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Le MD-11 virtuel de Martinair Cargo en approche VFR à Innsbruck

Faire un atterrissage virtuel en manuel à Innsbruck (ICAO : LOWI) avec un très gros porteur comme le MD -11F amusera tout amateur de simulation de vol. Depuis que l’aéroport et les environs d’Innsbruck ont été modélisés sous ORBX Innsbruck, la sensation d’immersion est totale. Le paysage est à couper le souffle.

Le MD-11F virtuel de Martinair Cargo au décollage de la piste 26 de l'aéroport de Innsbruck (LOWI)
Le MD-11F virtuel de Martinair Cargo au décollage de la piste 26 de l’aéroport de Innsbruck (LOWI)

Commencez par décoller de la piste 08, en décoiffant certainement un peu les observateurs qui se trouveraient en bout de piste. Il faut ensuite prendre suffisamment d’altitude pour pouvoir effectuer un virage de 180 degrés dans le but de vous réaligner sur la piste 26.

Un MD-11F de PMDG se prépare pour une approche visuelle piste 08 à Innsbruck
Un MD-11F de PMDG se prépare pour une approche visuelle piste 08 à Innsbruck

Il faut s’assurer d’activer la fonction « turbulence » de votre moteur météo virtuel, car l’approche près des montagnes génère généralement de la turbulence qui peut rendre l’approche plus difficile. Le pilote virtuel doit également composer avec les vents du moment, même s’ils ne favorisent pas la piste 26.

MD-11F virtuel de Martinair Cargo en approche pour l'aéroport d'Innsbruck (LOWI)
MD-11F virtuel de Martinair Cargo en approche pour l’aéroport d’Innsbruck (LOWI)

Les volets doivent être réglés à 50 degrés pour le MD-11F. La fonction « Autopilot » doit être à « OFF ». L’ajustement de l’intensité du freinage automatique se fait en fonction des vents du moment et du poids que vous avez choisis pour l’appareil pour un atterrissage sur un aéroport situé à 2000 pieds d’altitude. La marge de manœuvre quant à la vitesse d’approche n’est pas très grande. J’ai tenté de maintenir environ 150 KTS.

Le MD-11F virtuel de PMDG avec 50 degrés de volets en finale pour la piste 08 à Innsbruck
Le MD-11F virtuel de PMDG avec 50 degrés de volets en finale pour la piste 08 à Innsbruck

La piste d’Innsbruck est longue de 2000 mètres . Il n’y a pas beaucoup de réserve pour un MD-11F.

Arrivée du MD-11F virtuel conçu par PMDG sur la piste 08 à Innsbruck
Arrivée du MD-11F virtuel conçu par PMDG sur la piste 08 à Innsbruck
MD-11F virtuel conçu par PMDG en freinage piste 08 à Innsbruck
MD-11F virtuel conçu par PMDG en freinage piste 08 à Innsbruck

Une fois au sol, il faut continuer jusqu’au bout de la piste 26 pour pouvoir effectuer un virage de 180 degrés. Il y a juste assez d’espace pour le MD-11F.

MD-11F virtuel de Martinair Cargo remonte la piste 08 après l'atterrissage à Innsbruck
MD-11F virtuel de Martinair Cargo remonte la piste 08 après l’atterrissage à Innsbruck

Comme vous pouvez le constater dans l’image ci-dessous, en regardant la manche à vent, l’atterrissage s’est fait par un bon vent trois quarts arrière.

MD-11F virtuel de Martinair Cargo quitte la piste de l'aéroport d'Innsbruck
MD-11F virtuel de Martinair Cargo quitte la piste de l’aéroport d’Innsbruck

L’aéroport est superbement modélisé et une place de stationnement est déjà réservée pour les très gros porteurs. Des employés sont en place et attendent votre arrivée.

Aéroport d'Innsbruck virtuel et MD-11F de Martinair Cargo
Aéroport d’Innsbruck virtuel et MD-11F de Martinair Cargo
MD-11F virtuel conçu par PMDG stationné à l'aéroport d'Innsbruck en Autriche
MD-11F virtuel conçu par PMDG stationné à l’aéroport d’Innsbruck en Autriche
MD-11F virtuel de Martinair Cargo stationné à l'aéroport de Innsbruck
MD-11F virtuel de Martinair Cargo stationné à l’aéroport de Innsbruck

Vous pouvez tenter l’expérience avec tout autre gros porteur si vous ne possédez pas déjà un MD -11 virtuel de la compagnie PMDG. Si toutefois vous désirez acquérir cet aéronef virtuel, vous constaterez qu’il ne semble plus offert, pour le moment, par la compagnie PMDG. Tentez de faire pression auprès de cette compagnie pour qu’elle offre de nouveau cet appareil sur lequel elle a mis tant d’heures de travail. Un message sur leur site Facebook devrait leur montrer votre intérêt : https://www.facebook.com/pmdgsimulations

Si vous désirez voir un vidéo exceptionnel de plus de deux heures sur un voyage réel de dix jours à travers le monde effectué par Lufthansa Cargo avec un MD-11 F, il n’y a rien de mieux que le produit offert par la compagnie PilotsEYE.tv : Lufthansa Cargo MF-11F in Quito

DVD de PilotsEye sur un voyage de 10 jours à travers le monde avec un MD-11F de Lufthansa Cargo
DVD de PilotsEye sur un voyage de 10 jours à travers le monde avec un MD-11F de Lufthansa Cargo

La préparation de l’équipage pour un atterrissage difficile sur l’ancienne piste de Quito, Équateur, est remarquable. L’altitude de l’aéroport fait en sorte que le MD -11F opère alors à la limite de ses capacités. Assurez-vous de posséder un lecteur pouvant décoder les vidéos européens.

