Le navire de croisière Norwegian Joy, qui jauge près de 168 000 tonnes, fait partie des plus gros vaisseaux qui accostent dans le Vieux-Québec en automne.
Il peut accueillir 3852 passagers et, pour le service à bord, on compte 1851 membres d’équipage, soit presque un employé pour deux vacanciers. Sa construction date de 2017. Malgré son jeune âge, il a bénéficié de rénovations en 2020.
Dans la photo ci-dessus, vous observez en haut à gauche un tube transparent surélevé au-dessus du pont supérieur. Au moyen d’un grossissement de la photo, on s’aperçoit que des personnes glissent à grande vitesse, la tête en bas, à l’intérieur de cette glissade d’eau. Le cliché ci-dessous vous aidera à mieux voir le type en maillot de bain rouge et bleu qui passe à vive allure. On doit régler la vitesse d’obturation de l’appareil-photo à 1/2000 pour éviter un flou de bougé.
Cette journée-là, je n’emportais qu’un zoom Canon EF 11-24 mm f/4 USM. J’ai dû recadrer quelque peu pour grossir la photo, mais on aperçoit tout de même assez bien la scène. Une partie du tube donne au sportif l’impression qu’il plonge soudainement vers le sol, car l’installation dépasse des côtés du navire.
Pendant que les gens s’amusent sur le pont supérieur, toute une équipe s’affaire à ravitailler le navire et assurer sa sécurité. On peut même observer, dans la photo ci-dessus, un chien qui fait le tour des palettes avec son maître pour détecter les possibles produits dangereux ou illicites.
Voici une dernière photo du Norwegian Joy prise de l’intérieur d’une passerelle en cèdre récemment construite près du quai 22 du port de Québec. Le soleil qui filtre à travers les barreaux offre un beau jeu de lumière, le tout capté par un zoom Canon EF 11-24 mm f/4 USM réglé sur 11 mm. On améliore encore l’effet en utilisant le mode pseudo HDR offert par les logiciels de traitement numérique.
Dimanche 24 septembre 2023, la compagnie Quatre Natures organisait un cours certifié de kayak de mer niveau 1 sur le fleuve Saint-Laurent, à partir de l’île d’Orléans. L’inscription se faisant longtemps d’avance, on devait avoir un peu de chance lors de l’activité, car elle aurait lieu autant par beau temps que par météo pourrie.
Je tente donc ma chance. Heureusement, une journée incroyable attend les six étudiants en cette fin de septembre : plein soleil et une vingtaine de degrés Celsius. Comment doit-on se vêtir pour les circonstances ? On sait que la température du corps humain est de 37 degrés Celsius. Le kayakiste additionne la température de l’eau et celle de l’air et compare le total à la température du corps humain. Le fleuve étant cette journée-là à 18 degrés et l’air autour de 20 degrés, cela donne un total de 38. Ce chiffre étant légèrement supérieur à la température normale du corps, on peut porter des vêtements usuels pour les activités dans l’eau, et non pas une combinaison isothermique.
L’avant-midi sert à couvrir la théorie. Personne ne met un pied dans l’eau. L’instructeur discute de ce que le kayakiste doit obligatoirement avoir à bord, de la qualité relative des différents équipements, de la préparation, des communications et fréquences radio, de la sécurité et de la prévention de l’hypothermie, etc.
Après le dîner, on place d’abord les kayaks sur le gazon puis on apprend le vocabulaire relié à chaque partie du kayak. Par la suite, l’étudiant s’installe dans l’embarcation et se familiarise avec les ajustements des cale-pieds du kayak, la façon de tenir la pagaie, l’installation de la jupette, etc. On apporte ensuite les embarcations sur la rive et la pratique du kayaking débute.
Tout d’abord, on apprend les manœuvres de base. Comment embarquer et débarquer, la trajectoire que la pagaie doit suivre dans l’eau selon que l’on veut avancer, reculer, tourner. On discute de la position correcte du corps, des bras et des poignets sur la pagaie et de l’importance de la rotation du bassin pour forcer adéquatement. On réalise rapidement l’influence des vents de côté sur le kayak, spécialement lorsqu’il n’a pas de dérive ou de gouvernail.
