Tout est maintenant prêt! Le premier planeur est arrivé à l’aéroport de Fane Parish en Papouasie Nouvelle-Guinée …
Planeur sur la courte piste en gazon et en pente de Fane Parish en Papouasie Nouvelle-Guinée.
Avant que ce soit officiellement offert en tant qu’attraction touristique pour la région, quelques essais de décollage et atterrissage doivent être effectués. Le premier essai attire quelques curieux!
Avion et planeur sur la piste en montagne de Fane Parish.
La descente le long de la piste en pente de 12 degrés secoue un peu et le devant des ailes est un peu égratigné. Certains petits buissons devront être élagués!
Un aéronef tire un planeur au décollage de la piste en pente de Fane Parish en Papouasie Nouvelle-Guinée.
La météo est superbe et la température très chaude. Le seul problème potentiel est la montagne droit devant.
Planeur tiré par un avion après le décollage de la piste en montagne de Fane Parish.
Le pilote coupe finalement le lien. Il est libre d’explorer les environs!
Lien coupé entre l’avion et le planeur après le décollage de Fane Parish.
Le planeur survole silencieusement la jungle de la Papouasie Nouvelle-Guinée.
Survol du territoire de la Papouasie Nouvelle-Guinée avec un planeur virtuel (FSX)
Utilisant les courants d’air chaud, le planeur gagne en altitude.
Le planeur prend de l’altitude.
Pourquoi pas un survol du village de Fane?
Survol du village de Fane Parish avec un planeur virtuel.
Et voici un autre village isolé le long de la montagne.
Vol avec planeur virtuel au-dessus d’un village isolé de Papouasie Nouvelle-Guinée
Un dernier virage serré pour débuter l’approche vers Fane Parish.
Dernier virage serré pour un atterrissage court sur la piste en pente de Fane Parish
Les aérofreins sont sortis et la vitesse est raisonnable. La piste en pente est juste devant, sur le sommet de la montagne de droite.
Approche d’un planeur pour la piste en terrain élevé de Fane Parish en Papouasie Nouvelle-Guinée. La vitesse est appropriée et l’angle est bon.
Il faut conserver juste assez d’altitude pour être certain de se rendre jusqu’à la piste.
Planeur en approche pour la piste en pente de 12 degrés de l’aéroport de Fane Parish.
Maintenant que l’atterrissage est assuré, il est temps d’utiliser les aérofreins pour ralentir le planeur.
Planeur virtuel arrivant au-dessus de la piste de Fane Parish en Papouasie Nouvelle-Guinée. Les aérofreins sont sortis.
Étant donné que cette piste d’atterrissage en altitude a une bonne pente, il est préférable de conserver un peu de vitesse. Aucun pilote n’apprécie un décrochage à quelques pieds au-dessus de la piste.
Planeur virtuel avec aérofreins au-dessus de la piste de Fane Parish
Quelle expérience! Mais le pilote aura besoin d’aide pour remonter le planeur le long de la pente!
Planeur sur la piste de Fane Parish
Le vol était superbe, la vue en valait vraiment la peine. Je pense que cette activité de planeur pourrait devenir une attraction touristique pour la région et les visiteurs plus fortunés …
Planeur atterri sur la piste de l’aéroport de Fane Parish en Papouasie Nouvelle-Guinée
La scène virtuelle est une création de Ken Hall et Tim Harris pour la compagnie ORBX.
Il n’y a pas d’aéronefs dans le ciel aux environs de l’aéroport virtuel de Port Moresby Jacksons (AYPY) aujourd’hui. Aucun aéronef sauf un, chargé d’une évacuation médicale.
Arrivée du Medevac vers l’aéroport de Port Moresby Jacksons (AYPY). Les vents empêchent un atterrissage normal.
Les vents soufflent du 240 degrés à 50G60 nœuds et les pistes sont orientées 14/32. Cela dépasse largement les vents de travers autorisés pour les aéronefs.
Mais l’équipage du Rockwell Shrike Commander 500S ne peut attendre que le vent se calme. Il doit atterrir dans les prochaines minutes pour espérer sauver la vie du patient.
L’aéroport de Port Moresby Jacksons (AYPY) est en vue en haut au centre de la photo.