Bon vol virtuel et bon visionnement!

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Les jets régionaux CRJ-900ER et CRJ-700ER de Digital Aviation & Aerosoft

La cause des délais et les avantages pour le consommateur

Le jet régional virtuel de Bombardier CRJ-900ER (Aerosoft) portant les couleurs de la compagnie Alaska Airlines est en montée dans la région de Valdez en Alaska (ORBX)
Le jet régional virtuel de Bombardier CRJ-900ER (Aerosoft) portant les couleurs de la compagnie Alaska Airlines est en montée dans la région de Valdez en Alaska (ORBX)

Digital Aviation & Aerosoft ont finalement réussi à compléter leur projet de créer les aéronefs virtuels CRJ-900ER et CRJ-700ER de Bombardier. Après des mois de retard, les enthousiastes de simulation de vol peuvent enfin se réjouir. Le CRJ est surtout utilisé pour faire la liaison entre les aéroports et régions un peu plus éloignées et les grands centres. Il atteint rapidement son altitude de croisière et peut y rester longtemps, mais il n’est pas conçu pour être un aéronef très rapide.

La compagnie explique que dès le départ, elle a sous-estimé la complexité du projet et, à cause des délais encourus, s’est finalement fait rattraper par la compétition. Afin d’offrir un produit supérieur, elle a dû revoir ce qui était considéré comme presque terminé pour l’améliorer encore davantage avant la mise en marché.

Avion virtuel CRJ-700ER (Aerosoft) de la compagnie aérienne Alaska Airlines au décollage de l'aéroport virtuel de Valdez (ORBX)
Avion virtuel CRJ-700ER (Aerosoft) de la compagnie aérienne Alaska Airlines au décollage de l’aéroport virtuel de Valdez (ORBX)

Avec le CRJ-700ER et le CRJ-900ER, le consommateur peut d’ores et déjà bénéficier d’aéronefs dont l’extérieur a été complètement revu par rapport à ce qui était initialement prévu. Le directeur de projet indique que ce n’est que grâce aux encouragements et aux appuis de la communauté des amateurs de simulation de vol que la compagnie a décidé de compléter le projet, malgré les retards et les coûts additionnels.

Le premier vol avec le CRJ

Aéronef virtuel CRJ-900ER de la compagnie Air Nostrum au départ de l'aéroport virtuel de St-Martin (Fly Tampa St.Maarten)
Aéronef virtuel CRJ-900ER de la compagnie Air Nostrum au départ de l’aéroport virtuel de St-Martin (Fly Tampa St.Maarten)

Pour le premier vol, le manuel recommande de sélectionner et activer d’abord un des avions initialement fournis avec FSX, avec le moteur déjà démarré. Ensuite, le pilote virtuel sélectionne le CRJ de son choix. Cela évitera, selon les dires de la compagnie, de multiples problèmes.

Cockpit virtuel 2D

Le fait que le cockpit virtuel soit en 2D permet certainement de sauver quelques FPS. L’accès aux boutons et commandes à l’intérieur du cockpit est simplifié par l’usage des chiffres de 1 à 9 sur le clavier, chaque chiffre donnant un accès immédiat à la section choisie du tableau de bord et des commandes.

Navigation

Le pilote virtuel a accès à la base de données NavDataPro pour la navigation aérienne. Il s’agit de la base de données la plus utilisée dans le monde pour la navigation dans les aéronefs. Cependant, il y a possibilité d’utiliser Navigraph, pour ceux qui connaissent déjà ce logiciel.

Demande sur les processeurs de l’ordinateur

Avion virtuel CRJ-900ER (Aerosoft) de la compagnie U.S. Airways au décollage de l'aéroport virtuel de Denver (Flightbeam Studios)
Avion virtuel CRJ-900ER (Aerosoft) de la compagnie U.S. Airways au décollage de l’aéroport virtuel de Denver (Flightbeam Studios)

J’ai opéré les appareils sur différents aéroports virtuels tels que St. Maarten (Fly Tampa St. Maarten), Montréal international (Fly Tampa Montreal), Denver international (Flightbeam Studios) et Valdez (ORBX) sans éprouver d’ennuis quant aux processeurs du simulateur de vol. Il était hors de question de tenter d’utiliser l’aéroport de Courchevel (LLH Creations), à cause de sa trop courte piste en pente, mais le survol à basse altitude et haute vitesse n’a causé aucun problème quant aux FPS.

