie classique d’un kayak chaviré. Nous travaillons par groupes de deux. Au niveau 1, il n’est pas encore question d’utiliser la pagaie pour forcer la rotation du kayak.
Pour obtenir la certification KDM 1, tous doivent se pencher de côté pour que le kayak se renverse. Une fois submergé, l’étudiant se penche vers l’avant, décroche la jupette attachée au kayak, tape lentement trois fois sur la coque du kayak pour signaler qu’il est en contrôle de ce qu’il fait. On veut éviter les réactions imprévisibles. Il se pousse ensuite hors du kayak en plaçant ses mains à la hauteur des hanches sur lahiloire. Dès sa sortie de l’eau, il doit absolument se tenir le long de son kayak, grâce à la ligne de vie. Le tout ne prend que quelques secondes. Ici et là, on entend un peu tousser à la sortie de l’eau, mais sans plus. Une bonne gorgée de fleuve Saint-Laurent renforce le système immunitaire.
Vient ensuite la récupération de la personne dans l’eau. Comme nous travaillons en équipe, le ou la kayakiste en difficulté s’accroche au-devant de notre kayak et demeure là, le temps que l’on rattrape son kayak, le monte sur notre embarcation, le vide de son eau, le retourne et le positionne correctement.
La personne accrochée au kayak lâche ensuite sa prise, et selon la méthode enseignée, grimpe à nouveau dans son embarcation pendant qu’on la tient solidement. L’important ici est de conserver son centre de gravité le plus bas possible. Si la personne ne se presse pas et procède par étapes, l’opération est un succès à tous les coups.
Quelques autres exercices suivent et le retour s’effectue vers la plage de l’île d’Orléans quelques heures plus tard. Une fois tous les participants séchés et rhabillés chaudement, le cours se termine par quelques notions de météo, dont la nécessité de consulter les prévisions et les radars météorologiques ainsi que de revenir rapidement au bord lorsqu’il y a présence de cellules orageuses.
On survole également le calcul de la marée (règle des 12) et la façon d’attacher un kayak sur un toit d’auto. Combien de points de fixations ? Quels sont les équipements disponibles pour faciliter la tâche ? Où doit-on passer les harnais pour éviter de briser le kayak ? Etc.
La remise du certificat KDM 1 se fait environ huit à neuf heures après le début du cours, selon l’évaluation de l’instructeur. J’ai noté que lors du retour à la maison, dans la chaleur de la voiture, je n’avais vraiment pas envie de me presser sur la route. Mais on revient vite à la réalité quand on voit la vitesse à laquelle les autos arrivent derrière soi.
Bref, une journée bien remplie dont on se souvient!
La chance joue un facteur non négligeable dans l’acquisition d’un cliché qui sort un peu de l’ordinaire. Pour mettre le hasard de notre côté, les expéditions photo doivent se multiplier, peu importe la météo.
Lors de ma visite dans le Vieux-Québec, j’avais pensé utiliser un objectif très grand-angle Canon 11-24 mm f/4 L. Il permet de s’approcher très près d’un édifice élevé et d’obtenir des lignes verticales sans que le haut de l’immeuble disparaisse.
En effet, les autres zooms très performants exigent l’emploi d’un logiciel pour conserver un effet de verticalité presque parfaite. Mais on ne peut éviter de couper le dessus du bâtiment.
Je cherchais donc une perspective pour tirer un cliché différent du Château Frontenac. Je le voyais mieux en arrière-plan, comme point d’arrivée pour le regard, plutôt que prenant toute la place. Même de grosseur réduite, on le reconnaît avant toute autre construction.
Pour ce faire, j’ai choisi comme lieu d’entrée dans la photo un édifice à l’architecture intéressante. Il me rappelait vaguement le Flatiron Building de New York. Naturellement, l’immeuble de Québec est moins élevé et offre cet effet arrondi lorsque capturé en format grand angle.
J’ai vu de très nombreuses représentations du Vieux-Québec jusqu’à présent. Cependant, je ne me souviens pas d’avoir aperçu la rue et les vieilles constructions de cette façon. Habituellement, le bâtiment au premier plan ne demeure visible que partiellement, car on ne peut l’observer dans toute sa hauteur.
Perdu dans l’analyse de l’angle idéal, j’ai entendu un drôle de son de moteur. Sur ma gauche, une ancienne automobile avançait lentement. Elle passerait dans quelques secondes devant l’objectif du Canon 5 dsr.
J’ai à peine eu le temps de lever l’appareil-photo et de le placer au bon endroit. La voiture gagnait déjà en vitesse et je devais saisir l’occasion. Cette auto d’époque se fondait parfaitement bien dans la scène. Seule la familiale plus contemporaine nous indique au premier coup d’œil une photo plus récente.
La modernité et le passé se rejoignent encore aujourd’hui en harmonie dans un Vieux-Québec protégé des développeurs. Pour croquer des souvenirs un peu différents, on se doit de sortir fréquemment dans la vieille ville.
Bien installé sur la nouvelle terrasse de la station de la Plage de la ville de Québec, j’ai rédigé le présent article à l’abri des intempéries.
La phase 3 de la Promenade Samuel-De Champlain à Québec aura coûté environ $190 millions de dollars. Un contremaître de chantier se confie : « Le plus complexe dans tout ça a été de respecter les nouvelles exigences gouvernementales. On doit creuser beaucoup et installer les infrastructures qui empêcheront que des eaux usées soient déversées dans le fleuve St-Laurent. On doit aussi composer avec l’augmentation soudaine de l’inflation : pour éviter un dépassement de $50 millions, on doit raccourcir la largeur de la barboteuse pour les enfants et couper aux endroits où cela paraît le moins ».
Lors de promenades à vélo, j’en ai profité pour prendre quelques clichés des progrès de la construction autour de ce qui deviendra la station de la Plage.
La photo ci-dessus montre la fabrication du béton armé pour l’escalier principal.
Ci-dessous, on aperçoit les marches terminées. Ce qui deviendra la piscine (à gauche de la photo) reçoit une première couche de peinture. Une modification à la profondeur de la piscine a nécessité l’installation d’une clôture.
Cette dernière peut totalement disparaître dans le sol au moment où la baignade devient permise. Cependant, son fonctionnement cause actuellement de sérieux problèmes, comme pour toute nouveauté. Quand le moteur force trop pour faire remonter une section de clôture, celle-ci redescend d’elle-même. Il est possible que l’on ait ignoré la présence de sable à proximité, ou à tout le moins sous-estimé son effet, au moment où l’on a conçu la clôture. Ce dernier s’insère dans l’engrenage à chaque journée d’activité. Et pas question de mettre de la graisse pour faciliter la montée et la descente des panneaux : le sable collerait à la graisse et compliquerait davantage les opérations. Un technicien travaille depuis des semaines à régulariser la situation.
La piscine a maintenant reçu une couche de peinture bleue. Elle crée une démarcation nette avec la couleur de l’eau du fleuve, un effet dont profiteront aussi les photographes. Il ne reste que quelques préparatifs avant que la population puisse accéder officiellement au site. La Commission de la capitale nationale de Québec désire que les gens puissent se baigner juste à temps pour la fête nationale des Québécois, le 24 juin.
On devra désormais gérer la popularité incroyable du site auprès des citoyens. En effet, dans leur empressement à accéder à la plage, peu de gens se soucient de lire les règlements en vigueur. Cette tâche incombera aux préposés à la sécurité qui devront user de pédagogie et de diplomatie pour passer le message.