On considère le fleuve comme étant de niveau 2 pour la pratique du kayak. Le courant est important et on compose avec des marées de trois mètres. Le vent autour de l’île est également plus fort qu’à Québec. Le pratiquant de niveau 1 est invité à se trouver des endroits de niveau 1 pour prendre de l’expérience et de ne jamais partir seul à cette étape de son apprentissage.
Pendant les exercices, on aperçoit au large les navires porte-conteneurs et les différents bateaux de plaisance. Les plus gros bâtiments génèrent des vagues qui prennent entre cinq et dix minutes avant d’atteindre la rive. Lorsque celles-ci approchent, l’instructeur avertit les kayakistes novices de se tourner face à l’onde, de façon à limiter les effets sur l’embarcation.
Puis viennent les manœuvres d’urgence : quelle est la procédure pour sortir d’un kayak qui vient de chavirer ? Comment aider quelqu’un qui a chaviré ?
Je n’ai pas eu le temps de me rendre à cette étape du cours. J’ai chaviré avant. Je ne me rappelle pas comment j’ai fait pour m’extirper du kayak et revenir à la surface, mais on ne parle pas ici d’une méthode approuvée. Le cerveau détecte immédiatement le danger et s’organise pour que le corps sorte du kayak et que la tête ne reste pas trop longtemps sous l’eau.
Dans les minutes qui suivent, l’instructeur nous enseigne comment s’effectue la sortie classique d’un kayak chaviré. Nous travaillons par groupes de deux. Au niveau 1, il n’est pas encore question d’utiliser la pagaie pour forcer la rotation du kayak.
Pour obtenir la certification KDM 1, tous doivent se pencher de côté pour que le kayak se renverse. Une fois submergé, l’étudiant se penche vers l’avant, décroche la jupette attachée au kayak, tape lentement trois fois sur la coque du kayak pour signaler qu’il est en contrôle de ce qu’il fait. On veut éviter les réactions imprévisibles. Il se pousse ensuite hors du kayak en plaçant ses mains à la hauteur des hanches sur la hiloire. Dès sa sortie de l’eau, il doit absolument se tenir le long de son kayak, grâce à la ligne de vie. Le tout ne prend que quelques secondes. Ici et là, on entend un peu tousser à la sortie de l’eau, mais sans plus. Une bonne gorgée de fleuve Saint-Laurent renforce le système immunitaire.
Vient ensuite la récupération de la personne dans l’eau. Comme nous travaillons en équipe, le ou la kayakiste en difficulté s’accroche au-devant de notre kayak et demeure là, le temps que l’on rattrape son kayak, le monte sur notre embarcation, le vide de son eau, le retourne et le positionne correctement.
La personne accrochée au kayak lâche ensuite sa prise, et selon la méthode enseignée, grimpe à nouveau dans son embarcation pendant qu’on la tient solidement. L’important ici est de conserver son centre de gravité le plus bas possible. Si la personne ne se presse pas et procède par étapes, l’opération est un succès à tous les coups.
Quelques autres exercices suivent et le retour s’effectue vers la plage de l’île d’Orléans quelques heures plus tard. Une fois tous les participants séchés et rhabillés chaudement, le cours se termine par quelques notions de météo, dont la nécessité de consulter les prévisions et les radars météorologiques ainsi que de revenir rapidement au bord lorsqu’il y a présence de cellules orageuses.
On survole également le calcul de la marée (règle des 12) et la façon d’attacher un kayak sur un toit d’auto. Combien de points de fixations ? Quels sont les équipements disponibles pour faciliter la tâche ? Où doit-on passer les harnais pour éviter de briser le kayak ? Etc.
La remise du certificat KDM 1 se fait environ huit à neuf heures après le début du cours, selon l’évaluation de l’instructeur. J’ai noté que lors du retour à la maison, dans la chaleur de la voiture, je n’avais vraiment pas envie de me presser sur la route. Mais on revient vite à la réalité quand on voit la vitesse à laquelle les autos arrivent derrière soi.
Bref, une journée bien remplie dont on se souvient!
Le soleil couchant frappe le côté de ces bâtiments de Québec, créant deux aires à la luminosité très distinctes. De tels extrêmes posent des difficultés à l’appareil-photo. En utilisant un fichier Raw plutôt que JPEG, la correction des zones les plus ombragées et les plus claires s’en trouve facilitée.