Un avion virtuel CRJ-700ER (Aerosoft) de la compagnie Air France HOP est en vol au-dessus de l'aéroport virtuel de Courchevel en France (LLH Creations)
Un avion virtuel CRJ-700ER (Aerosoft) de la compagnie Air France HOP est en vol au-dessus de l’aéroport virtuel de Courchevel en France (LLH Creations)

Pilotage à basse vitesse

Le CRJ offre une bonne marge de manœuvre quant au pilotage à basse vitesse. Cependant, dû au positionnement des moteurs, le nez de l’avion se soulève rapidement lorsque la manette des gaz est ramenée à zéro. Dans une descente progressive, cela ne cause pas de problème, mais si la manœuvre est faite en courte finale, alors que l’avion est encore au-dessus de 50 pieds, le nez se soulèvera rapidement et la vitesse baissera considérablement, ce qui peut provoquer un décrochage.

Les aérofreins

Il ne faut pas trop compter sur les aérofreins pour ralentir le CRJ. Ils sont d’une efficacité limitée, autant dans la vraie vie que dans le vol virtuel.

Tendance au flottement

Si l’avion se présente un peu au-dessus de la vitesse recommandée au-dessus du seuil de piste, il flotte sur une longue distance avant de finalement entrer en contact avec la piste.

Distance de décollage et d’atterrissage

Un avion virtuel CRJ-900ER de la compagnie Air Canada (Aerosoft) est en approche pour l'aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal (Fly Tampa Montréal)
Un avion virtuel CRJ-900ER de la compagnie Air Canada (Aerosoft) est en approche pour l’aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal (Fly Tampa Montréal)

Le CRJ se satisfait de pistes relativement courtes pour ses opérations. Le CRJ-700 nécessite 5040 pieds pour le décollage (poids maximal) et l’atterrissage (poids maximal autorisé), dans des conditions atmosphériques standard. Le CRJ-900 a, quant à lui, besoin de 6060 pieds pour le décollage et de 5260 pieds pour l’atterrissage. La distance pouvant être couverte se situe entre 1300 et 1400 nm.

Programmes faciles à utiliser

Pour le CRJ, Digital Aviation & Aerosoft ont conçu des gestionnaires qui permettent de choisir le nombre de passagers désirés et le cargo, de même que de calculer le poids en carburant, le centre de gravité et le montant de compensateur nécessaire pour le décollage. Il y a même une fonction FS2 Crew si désirée. Un autre gestionnaire facilite l’installation de nouvelles couleurs de compagnies.

L’arrivée de ce jet régional dans le monde de la simulation de vol était attendue depuis longtemps; certains n’y croyaient plus, incluant les gens de Digital Aviation & Aerosoft eux-mêmes. Les amateurs vont enfin pouvoir mettre la main sur un jet régional virtuel de grande qualité et de classe mondiale.

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Du Chili vers Rothera, Antarctique, avec le Twin Otter de la société BAS et le simulateur de vol FSX

Vue aérienne de la station de recherche de Rothera en Antarctique.
Vue aérienne de la station de recherche de Rothera en Antarctique.

Pour ce vol, vous avez obligatoirement besoin du logiciel de simulation de vol Antarctica X créé par Aerosoft.

Les Twin Otters et le Dash-7 de la société BAS sont entretenus à Calgary, au Canada, et volent vers l’Antarctique durant l’été austral, entre Octobre et Mars. Donc si vous souhaitez simuler un vol avec un Twin Otter ou un Dash-7 entre le Chili et l’Antarctique, choisissez un de ces mois pour plus de réalisme.

Étant donné qu’il serait un peu long de faire tous les vols virtuels normalement effectués du Canada vers l’Antarctique, j’ai plutôt choisi d’effectuer les trois derniers vols, pour voir de quoi le paysage a l’air.

Le Twin Otter est normalement approuvé pour un décollage avec poids maximal de 12,500 livres. Mais avec des skis pesant 800 livres et du carburant supplémentaire requis pour des trajets anormalement longs, la société BAS (British Antarctic Survey) s’est organisée pour faire certifier leurs Twin Otters à un poids maximal de 14,000 livres. Même à ce poids, l’avion peut toujours continuer à voler sur un moteur.

Le premier vol consiste en un trajet entre l’aéroport de La Florida (SCSE) au Chili et l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt (SCTE) également au Chili. La Florida est une escale obligée pour ravitaillement en carburant.

Décollage de La Florida, Chili, après un plein d'essence.
Décollage de La Florida, Chili, après un plein d’essence.

Ce vol avec le Twin Otter dure environ 4 :25 heures (696 nm) avec un cap de 185 degrés.

En vol vers El Tepual de Puerto Montt, Chili.
En vol vers El Tepual de Puerto Montt, Chili.

Pour améliorer le paysage, je me suis servi des logiciels FTX Global, FTX Vector et Pilot’s FS Global 2010. Orbx a également retravaillé l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt pour inclure quelques personnes, des avions et de nouveaux bâtiments. Cela rend la destination plus intéressante.

Twin Otter en finale pour El Tepual de Puerto Montt, Chili.
Twin Otter en finale pour El Tepual de Puerto Montt, Chili.
Prêt pour le ravitaillement à l'aéroport de El Tepual de Puerto Montt, Chili
Prêt pour le ravitaillement à l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt, Chili

Le prochain vol se fait entre l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt (SCTE) et celui de Punta Arenas (SCCI), les deux au Chili.

Avion Twin Otter au décollage vers Punta Arenas, Chili.
Avion Twin Otter au décollage vers Punta Arenas, Chili.