Étant donné qu’il n’y a aucun trafic aérien autour de l’aéroport, le commandant de bord a signifié aux contrôleurs aériens son intention d’effectuer une approche sécuritaire mais qui sort de la norme établie.
L’avion est placé graduellement pour arriver en ligne droite vers le hangar de AYPY.
L’avion s’aligne face au vent pour l’approche à travers les pistes.
Arrivant directement à travers les pistes, face au vent, l’équipage a l’intention de faire atterrir l’avion à quelques pieds d’un hangar. Le capitaine demande que quelqu’un ouvre la porte du hangar immédiatement. L’approche se terminera devant les portes du hangar, protégée du vent.
Trajet du Shrike Commander 500S vers le hangar de l’aéroport de Port Moresby Jacksons. La porte est ouverte pour l’arrivée.
Il est plus sécuritaire d’arriver directement face au vent et d’entrer immédiatement dans le hangar. Il faut éviter de circuler avec des vents de 60 nœuds de travers.
Inutile de dire que le contrôleur aérien a refusé la demande. Le capitaine d’un avion est cependant le seul qui décide de la meilleure surface pour l’atterrissage, autant pour la sécurité des passagers que pour lui-même. Il procède avec son approche, après avoir clairement indiqué quelle trajectoire sera suivie.
Le Shrike Commander 500S au-dessus des habitations près de Port Moresby Jacksons.
Le problème principal pour l’approche est la turbulence mécanique de bas niveau causée par les vents en rafales de 60 nœuds.
Si l’ATC veut faire une plainte, le moment est arrivé : il est possible de prendre une photo de l’avion de même que de son immatriculation.
Vol par le travers de la tour de contrôle de AYPY.
La vitesse-sol de l’avion se situe autour de 20 nœuds.
Le Shrike Commander 500S en approche à travers les pistes de l’aéroport de Port Moresby Jacksons. Les vents soufflent du 240 degrés à 50G60.
La vitesse stable des vents est actuellement plus sécuritaire que si les vents étaient du 240 à 35G60.
Vitesse-sol de 20 noeuds pour le Shrike Commander 500S en finale pour le hangar de Port Moresby Jacksons (AYPY).
Toujours légèrement au-dessus de la piste et à une vitesse-sol entre 10 et 20 nœuds. L’anémomètre indique la vitesse du vent lui-même additionnée à celle de la vitesse-sol.
Vitesse indiquée 70 noeuds.
Vue frontale du Shrike Commander 500S pendant l’arrondi devant le hangar de AYPY.
L’avion flotte comme une montgolfière ou presque!
Vue latérale du Shrike Commander 500S en finale pour le hangar à Port Moresby Jacksons.
Le Shrike Commander atterrira sous peu à Port Moresby Jacksons.
Au moment où l’avion touche le sol, il arrête presqu’immédiatement. Il est même nécessaire de mettre les gaz pour atteindre le hangar, comme en témoigne les traînées blanches derrière l’appareil.
Dans la vraie vie, le touché des roues se serait fait dès que débute l’asphalte étant donné que la présence du hangar réduit un peu la vitesse du vent.
Atterrissage du Shrike Commander quelques pieds avant le hangar. Du pouvoir supplémentaire est nécessaire pour atteindre le hangar.
Quelques secondes après s’être posé, l’avion est dans le hangar, protégé du vent, et autant le médecin que le patient peuvent rapidement être conduits à l’hôpital.
Le Shrike Commander 500S dans le hangar à Port Moresby (AYPY).
Une fois dans le hangar, les vents virtuels sont ajustés à zéro, ce qui est logique, à moins que le mur opposé du hangar soit absent!
Vue verticale de l’aéroport de Port Moresby Jacksons (AYPY)
Il est maintenant temps de se préparer à affronter une autre tempête, celle de l’enquête qui suivra possiblement l’atterrissage!
(P.S. : Tim Harris et Ken Hall ont été les créateurs de cet aéroport virtuel de Port Moresby Jacksons. Ce dernier est vendu par Orbx et l’avion virtuel est venu par Carenado).
Le C-130 virtuel des Blue Angels circule à l’aéroport de High River, en Alberta.