À l’été 2023, une touriste sud-coréenne prend une petite pause dans le Vieux-Québec après une journée de marche bien remplie à l’intérieur des remparts de la vieille ville.
Bien installé sur la nouvelle terrasse de la station de la Plage de la ville de Québec, j’ai rédigé le présent article à l’abri des intempéries.
La phase 3 de la Promenade Samuel-De Champlain à Québec aura coûté environ $190 millions de dollars. Un contremaître de chantier se confie : « Le plus complexe dans tout ça a été de respecter les nouvelles exigences gouvernementales. On doit creuser beaucoup et installer les infrastructures qui empêcheront que des eaux usées soient déversées dans le fleuve St-Laurent. On doit aussi composer avec l’augmentation soudaine de l’inflation : pour éviter un dépassement de $50 millions, on doit raccourcir la largeur de la barboteuse pour les enfants et couper aux endroits où cela paraît le moins ».
Lors de promenades à vélo, j’en ai profité pour prendre quelques clichés des progrès de la construction autour de ce qui deviendra la station de la Plage.
La photo ci-dessus montre la fabrication du béton armé pour l’escalier principal.
Ci-dessous, on aperçoit les marches terminées. Ce qui deviendra la piscine (à gauche de la photo) reçoit une première couche de peinture. Une modification à la profondeur de la piscine a nécessité l’installation d’une clôture.
Cette dernière peut totalement disparaître dans le sol au moment où la baignade devient permise. Cependant, son fonctionnement cause actuellement de sérieux problèmes, comme pour toute nouveauté. Quand le moteur force trop pour faire remonter une section de clôture, celle-ci redescend d’elle-même. Il est possible que l’on ait ignoré la présence de sable à proximité, ou à tout le moins sous-estimé son effet, au moment où l’on a conçu la clôture. Ce dernier s’insère dans l’engrenage à chaque journée d’activité. Et pas question de mettre de la graisse pour faciliter la montée et la descente des panneaux : le sable collerait à la graisse et compliquerait davantage les opérations. Un technicien travaille depuis des semaines à régulariser la situation.
La piscine a maintenant reçu une couche de peinture bleue. Elle crée une démarcation nette avec la couleur de l’eau du fleuve, un effet dont profiteront aussi les photographes. Il ne reste que quelques préparatifs avant que la population puisse accéder officiellement au site. La Commission de la capitale nationale de Québec désire que les gens puissent se baigner juste à temps pour la fête nationale des Québécois, le 24 juin.
On devra désormais gérer la popularité incroyable du site auprès des citoyens. En effet, dans leur empressement à accéder à la plage, peu de gens se soucient de lire les règlements en vigueur. Cette tâche incombera aux préposés à la sécurité qui devront user de pédagogie et de diplomatie pour passer le message.
En effet, les stations de la Plage et de la Voile suscitent un tel engouement que l’on a dû rapidement repenser la gestion des stationnements. Lors des belles journées, des milliers de personnes se déplacent pour venir relaxer sur les sites. Les voitures arrivent chargées des enfants et du matériel de plage et tous espèrent pouvoir trouver un espace pour leur véhicule. Mais vers 10 h, il ne reste rien.
Les deux préposés à la surveillance de la plage et des bâtiments en ont plein les bras à observer tout ce qui bouge, corriger les habitudes et parlementer avec les gens. Car en plus de la rareté des stationnements, on ne tolère pas de piétons se promenant à côté de leur bicyclette, que ce soit près de la plage ou sur la terrasse surélevée.
Le règlement que l’on peut consulter sur le site de la Commission de la capitale nationale porte cependant à confusion. On y stipule que l’on doit marcher sur le site et que la circulation à vélo est interdite. On peut donc croire qu’une personne qui marche avec son vélo à ses côtés respecte les exigences puisqu’il ne le chevauche pas, mais ce n’est pas le cas.
Après un mois d’opération, un préposé à la sécurité me confie : « On a déjà avisé plus de 400 visiteurs qui se déplaçaient à pied en tenant un vélo ». Il souhaite que le mot se passe. Mais les installations destinées à recevoir les bicyclettes ne suffisent pas à la demande. Les troncs d’arbres près du bâtiment principal dépannent et servent de lieu pour y poser un cadenas lors des journées de fort achalandage.