Ce vol, effectué à travers les Andes, demande absolument une belle météo. Vous devrez monter jusqu’à 17,000 pieds pour faire un trajet direct entre les deux aéroports.

Twin Otter au-dessus des Andes en montée pour 17,000 pieds
Twin Otter au-dessus des Andes en montée pour 17,000 pieds

Des vues spectaculaires s’offrent souvent au pilote virtuel durant le trajet. Le Twin Otter de la BAS n’est piloté que par un seul pilote mais celui-ci est toujours accompagné d’une autre personne.

Avion Twin Otter en rapprochement pour Punta Arenas, Chili.
Avion Twin Otter en rapprochement pour Punta Arenas, Chili.

N’oubliez pas d’appauvrir le mélange air/essence durant la montée. Utilisez également de l’oxygène supplémentaire (!!) si vous ne voulez pas commencer à divaguer et voler en cercles après une heure de vol. Pensez à enrichir le mélange lors de la descente, considérant que vous perdrez pratiquement 17,000 pieds.

Plein de carburant à Punta Arenas, Chili.
Plein de carburant à Punta Arenas, Chili.

La version originale de l’aéroport Punta Arenas, telle qu’elle se trouve dans FSX, n’est vraiment pas très intéressante. L’aéroport est dénudé, ne présentant qu’un seul bâtiment et un VOR.

Mais étant donné que le pilote de la société BAS effectue toujours ce trajet obligatoire avant de s’envoler pour l’Antarctique, j’ai choisi de ne pas changer le trajet. Le vol vers Punta Arenas a suivi une direction moyenne de 164 degrés et la durée a été d’environ 4 :28 heures. Vous pouvez bien sûr accélérer le processus une fois l’aéronef établi en vol de croisière.

Le dernier vol a été de Punta Arenas, au Chili, vers Rothera en Antarctique.

Avion Twin Otter en route pour l'aéroport de Rothera en Antarctique.
Avion Twin Otter en route pour l’aéroport de Rothera en Antarctique.

Le Twin Otter prend entre six et sept heures, sur un cap de 162 degrés, pour couvrir la distance entre Punta Arenas (SCCI) et Rothera (EGAR).

Au-dessus des sommets enneigés du Chili, en route vers Rothera, Antarctique
Au-dessus des sommets enneigés du Chili, en route vers Rothera, Antarctique
Transport d'une réserve de carburant en route pour Rothera, Antarctique.
Transport d’une réserve de carburant en route pour Rothera, Antarctique.

La piste de l’aéroport de Rothera est faite de gravier et mesure 2953 pieds, suffisamment longue pour le Twin Otter et le Dash-7. Avant d’effectuer le vol, allez dans votre fichier de simulateur de vol « aerosoft/Antarctica X » et cliquez sur l’option LOD 8.5 (le programme est réglé de base sur un LOD 4.5). Vous obtiendrez ainsi une définition supérieure lorsque vous approchez l’Antarctique.

La station de recherche antarctique de Rothera est en vue
La station de recherche antarctique de Rothera est en vue
Avion Twin Otter en finale pour Rothera, Antarctique.
Avion Twin Otter en finale pour Rothera, Antarctique.

La revue Airliner World a publié en mars 2017 un excellent article sur les opérations de la société BAS en Antarctique. On y trouvait de multiples photos très intéressantes et des explications détaillées sur ce que doivent anticiper les pilotes et le personnel travaillant pour la société BAS. J’ai comparé l’aéroport virtuel de Rothera avec les photos du vrai aéroport fournies par Airliner World et j’ai été étonné par le niveau de ressemblance et la précision des détails.

Avion Twin Otter de la British Antarctic Survey atterrissant sur la piste de Rothera, Antarctique
Avion Twin Otter de la British Antarctic Survey atterrissant sur la piste de Rothera, Antarctique

La société BAS est toujours prête pour les surprises : « Elle maintien un inventaire de pièces de $5m, incluant un moteur de rechange pour chaque aéronef, des hélices supplémentaires et des composants pour le train d’atterrissage ».

Avion Twin Otter de la BAS après un atterrissage sur la piste de Rothera, Antarctique
Avion Twin Otter de la BAS après un atterrissage sur la piste de Rothera, Antarctique

« Un nouveau développement pour l’Air Unit a été son association avec la RAF, utilisant un avion de transport C-130 Hercules pour parachuter du matériel sur le champs d’opérations. Ils volent de Punta Arenas et parachutent du carburant pour aider à notre programme de recherche sur le Ronne Ice Shelf. […] Cela fait partie de le système d’entraînement et la précision de leur parachutage est très impressionnante. Ils peuvent parachuter 250 barils de carburant, pensez au nombre de voyages de Twin Otter que cela aurait représenté pour nous (48 ou plus de 400 heures de vol) ».

Le hangar principal de Rothera, Antarctique.
Le hangar principal de Rothera, Antarctique.

La compagnie Aerosoft a fait un excellent travail pour répliquer Rothera, la station de recherche principale de la société BAS en Antarctique. Le hangar principal peut accomoder en même temps trois Twin Otters et un Dash-7.

Intérieur du hangar principal de la station de recherche de Rothera, Antarctique.
Intérieur du hangar principal de la station de recherche de Rothera, Antarctique.