Dans le but de rajouter un vol pratiquement impossible dans la section des vols insensés de mon site web, j’ai tenté une panne graduelle des quatre moteurs du C-130 (Captain Sim) des Blue Angels.
Le C-130 Hercules des Blue Angels en attente derrière un monomoteur à l’aéroport de High River.
Je sais que les mécaniciens des Blue Angels sont des professionnels, alors j’assume dès lors que la panne a été causée par une raison indépendante de cette équipe.
Décollage du Lockheed C-130 Hercules des Blue Angels de l’aéroport canadien de High River (CEN4) en Alberta.
Le décollage se fait sans problème de l’aéroport canadien de High River (CEN4), un aéroport gratuit conçu par Vlad Maly et disponible chez ORBX. L’avion quitte la piste de 4150 pieds à destination de l’aéroport de Cœur d’Alène (KCOE) aux États-Unis.
Le premier moteur lâche. Ça ne cause pas de problème important. Mise en drapeau et la montée graduelle continue.
Le C-130 Hercules perd un premier moteur.
Le deuxième moteur s’arrête. Il faut oublier la destination initiale. Le déroutement se fera vers Bonners Ferry (65S) car la piste de 4000 pieds par 75 pieds de large est suffisante pour le C-130.
Le deuxième moteur vient de s’arrêter sur le C-130 Hercules.
Double panne de moteurs sur le C-130 Hercules virtuel des Blue Angels.
Le troisième moteur lâche. Une lente descente débute. Bonners Ferry n’est plus bien loin. L’aéroport est à une altitude de 2337 ft asl.
L’avion est volontairement piloté à une altitude un peu trop haute pour une approche normale, au cas où le quatrième moteur s’arrête. Quand trois moteurs s’arrêtent après le même plein d’essence, le pilote est autorisé à penser que ce qui alimente le quatrième moteur risque également de causer des problèmes.
Trois pannes de moteur sur ce C-130 Hercules virtuel des Blue Angels.
Les montagnes les plus importantes sont maintenant passées.
Avion virtuel C-130 Hercules avec trois moteurs en panne en route vers l’aéroport de Bonners Ferry.
La piste de Bonners Ferry (65S) est en vue.
Avion virtuel C-130 Hercules avec trois moteurs en panne, par le travers de la piste de Bonners Ferry.
Le quatrième moteur s’arrête. Les volets ne sont plus fonctionnels pour l’atterrissage.
Dès maintenant, il faut sauvegarder le vol virtuel à quelques reprises parce qu’il est possible que plusieurs tentatives d’atterrissage soient effectuées en vol plané. De là vient le plaisir du vol virtuel.
Les quatres moteurs sont maintenant en panne sur ce C-130 virtuel.
Le C-130 Hercules est désormais un gros planeur. Quand la même vitesse est conservée, l’avion perd un peu plus de 1000 pieds à la minute. L’inertie est importante.
Les roues ne seront sorties qu’au moment nécessaire car le train d’atterrissage augmente passablement la traînée.
De la position indiquée dans la photo ci-dessous, il est impossible d’arriver directement en ligne droite, l’avion passera au-dessus de la piste. L’avion semble pourtant à une altitude intéressante, mais il s’agit d’une illusion causée par le choix du format grand angle pour la capture d’écran.
L’avion est définitivement trop haut. Et impossible d’utiliser les volets pour augmenter le taux de descente.
Avion Lockheed C-130 Hercules virtuel avec quatre moteurs en panne en approche pour l’aéroport virtuel de Bonners Ferry (65S).
Il faut choisir entre 1) des glissades sur l’aile 2) un virage de 360 degrés pour perdre de l’altitude ou 3) des virages à grande inclinaison en direction de la piste pour augmenter la distance à parcourir.
Quel serait votre choix?
Il n’y a jamais de méthode universelle. Le virage de 360 degrés est le plus risqué mais il peut s’avérer nécessaire. Cela a réussi au commandant Robert Piché aux Açores en 2001 avec son Airbus A330-200 en vol plané). Mais ici, je ne crois pas avoir suffisamment d’altitude en réserve pour compléter le 360 et atteindre la piste.