De plus, les vélos coûtant de plus en plus cher, de nombreux cyclistes hésitent à les laisser sans surveillance pendant quelques heures, même barrés. On connaît la rapidité d’exécution des voleurs d’expérience. Cette première année d’opérations nécessitera donc certaines modifications aux procédures et installations.
Si vous désirez donner votre avis, utilisez cette adresse : Commission de la capitale nationale du Québec. Vous pouvez également demander qu’on effectue un suivi en cochant la case appropriée.
La météo instable présente deux avantages pour un photographe sur l’Île d’Orléans. Premièrement, la crainte de la pluie fait en sorte que le nombre de visiteurs diminue grandement. En effet, les gens qui se présentent sur l’île sont pour la plupart intéressés aux activités extérieures offertes, comme la cueillette de fruits, le vélo ou encore le kayak de mer. On a donc la route toute à nous pour arrêter quand bon nous semble!
Deuxièmement, qui dit météo instable dit la formation possible d’orages, avec tout ce que cela comporte de formations nuageuses intéressantes. La consultation du radar et des prévisions météorologiques avant le départ pour l’île demeure donc essentielle.
Les deux photos ci-dessus ont été prises avec un appareil-photo plein format Canon 5DSr muni d’un objectif super grand-angle Canon EF 11-24mm f/4L USM.
Des compagnies organisent des tours guidés thématiques à la tombée du jour dans le Vieux-Québec en été. Les animateurs se costument et empruntent régulièrement les mêmes parcours. Avec un peu de patience, on pourra inclure une personne qui se déplace avec une lanterne, en plus d’intégrer les vieilles maisons de pierres et le Château Frontenac. Cela ajoutera un détail intéressant de plus à la scène.
La photo ci-dessus présentait plusieurs défis dont certains ont été résolus, mais pas tous. Idéalement, la méthode HDR aurait permis un meilleur dosage de la luminosité, mais l’animatrice qui tient la lanterne serait disparue dans le processus effectué par le logiciel Photomatix. Cette personne jouait un rôle important dans la scène et j’ai donc décidé de ne faire qu’un seul cliché, mais sous format RAW pour optimiser la correction de la lumière du ciel lors du post-traitement.
Je désirais utiliser l’ouverture la plus petite possible pour obtenir une mise au point précise du premier plan jusqu’au Château Frontenac. Mais à cause de l’absence de luminosité adéquate et du mouvement des personnes vers l’appareil-photo, je devais conserver une vitesse d’obturation suffisante, même avec un ISO à 6400. L’ouverture en a donc malheureusement un peu souffert.
Il s’agit donc d’une photo pleine de compromis où l’on fait du mieux que l’on peut avec la situation et l’équipement photographique disponible.
La visite étant improvisée, je n’avais pas de trépied. J’ai donc déposé l’appareil-photo grand formatCanon 5DSr directement sur le sol. Cependant, l’objectif pointait droit devant, empêchant de capturer l’architecture et les couleurs de la voute. J’ai mis mon porte-monnaie et le cap protecteur de l’objectif sur le sol afin d’offrir un appui pour que l’appareil-photo pointe davantage vers le plafond. Considérant les circonstances, le résultat aurait pu être pire.
Deux mois auparavant, cet objectif 14mm datant de 2007 avait rendu l’âme. Je l’avais envoyé chez Canon à Toronto. La compagnie avait répondu par écrit que l’objectif était irréparable et qu’il faudrait malheureusement que je m’en procure un nouveau, au coût estimé non négligeable de $2700.
N’ayant plus rien à perdre, j’ai pris la chance de le faire réparer à Québec dans un petit atelier. Le technicien n’a eu besoin que de quelques heures de travail sur l’objectif et j’ai reçu une facture de $200 plus taxes.
On m’a expliqué que les grandes compagnies d’appareil-photo ne réparent pas les équipements datant de quinze ans et plus : elles les déclarent « irréparables » alors que quelques heures suffisent pour un technicien d’expérience compétent pour faire le travail.