Lorsque votre vol sera complété, n’oubliez pas de cliquer de nouveau sur LOD 4.5 pour l’Antarctique dans votre fichier aerosoft/Antarctica X.

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Simulation de vol : les aéroports de « Tapini» en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)

Un DHC-6 Twin Otter virtuel en route pour Kokoda après un feu sur le moteur droit au départ de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-6 Twin Otter virtuel en route pour Kokoda après un feu sur le moteur droit au départ de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Ken Hall et Tim Harris ont créé une nouvelle scène virtuelle pour les amateurs de simulation de vol. Elle se nomme « Tapini» et est vendue par ORBX. Leur avant-dernière création, AYPY Jackson’s International, permettait aux pilotes virtuels de voler vers des aéroports virtuels très exigeants le long de la Kokoda Trail en Papouasie Nouvelle-Guinée. « Tapini » représente un tout nouveau défi et j’ai inclus plusieurs captures d’écran pour vous donner une impression générale des différentes pistes incluses dans cette nouvelle scène virtuelle.

« Tapini », toujours en Papouasie Nouvelle-Guinée, permet aux pilotes virtuels de se mesurer aux défis présentés par sept nouvelles pistes d’atterrissage dans la chaîne de montagnes Owen Stanley. Ces aéroports constituent également un sérieux test pour les aéronefs, comme dans la photo ci-dessus où des dommages au moteur droit ont été subis à Yongai.

Un Piper Pacer virtuel s'apprête à atterrir sur la piste courbée d'Ononge (ONB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX). (Il est possible de voir la courbe débutant au haut de l'image)
Un Piper Pacer virtuel s’apprête à atterrir sur la piste courbée d’Ononge (ONB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX). (Il est possible de voir la courbe débutant au haut de l’image)

Pour améliorer les nuages virtuels lors des voyages entre les différents aéroports, j’ai utilisé les moteurs météo REX ou FSGRW. Les textures de nuages et les effets météo ont été améliorés par un ou plusieurs des produits suivants : CumulusX, PrecipitFX, REX Texture Direct et REX Soft Clouds.

Un Dash 7 virtuel après son atterrissage sur l'aéroport de Woitape (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Dash 7 virtuel après son atterrissage sur l’aéroport de Woitape (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Comme il y a du plaisir dans la variété, et également dû aux défis posés par les différentes pistes, les avions virtuels suivants ont été utilisés : Carenado C-185F, Lionheart Creations PA-18, Virtavia DHC-4, Aerosoft DHC-6 Twin Otter et Milton Shupe De Havilland DHC-7.

La scène « Tapini » offre au pilote la sélection des sept pistes suivantes :

ASB (Asimba)

Une piste difficile et très courte près d’une rivière

Un DHC-4 Caribou virtuel en approche pour la piste en pente d'Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel en approche pour la piste en pente d’Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Il s’agit d’une piste très intéressante où un avion ADAC tel que le DHC-4 Caribou est approprié. Les habitants doivent cependant offrir leur aide pour vous aider à dégager quelques branches près de la piste et qui sont susceptibles de nuire à un appareil de cette taille. La piste est en pente vers le bas pour le décollage, ce qui aide l’avion à gagner de la vitesse plus rapidement.

Un DHC-4 Caribou virtuel au sol sur la piste d'Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel au sol sur la piste d’Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel décolle de la piste en pente d'Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel décolle de la piste en pente d’Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

FNE (Fane)

Une piste en pente de 12 degrés présentant un vrai défi. Des vents imprévisibles soufflent sur cette piste à sens unique située en haut d’une colline.

Un avion virtuel De Havilland DHC-7 est en approche pour un atterrissage sur la piste en pente de l'aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX).
Un avion virtuel De Havilland DHC-7 est en approche pour un atterrissage sur la piste en pente de l’aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX).

La piste est située au-dessus d’une colline. Atterrir sur cette piste est une expérience vraiment intéressante : pas étonnant qu’il y ait autant de personnes surveillant les arrivées et départs.

Si vous ralentissez trop rapidement après l’atterrissage sur cette piste en pente avec un avion tel que le DHC-7, les douze degrés empêcheront l’appareil de continuer à se déplacer vers l’avant. Vous devrez alors laisser l’avion redescendre doucement la pente en utilisant le pouvoir des moteurs pour contrôler la descente. Le palonnier sera utilisé pour demeurer aligné avec la piste. Il s’agira ensuite d’appliquer de nouveau la pleine puissance pour quelques secondes, juste assez pour franchir la pente.

Un avion virtuel De Havilland DHC-7 circule après un atterrissage sur la piste en pente de l'aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un avion virtuel De Havilland DHC-7 circule après un atterrissage sur la piste en pente de l’aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Pour circuler au sol et replacer le DHC-7 pour le décollage, une combinaison de pouvoir et de poussée inverse est nécessaire jusqu’à ce que tous les obstacles aient été évités (les humains s’aventurant à l’arrière de l’appareil pendant la procédure pourraient être affectés…).

Un avion virtuel De Havilland DHC-7 décolle de la piste en pente de l'aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un avion virtuel De Havilland DHC-7 décolle de la piste en pente de l’aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Il y a un homme qui n’a pas l’air trop amical et qui tient une carabine près de la zone d’embarquement. Même le personnel des Nations-Unies n’a pas jugé bon de s’éterniser…

KGH (Yongai)

Une piste très bosselée et à sens unique. Un vrai avion de brousse est ici requis!