Il faudra plutôt faire quelques zigzags à grande inclinaison pour rallonger le trajet vers la piste. Pourquoi à grande inclinaison? Pour éviter de trop se rapprocher de l’aéroport tant que l’altitude n’est pas acceptable. Cette méthode devrait permettre de garder un œil en tout temps sur la piste pour vérifier si la pente est toujours bonne pour planer jusqu’à l’aéroport.
Virage de 40 degrés vers la droite en approche pour Bonners Ferry.
Virage grande inclinaison à gauche pour rallonger la distance vers l’aéroport de Bonners Ferry.
J’ai essayé les trois méthodes, toujours à partir du même vol sauvegardé (photo 10). Malgré plusieurs glissades sur l’aile, l’avion se rapproche trop vite de la piste et la vitesse finale se révèle trop élevée pour arrêter un C-130 sans volets ni inverseurs de poussée.
Le virage de 360 degrés, qu’il soit à droite ou à gauche, avec des angles différents et une vitesse raisonnable, fait perdre trop d’altitude à l’appareil. Indéniablement, l’aéronef se présentait toujours entre 200 et 300 pieds avant le seuil de piste.
Finalement, après quelques virages à grande inclinaison, l’avion a été positionné en finale avec la bonne vitesse et la bonne altitude.
Vue du Lockheed C-130 Hercules avec quatre moteurs en panne, en approche pour Bonners Ferry (65S).
Quelques ajustements à la dernière seconde, pour se réaligner au centre de la piste.
Vitesse 150 noeuds. Fin de virage vers Bonners Ferry.
À 140 kts, mais sans inverser la poussée, toute la piste devrait être nécessaire pour arrêter l’appareil.
Vitesse 140 noeuds, enligné avec la piste de Bonners Ferry.
L’atterrissage s’est fait en douceur et l’aéronef s’est immobilisé un peu avant la fin de la piste.
Pour une raison que j’ignore, l’anémomètre indiquait toujours une dizaine de nœuds même lorsque l’avion était arrêté.
Avion-cargo C-130 immobilisé sur la piste de Bonners Ferry.
Avion Lockheed C-130 Hercules virtuel après l’atterrissage à l’aéroport de Bonners Ferry (65S).
Avion C-130 Hercules immobilisé sur la piste de Bonners Ferry.
Essayez ce genre de vol en mode virtuel! Le pire qui puisse arriver est que vous ayez du plaisir!
Pour d’autres vols virtuels insensés, cliquez ici:
Faire un atterrissage virtuel en manuel à Innsbruck (ICAO : LOWI) avec un très gros porteur comme le MD -11F amusera tout amateur de simulation de vol. Depuis que l’aéroport et les environs d’Innsbruck ont été modélisés sous ORBX Innsbruck, la sensation d’immersion est totale. Le paysage est à couper le souffle.
Le MD-11F virtuel de Martinair Cargo au décollage de la piste 26 de l’aéroport de Innsbruck (LOWI)
Commencez par décoller de la piste 08, en décoiffant certainement un peu les observateurs qui se trouveraient en bout de piste. Il faut ensuite prendre suffisamment d’altitude pour pouvoir effectuer un virage de 180 degrés dans le but de vous réaligner sur la piste 26.
Un MD-11F de PMDG se prépare pour une approche visuelle piste 08 à Innsbruck
Il faut s’assurer d’activer la fonction « turbulence » de votre moteur météo virtuel, car l’approche près des montagnes génère généralement de la turbulence qui peut rendre l’approche plus difficile. Le pilote virtuel doit également composer avec les vents du moment, même s’ils ne favorisent pas la piste 26.
MD-11F virtuel de Martinair Cargo en approche pour l’aéroport d’Innsbruck (LOWI)
Les volets doivent être réglés à 50 degrés pour le MD-11F. La fonction « Autopilot » doit être à « OFF ». L’ajustement de l’intensité du freinage automatique se fait en fonction des vents du moment et du poids que vous avez choisis pour l’appareil pour un atterrissage sur un aéroport situé à 2000 pieds d’altitude. La marge de manœuvre quant à la vitesse d’approche n’est pas très grande. J’ai tenté de maintenir environ 150 KTS.