Le bris est arrivé juste à temps puisque le technicien a pris sa retraite dans les semaines suivantes…
Cette dernière se situe dans le col du Jungfraujoch en Suisse, à une altitude de 3571 mètres (11 716 pieds MSL).
La construction de cette gare fut à l’époque une prouesse d’ingénierie, mais coûta la vie à de nombreux travailleurs. On ne fait pas son chemin à coups de bâtons de dynamite à l’intérieur d’une chaîne de montagnes sans qu’à l’occasion la nitroglycérine impose un ordre du jour imprévu.
Le train ne peut donc accéder à cette gare qu’en circulant à l’intérieur des montagnes sur une pente abrupte nécessitant un mécanisme hydraulique pour tirer le train vers l’avant. Le touriste doit faire confiance aux ingénieurs et au soutien technique…
Pour me remémorer notre voyage dans cette région, j’ai pensé à effectuer un vol virtuel en hélicoptère en partant de Lauterbrunnen pour atterrir directement sur la plateforme de l’observatoire astronomique du Sphinx, cette attraction touristique du Jungfraujoch connu dans le monde entier. Heureusement pour moi, la compagnie Red Wing Simulations a récemment créé une scène virtuelle incluant ces deux magnifiques sites.
Les amateurs de simulation de vol auront intérêt à utiliser le Bell 407, car la limite d’utilisation du Guimbal Cabri G2 fourni par le simulateur de vol Microsoft plafonne à 13 000 pieds. Il est préférable de voler avec un appareil un peu plus puissant quand on manœuvre à cette altitude.
D’un paysage verdoyant en été on passe graduellement aux neiges éternelles des sommets les plus élevés dans le Valais.
Le paysage était spectaculaire en train et il l’est tout autant en vol virtuel. Un problème mécanique avec l’hélicoptère dans cet environnement constitué de falaises grandioses ne laisserait que peu de chances au pilote.
Nous voici en approche : il est possible d’atterrir sur la plateforme de l’observatoire du Sphinx, mais il faut se préparer pour les cisaillements de vent et les nuages imprévus à cette altitude tout en prenant soin lors de l’approche d’éviter de toucher avec la queue de l’hélicoptère le mât du drapeau et les clôtures de protection entourant la plateforme.
La compagnie Red Wing Simulations a fait un travail de conception remarquable pour cette scène virtuelle. Dans la photo ci-dessous, on peut même observer au bas de la falaise des skieurs qui se réchauffent avant d’entamer leur première descente.
Même si la scène virtuelle comprend autre chose que Lauterbrunnen et le Jungfraujoch, il demeure que le plaisir d’effectuer une approche réussie sur la plateforme du Sphinx vaut à lui seul le coût d’acquisition du logiciel.
Vous désirez tenter une excursion qui sort de l’ordinaire dans la région de Québec? Essayez ce qui suit : si vous avez une voiture, commencez par vous stationner (gratuitement) dans un des espaces disponibles au domaine Cataraqui. Le nouvel escalier conçu en 2022 dans la forêt derrière le domaine permet de passer des hauteurs de Sillery jusqu’au bas de la falaise donnant accès à la Promenade Samuel-De Champlain (Notez cependant que la promenade n’est pas entretenue l’hiver). Marcher de cet endroit jusqu’au quartier Petit-Champlain dans le Vieux-Québec prend deux heures, sans vous presser. Si vous faites la randonnée à l’automne, il vous sera même possible d’observer les navires de croisière.
Ci-dessus, une section seulement du navire de croisière Caribbean Princess amarré dans le port de Québec. Quand on parle d’un hôtel flottant, ce bateau en est un bon exemple.
Vous avez maintenant l’option de demeurer dans le Vieux-Québec aussi longtemps que vous le désirez, pour ensuite emprunter la rue St-Jean et marcher quelques minutes jusqu’à Place d’Youville. Là, vous prenez l’autobus #25 qui vous ramènera confortablement sur le chemin St-Louis, à un arrêt très près de l’endroit où vous avez stationné votre voiture initialement.
Une super belle journée qui vous aura permis de faire de l’exercice, voir le fleuve et les beautés du Vieux-Québec et ne vous aura finalement coûté que le prix d’un billet d’autobus, soit près de $4.00.