Un DHC-6 Twin Otter virtuel en approche pour la piste bosselée de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-6 Twin Otter virtuel en approche pour la piste bosselée de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Même avec un très bon avion de brousse, il est possible qu’une des hélices de l’appareil touche le sol au moment de circuler sur cette piste vraiment spéciale. Il y a tellement de trous profonds et de bosses qui sont difficiles à voir que je ne peux que souhaiter bonne chance à toute personne s’aventurant sur cet aéroport!

Un DHC-6 Twin Otter virtuel au sol sur la piste de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-6 Twin Otter virtuel au sol sur la piste de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Portez une attention particulière à la zone près de la petite maison en fin de piste. Le DHC-6 a vraiment été secoué en effectuant les manœuvres pour se repositionner pour le décollage. Une des hélices a touché le sol, mais il n’y avait pas de signes de problème sérieux… jusqu’à ce que l’avion redécolle. L’alarme de feu a retenti juste au moment où l’appareil franchissait le seuil de piste.

Un DHC-6 Twin Otter virtuel avec le moteur droit en feu au décollage de Yongai en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-6 Twin Otter virtuel avec le moteur droit en feu au décollage de Yongai en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Il a donc fallu abandonner le voyage prévu. Et pas question de retourner à Yongai sur un moteur. J’ai tiré la manette pour éteindre le feu, mis l’hélice en drapeau et coupé l’alimentation en carburant sur le moteur droit pour ensuite me diriger vers l’aéroport de Kokoda étant donné qu’il s’agissait d’un déroutement sûr dû au fait que la piste est suffisamment longue et à une altitude beaucoup plus basse que Yongai.

KSP (Kosipe)

Une piste relativement courte qui requiert des calculs précis de la part du pilote étant donné sa haute altitude dans les montagnes.

Un Cessna C-185F virtuel en route pour l'aéroport de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Cessna C-185F virtuel en route pour l’aéroport de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Le Cessna C-185F est très approprié pour cette courte piste. Assurez-vous de ne pas appuyer trop fortement sur les freins à l’arrivée, car les hélices de C-185 sont difficiles à trouver à Kosipe. Vous pouvez atterrir dans les deux directions. Le mélange air/essence doit être absolument ajusté, car l’aéroport se trouve à plus de 6300 pieds.

Un Cessna C-185F virtuel à l'atterrissage sur la piste de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Cessna C-185F virtuel à l’atterrissage sur la piste de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Cessna C-185F virtuel au décollage de la piste de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Cessna C-185F virtuel au décollage de la piste de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

ONB (Ononge)

Une piste courbée et très bosselée. Pour ceux qui aiment les vols en rase-mottes. Assurez-vous de choisir le bon appareil, car il n’y a pas beaucoup de place pour manœuvrer une fois au sol.

Un Piper Pacer virtuel en approche pour la piste courbée d'Ononge (ONB) en Papouasie-Nouvelle Guinée PNG (FSX)
Un Piper Pacer virtuel en approche pour la piste courbée d’Ononge (ONB) en Papouasie-Nouvelle Guinée PNG (FSX)

Ononge est assez impressionnant lorsqu’on se présente en finale pour la première fois. On se demande si la petite trace de terre sur le dessus de la colline peut vraiment être une piste d’atterrissage. Pour ce genre de situation, le Piper Pacer est un excellent avion : il peut approcher très lentement et s’immobilise sur une courte distance. La piste étant courbée, il est nécessaire d’utiliser un peu de palonnier pour maintenir l’avion au milieu de la piste.

A Virtual Piper Pacer on the Ononge curved runway in Papua New Guinea PNG (FSX)
A Virtual Piper Pacer on the Ononge curved runway in Papua New Guinea PNG (FSX)

J’imagine que tous ces gens avec leurs valises s’attendaient à un avion un peu plus gros…

Un Piper Pacer virtuel au décollage de la piste courbée d'Ononge (ONB) en Papouasie-Nouvelle Guinée PNG (FSX)
Un Piper Pacer virtuel au décollage de la piste courbée d’Ononge (ONB) en Papouasie-Nouvelle Guinée PNG (FSX)

TAP (Tapini)

Une piste exigeante à sens unique et située près d’une vallée étroite. Vous pouvez même utiliser un ILS pour vous y rendre!

Un DHC-4 Caribou en approche finale pour l'aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou en approche finale pour l’aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Il s’agit d’une région et d’un aéroport superbement modélisés. Je l’ai visitée avec le DHC-4 Caribou, mais tout autre gros avion ADAC aurait fait l’affaire. Il y a suffisamment de place pour manœuvrer. La piste n’est pas trop bosselée. La pente est intéressante : elle débute en descendant et se termine en montant : cela aide l’aéronef à ralentir après l’atterrissage.

Un DHC-4 Caribou au sol à l'aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou au sol à l’aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel décolle de l'aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel décolle de l’aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

WTP (Woitape)

Cette piste à sens unique et en pente légère semble assez facile d’usage mais elle nécessite des calculs et ajustements assez précis si vous désirez vous y poser avec autre chose qu’un petit appareil.