Le MD-11F virtuel de PMDG avec 50 degrés de volets en finale pour la piste 08 à Innsbruck
La piste d’Innsbruck est longue de 2000 mètres . Il n’y a pas beaucoup de réserve pour un MD-11F.
Arrivée du MD-11F virtuel conçu par PMDG sur la piste 08 à Innsbruck
MD-11F virtuel conçu par PMDG en freinage piste 08 à Innsbruck
Une fois au sol, il faut continuer jusqu’au bout de la piste 26 pour pouvoir effectuer un virage de 180 degrés. Il y a juste assez d’espace pour le MD-11F.
MD-11F virtuel de Martinair Cargo remonte la piste 08 après l’atterrissage à Innsbruck
Comme vous pouvez le constater dans l’image ci-dessous, en regardant la manche à vent, l’atterrissage s’est fait par un bon vent trois quarts arrière.
MD-11F virtuel de Martinair Cargo quitte la piste de l’aéroport d’Innsbruck
L’aéroport est superbement modélisé et une place de stationnement est déjà réservée pour les très gros porteurs. Des employés sont en place et attendent votre arrivée.
Aéroport d’Innsbruck virtuel et MD-11F de Martinair Cargo
MD-11F virtuel conçu par PMDG stationné à l’aéroport d’Innsbruck en Autriche
MD-11F virtuel de Martinair Cargo stationné à l’aéroport de Innsbruck
Vous pouvez tenter l’expérience avec tout autre gros porteur si vous ne possédez pas déjà un MD -11 virtuel de la compagnie PMDG. Si toutefois vous désirez acquérir cet aéronef virtuel, vous constaterez qu’il ne semble plus offert, pour le moment, par la compagnie PMDG. Tentez de faire pression auprès de cette compagnie pour qu’elle offre de nouveau cet appareil sur lequel elle a mis tant d’heures de travail. Un message sur leur site Facebook devrait leur montrer votre intérêt : https://www.facebook.com/pmdgsimulations
Si vous désirez voir un vidéo exceptionnel de plus de deux heures sur un voyage réel de dix jours à travers le monde effectué par Lufthansa Cargo avec un MD-11 F, il n’y a rien de mieux que le produit offert par la compagnie PilotsEYE.tv : Lufthansa Cargo MF-11F in Quito
DVD de PilotsEye sur un voyage de 10 jours à travers le monde avec un MD-11F de Lufthansa Cargo
La préparation de l’équipage pour un atterrissage difficile sur l’ancienne piste de Quito, Équateur, est remarquable. L’altitude de l’aéroport fait en sorte que le MD -11F opère alors à la limite de ses capacités. Assurez-vous de posséder un lecteur pouvant décoder les vidéos européens.
Un gros porteur MD-11 de la compagnie brésilienne VASP en finale pour l’aéroport international de Guarulhos à Sao Paulo.
L’image ci-dessus représente un aéronef virtuel MD-11 aux couleurs de la compagnie VASP au-dessus de Sao Paulo. Dans le simulateur de vol, je l’ai positionné en finale pour l’aéroport international de Guarulhos (IATA : GRU, ICAO : SBGR) au Brésil. Ce MD-11 a été conçu par la compagnie PMDG.
Le paysage est une création de la compagnie Orbx et comprend des couches successives de leurs produits pour en arriver à cet aspect final. Il y a tout d’abord FTX Global Base Pack, puis FTX Global openLC South America et FTX Global Vector. Pour compléter le tout, mais qui n’est pas vraiment visible dans cette capture d’écran de début de nuit, FTX Global Trees HD.
Un MD-11 cargo virtuel de la compagnie Martinair décolle de l’aéroport de Innsbruck en Autriche.
Les montagnes entourant l’aéroport de Innsbruck servent de toile de fond au décollage de ce MD-11 virtuel de Martinair Cargo.
Les deux photos ci-dessus montrent un MD-11 virtuel au décollage d’Innsbruck en Autriche. Le paysage de cette région, en mode réel autant que virtuel, est à couper le souffle. Je me sers essentiellement de FSX pour l’instant, mais surveille constamment l’évolution de la plateforme de simulation de vol Aerofly FS2. Les nuages virtuels pour les trois photos proviennent de la compagnie REX Simulations et le moteur météo utilisé pour l’occasion est FSGRW.
Le MD-11 est un aéronef virtuel extrêmement intéressant à piloter en simulation de vol mais il semble que la compagnie PMDG n’apporte plus de modifications à l’appareil pour lui permettre de suivre l’évolution des plateformes d’exploitations de Microsoft. Il n’est pas non plus modifié pour fonctionner avec P3D ou d’autres plateformes de vol virtuel. Il suffirait pourtant que des clients démontrent leur intérêt ( https://www.facebook.com/pmdgsimulations ) pour l’appareil pour que PMDG se donne la peine de modifier son MD-11 pour les nouvelles plateformes.
Dommage, car la documentation offerte par la compagnie est tout ce qu’il y a de plus complet et tous les articles en couleur de la revue PC Pilot expliquant comment voler l’avion sont encore disponibles aujourd’hui en un seul téléchargement PC Pilot Special Issue MD-11.
Voici quelques captures d’écran modifiées d’un vol virtuel effectué récemment avec le B-52 de la compagnie Captain Sim.
B-52 virtuel de la compagnie Captain Sim dans le sud de la Californie
Naturellement, la qualité élevée du paysage à l’arrière-plan et des nuages bien modélisés contribuent à rendre les captures d’écran plus réalistes. La plateforme de simulation de vol utilisée est FSX. Les textures de nuages proviennent de la compagnie REX Simulations.
Les paysages sont une création de la compagnie ORBX. En ce qui concerne les trois photos, les produits ORBX utilisés étaient FTX Global Base Pack, FTX Global Vector, FTX Global Open LC North America, FTX Global Trees HD et NA Southern California. La période de la journée utilisée dans FSX était tôt le matin.
Nuages virtuels de la compagnie REX et plateforme de simulation de vol FSX
Quelques modifications au moyen de Photoshop ont été effectuées dans la photo ci-dessous pour donner une sensation de vitesse au B-52. Quand il s’agit de traiter une capture d’écran d’un aéronef virtuel avec un logiciel de traitement de l’image, les mêmes règles qu’avec une photo normale s’appliquent : la modération donne de meilleurs résultats.
Le B-52 virtuel à haute vitesse et basse altitude dans le sud de la Californie
Le son émis par les huit moteurs du B-52 de Captain Sim est assez impressionnant. C’est un avion qui, malgré la puissance énorme offerte pour le décollage, exige que l’on suive les procédures à la lettre sinon il ne lève tout simplement pas. Un parachute peut être déployé à l’atterrissage pour l’effet visuel, mais le simulateur de vol ne tient pas compte de sa présence pour calculer la distance requise pour le freinage.
Les photos suivantes montrent un vol virtuel effectué aux États-Unis. Le vol se fait à partir de KBLU (Blue Canyon-Nyack) vers Limberlost Ranch (CA21) et ensuite vers Gansner Field (201). Atterrir et décoller de l’aéroport de Limberlost Ranch est un défi intéressant.
Pour cette simulation de vol, le simulateur de vol FSX a été utilisé, de même que le Cessna C-207 de Carenado et les nuages modélises de REX.
Au décollage de KBLU.
Le Cessna C-207 est au décollage de la piste de Blue Canyon-Nyack
En route de KBLU (5284 pieds ASL) vers Limberlost Ranch et sa piste de gazon de 1700 pieds (1650 pieds ASL et environ 23 NM à l’est de KBLU), vous passez par le travers de l’aéroport Nevada County (O17) qui a également reçu un traitement spécial de la compagnie ORBX.
Il peut s’avérer nécessaire de survoler l’aéroport de Limberlost Ranch avant d’entamer une approche, histoire de vous faire une idée de ce qu’il faut anticiper une fois en finale.
Au-dessus de la courte piste en pente de Limberlost Ranch
Limberlost Ranch a une piste en pente (en fait, une piste avec de multiples pentes). Une partie de celle-ci est asphaltée, mais la plus grande partie est en gazon. Vous faites l’approche sur la partie en gazon. Notez qu’il y a une clôture sur le côté au début de la piste : l’aéronef virtuel ne devrait pas toucher le sol avant d’avoir dépasser la clôture (pour un plus grand réalisme).