Un De Havilland DHC-7 virtuel en approche finale pour l'aéroport virtuel de Woitape airport (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)
Un De Havilland DHC-7 virtuel en approche finale pour l’aéroport virtuel de Woitape airport (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)

J’ai trouvé que la piste était assez glissante pour le De Havilland DHC-7. Je dois avouer qu’il y avait un vent de côté important (je volais en météo réelle téléchargée par internet). Le DHC-7 se comporte comme un gros bateau lorsqu’il décélère sur une telle piste.

Un De Havilland DHC-7 virtuel ainsi que deux DHC-6 au sol à l'aéroport virtuel de Woitape airport (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)
Un De Havilland DHC-7 virtuel ainsi que deux DHC-6 au sol à l’aéroport virtuel de Woitape airport (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)

La scène virtuelle de Woitape est superbe. Il est très intéressant de trouver des animaux, personnes et avions virtuels conçus de façon aussi réaliste.

Un De Havilland DHC-7 virtuel au décollage de Woitape (WTP), Papouasie Nouvelle-Guinée, (FSX)
Un De Havilland DHC-7 virtuel au décollage de Woitape (WTP), Papouasie Nouvelle-Guinée, (FSX)

J’adore ce nouveau produit de la compagnie Orbx. Lorsque vous volez dans un paysage aussi réaliste, le cerveau ne fait pas de différence entre ce qui est réel et ce qui est virtuel. Cela fonctionne vraiment! Et si vous utilisez la météo réelle téléchargée de l’internet, c’est encore mieux!

J’ai essayé les sept aéroports inclus dans la scène virtuelle « Tapini » et ils sont exigeants. Yongai a été pour moi celui présentant le plus grand défi. J’ai dû faire deux approches manquées étant donné que je me suis présenté chaque fois trop haut sur l’approche. Mais j’ai éventuellement réussi, comme dans la vraie vie!

Le logiciel Microsoft flight simulator X (FSX) a été utilisé pour tous les vols, mais d’autres plateformes auraient également très bien fonctionné et donné d’excellents résultats (Dovetail Games FSX Steam edition (FSX: SE) et toutes les versions de P3D). Les produits suivants étaient également installés sur mon simulateur de vol : FTX Global, FTX Golbal Vector et Holgermesh, de même que Pilot’s FS Global 2010.

Il s’agit d’une expérience virtuelle totalement immersive et vous devez vous concentrer totalement lorsque vous tentez ces vols virtuels exigeants… si vous désirez en ressortir « virtuellement » vivant!

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Simulation de vol: juste à temps pour un BBQ à Bear Gulch!

Bonjour,

Je viens d’ajouter un nouveau vol VFR dans la section «simulation de vol«, sous «vols virtuels standards«. Un WACO de la compagnie Alabeo décolle de Cushman Meadows, se dirige vers le sud-est vers la réserve de Skokomish, vole ensuite vers l’aéroport de Bremerton au nord-est pour finalement atterrir sur la piste de Bear Gulch, juste à temps pour un bon BBQ. Le vol a été effectué en utilisant FSX. La première partie du vol s’adresse davantage au pilote virtuel débutant alors que la dernière partie concerne davantage un pilote avec un peu plus d’expérience.

WACO en route vers Bear Gulch (fsx)
WACO en route vers Bear Gulch (fsx)
Waco en courte finale pour Bear Gulch WA38 (fsx)
Waco en courte finale pour Bear Gulch WA38 (fsx)

Il s’agit d’une expérience un peu plus exigeante que ce qui se retrouve normalement dans la section des «vols virtuels standards», étant donné qu’elle implique un atterrissage final à Bear Gulch. La piste n’est que d’une longueur de 1411 pieds, et elle est très étroite. Vous devez donc planifier votre approche de façon minutieuse. Un petit pont de bois fait partie de la piste! Étant donné que le vol s’effectue dans des conditions VFR et n’implique pas une panne de moteur ou l’utilisation d’un aéronef rapide arrivant sur une petite piste, j’ai décidé que la section des «vols virtuels standards» était plus appropriée. L’approche à Bear Gulch n’est cependant pas facile.

WACO atterrissant à Bear Gulch WA38 (FSX)
WACO atterrissant à Bear Gulch WA38 (FSX)
Un avion WACO de la compagnie Texaco circule sur le ponceau de Bear Gulch, WA38
Un avion WACO de la compagnie Texaco circule sur le ponceau de Bear Gulch, WA38

Cushman Meadows (KCMW) et la piste de Bear Gulch (WA38) n’existent pas dans la vraie vie mais je suis très heureux que Bill Womack se soit donné la peine de les créer. Son site se trouve sous Iblueyonder. Les captures d’écran montrent les deux aéroports et la région PNW vendus par ORBX. Si vous désirez des ombrages agréables au sol alors que vous n’utilisez pas P3D, vous n’avez qu’à vous procurer CumulusX et ajuster la saison à «été», en prenant soin d’installer des nuages épars au beau milieu de l’après-midi.