Le Cessna C-207 est en finale pour la piste de Limberlost Ranch
Atterrissage sur la courte piste en pente et en gazon de Limberlost Ranch
Le Cessna C-207 est stationné à Limberlost Ranch pour quelques minutes
Prêt pour le décollage de la piste de Limberlost Ranch
Avec un peu de vent de travers, décoller de cette courte piste peut être exigeant. L’avion réagit mollement; il se comporte un peu comme un bateau. Il faut s’assurer d’éviter la ligne d’arbres sur le côté gauche de cette étroite piste. Les volets doivent être utilisés, comme cela est la norme lors d’opérations sur piste en terrain mou. Un usage avisé du gouvernail de profondeur fera de votre décollage un succès.
Décollage de la piste de Limberlost Ranch
En route vers Gansner Field.
Gansner Field est environ à 41 NM au nord de KBLU. L’aéroport virtuel est très bien fait et se trouve au creux d’une vallée. Arrivant de KBLU, vous devez passer quelques montagnes d’une hauteur de 6000 pieds avant de descendre plutôt rapidement vers la piste asphaltée située à 3419 pieds ASL).
Au-dessus de la piste de l’aéroport de Gansner Field
Pour apprécier pleinement ces vols virtuels, je vous suggère d’installer les différentes couches de produits ORBX (Global, Vector et Open LC), de même que la scène virtuelle de KBLU.
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Cessna 185F virtuel C-GNWA en finale pour Roberts Lake (CRL8) en Ontario
Ce Cessna 185F virtuel est actuellement en finale pour Roberts Lake (CRL8) en Ontario. À cause des vents dominants au moment du vol, j’ai dû faire une approche basse au-dessus de la piste de l’aéroport de Parry Sound (CNK4). La météo réelle était téléchargée de l’internet.
Comme vous pouvez le constater, il y avait de la mauvaise météo près de l’aéroport. Considérant la nuit qui approchait, ce fût le dernier vol de la soirée.
C-GNWA appartient à la compagnie North-Wright Airways Ltd, basée à Norman Wells dans les Territoires du Nord-Ouest. Ce Cessna 185F a été construit en 1977.
FSX est la plateforme de simulation de vol qui a été utilisée. Les nuages virtuels sont une combinaison de REX (Texture Direct et Soft Clouds) et Cumulus X. La capture d’écran a été légèrement éditée au moyen d’un logiciel de traitement de l’image de façon à optimiser les contrastes et la luminosité.
Vlad Maly, qui est décédé en 2016, était le créateur de cette scène virtuelle combinant Parry Sound et Roberts Lake. Elle est vendue par la compagnie Orbx.
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Vue aérienne de la station de recherche de Rothera en Antarctique.
Pour ce vol, vous avez obligatoirement besoin du logiciel de simulation de vol Antarctica X créé par Aerosoft.
Les Twin Otters et le Dash-7 de la société BAS sont entretenus à Calgary, au Canada, et volent vers l’Antarctique durant l’été austral, entre Octobre et Mars. Donc si vous souhaitez simuler un vol avec un Twin Otter ou un Dash-7 entre le Chili et l’Antarctique, choisissez un de ces mois pour plus de réalisme.
Étant donné qu’il serait un peu long de faire tous les vols virtuels normalement effectués du Canada vers l’Antarctique, j’ai plutôt choisi d’effectuer les trois derniers vols, pour voir de quoi le paysage a l’air.
Le Twin Otter est normalement approuvé pour un décollage avec poids maximal de 12,500 livres. Mais avec des skis pesant 800 livres et du carburant supplémentaire requis pour des trajets anormalement longs, la société BAS (British Antarctic Survey) s’est organisée pour faire certifier leurs Twin Otters à un poids maximal de 14,000 livres. Même à ce poids, l’avion peut toujours continuer à voler sur un moteur.
Le premier vol consiste en un trajet entre l’aéroport de La Florida (SCSE) au Chili et l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt (SCTE) également au Chili. La Florida est une escale obligée pour ravitaillement en carburant.
Décollage de La Florida, Chili, après un plein d’essence.