Un avion Waco de la compagnie Texaco circule à Bear Gulch, WA38
Un avion Waco de la compagnie Texaco circule à Bear Gulch, WA38
Waco stationné à Bear Gulch (fsx)
Waco stationné à Bear Gulch (fsx)

Quelques invités sont déjà arrivés à Bear Gulch. Vous verrez la fumée s’élevant du BBQ en préparation alors que vous êtes en courte finale. Les invités vont certainement prendre des photos de votre approche, étant donné que vous pilotez un aéronef dès plus spectaculaire. Il est plus important que jamais de faire les choses proprement!

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Je vous souhaite bonne chance et beaucoup de plaisir!

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Le MD-11 de KLM et l’approche spectaculaire de St Maarten (TNCM)

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D’ici peu, un vol assez spécial sera ajouté dans la section «simulation de vol» sous «vols virtuels exigeants».  Un MD-11 de la compagnie KLM effectue un vol de passagers entre Palm Springs (KPSP) et l’aéroport de St Maarten (TNCM), en utilisant FSX et Cumulus X, en plus des programmes Vector et Global de Orbx. St Maarten est reconnu pour son approche spectaculaire au-dessus d’une plage bondée de touristes et plusieurs vidéos sont disponibles sur You Tube si vous désirez satisfaire votre curiosité.

L’aéroport de Palm Springs est une création de Orbx et celui de St Maarten provient de la compagnie Fly Tampa. Le MD-11 virtuel, quant à lui, a été conçu par PMDG. J’ai choisi de faire un vol avec le MD-11 pour souligner le retrait récent (26 octobre 2014) de ce type d’avion pour le transport de passagers. En effet, KLM était la dernière compagnie a utiliser ce type d’appareils pour des vols de passagers et les derniers trajets effectués furent de Toronto et Montréal vers Amsterdam Schipol en octobre dernier. Grâce à la simulation de vol, les pilotes virtuels auront au moins toujours la chance de continuer à piloter cet appareil exceptionnel.

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Simulation de vol: pratique VFR à l’aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal

Un nouvel exercice a été affiché dans la section «simulation de vol» sous «vols virtuels standards»: une pratique de circuits sur la piste 28 de l’aéroport international de Montréal Pierre-Elliott-Trudeau, avec l’aide de Fly Tampa Montreal.

Tous les étudiants en pilotage doivent effectuer des posés-décollés pendant plusieurs heures lors du programme d’apprentissage. La scène FlyTampa Montreal pour FSX, utilisée conjointement avec le logiciel MyTraffic 2013 et la météo en temps réel, rend l’exercice très réaliste pour quelqu’un qui connaît la région métropolitaine.

Piper Tomahawk PA-38 au décollage de la piste 28 avec, en arrière-plan, le terminal de l'aéroport international Montréal Pierre-Elliott-Trudeau (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 au décollage de la piste 28 avec, en arrière-plan, le terminal de l’aéroport international Montréal Pierre-Elliott-Trudeau (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 au décollage de la piste 28 pour un circuit vers la gauche à l'aéroport international Montreal Pierre-Elliott-Trudeau (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 au décollage de la piste 28 pour un circuit vers la gauche à l’aéroport international Montreal Pierre-Elliott-Trudeau (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 vire en finale pour la piste 28 à l'aéroport international Montréal Pierre-Elliott-Trudeau (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 vire en finale pour la piste 28 à l’aéroport international Montréal Pierre-Elliott-Trudeau (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 en finale de la piste 28 à l'aéroport international Montréal Pierre-Elliott-Trudeau , pendant que Westjet roule sur la piste 06R (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 en finale de la piste 28 à l’aéroport international Montréal Pierre-Elliott-Trudeau , pendant que Westjet roule sur la piste 06R (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 s'apprête à quitter la piste 28 de l'aéroport international de Montréal Pierre-Elliott-Trudeau (FSX)
Piper Tomahawk PA-38 s’apprête à quitter la piste 28 de l’aéroport international de Montréal Pierre-Elliott-Trudeau (FSX)

Un petit monomoteur tel que ce Piper PA-38 Tomahawk de Alabeo fait très bien l’affaire. J’ai choisi un circuit par la gauche sur la piste 28 car elle permet une belle vue du terminal au décollage et à l’atterrissage. Fly Tampa Montreal permet au pilote virtuel d’observer des attraits touristiques très connus lors du circuit autour de l’aéroport. On peut voir, au loin, le stade olympique, l’Oratoire St-Joseph, une partie de la place Ville Marie.

Lors du vent arrière, si vous effectuez l’exercice durant l’hiver, vous pouvez constater qu’une partie seulement de l’eau du Lac St-Louis est gelée. En base gauche, les bâtiments très bien détaillés de la compagnie Air Canada et Bombardier sont visibles. Si vous aviez atterri sur la 24L, vous auriez pu apercevoir d’autres noms de compagnies bien connues. Tous les bâtiments de l’aéroport sont conçus avec beaucoup de soin.

Le logiciel My Traffic permet des mouvements d’aéronefs autour de l’aéroport pendant votre exercice, ce qui rend votre vol encore plus intéressant. Le réalisme est également au rendez-vous en ce qui concerne les plaques de neige sur la piste 28 au moment de l’approche. Bref un exercice pas compliqué pour ceux qui débutent dans le pilotage virtuel mais qui désirent tout de même que l’expérience soit la plus réaliste et intéressante que possible.

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