Ce vol avec le Twin Otter dure environ 4 :25 heures (696 nm) avec un cap de 185 degrés.
En vol vers El Tepual de Puerto Montt, Chili.
Pour améliorer le paysage, je me suis servi des logiciels FTX Global, FTX Vector et Pilot’s FS Global 2010. Orbx a également retravaillé l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt pour inclure quelques personnes, des avions et de nouveaux bâtiments. Cela rend la destination plus intéressante.
Twin Otter en finale pour El Tepual de Puerto Montt, Chili.
Prêt pour le ravitaillement à l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt, Chili
Le prochain vol se fait entre l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt (SCTE) et celui de Punta Arenas (SCCI), les deux au Chili.
Avion Twin Otter au décollage vers Punta Arenas, Chili.
Ce vol, effectué à travers les Andes, demande absolument une belle météo. Vous devrez monter jusqu’à 17,000 pieds pour faire un trajet direct entre les deux aéroports.
Twin Otter au-dessus des Andes en montée pour 17,000 pieds
Des vues spectaculaires s’offrent souvent au pilote virtuel durant le trajet. Le Twin Otter de la BAS n’est piloté que par un seul pilote mais celui-ci est toujours accompagné d’une autre personne.
Avion Twin Otter en rapprochement pour Punta Arenas, Chili.
N’oubliez pas d’appauvrir le mélange air/essence durant la montée. Utilisez également de l’oxygène supplémentaire (!!) si vous ne voulez pas commencer à divaguer et voler en cercles après une heure de vol. Pensez à enrichir le mélange lors de la descente, considérant que vous perdrez pratiquement 17,000 pieds.
Plein de carburant à Punta Arenas, Chili.
La version originale de l’aéroport Punta Arenas, telle qu’elle se trouve dans FSX, n’est vraiment pas très intéressante. L’aéroport est dénudé, ne présentant qu’un seul bâtiment et un VOR.
Mais étant donné que le pilote de la société BAS effectue toujours ce trajet obligatoire avant de s’envoler pour l’Antarctique, j’ai choisi de ne pas changer le trajet. Le vol vers Punta Arenas a suivi une direction moyenne de 164 degrés et la durée a été d’environ 4 :28 heures. Vous pouvez bien sûr accélérer le processus une fois l’aéronef établi en vol de croisière.
Le dernier vol a été de Punta Arenas, au Chili, vers Rothera en Antarctique.
Avion Twin Otter en route pour l’aéroport de Rothera en Antarctique.
Le Twin Otter prend entre six et sept heures, sur un cap de 162 degrés, pour couvrir la distance entre Punta Arenas (SCCI) et Rothera (EGAR).
Au-dessus des sommets enneigés du Chili, en route vers Rothera, Antarctique
Transport d’une réserve de carburant en route pour Rothera, Antarctique.
La piste de l’aéroport de Rothera est faite de gravier et mesure 2953 pieds, suffisamment longue pour le Twin Otter et le Dash-7. Avant d’effectuer le vol, allez dans votre fichier de simulateur de vol « aerosoft/Antarctica X » et cliquez sur l’option LOD 8.5 (le programme est réglé de base sur un LOD 4.5). Vous obtiendrez ainsi une définition supérieure lorsque vous approchez l’Antarctique.
La station de recherche antarctique de Rothera est en vue
Avion Twin Otter en finale pour Rothera, Antarctique.
La revue Airliner World a publié en mars 2017 un excellent article sur les opérations de la société BAS en Antarctique. On y trouvait de multiples photos très intéressantes et des explications détaillées sur ce que doivent anticiper les pilotes et le personnel travaillant pour la société BAS. J’ai comparé l’aéroport virtuel de Rothera avec les photos du vrai aéroport fournies par Airliner World et j’ai été étonné par le niveau de ressemblance et la précision des détails.
Avion Twin Otter de la British Antarctic Survey atterrissant sur la piste de Rothera, Antarctique
La société BAS est toujours prête pour les surprises : « Elle maintien un inventaire de pièces de $5m, incluant un moteur de rechange pour chaque aéronef, des hélices supplémentaires et des composants pour le train d’atterrissage ».
Avion Twin Otter de la BAS après un atterrissage sur la piste de Rothera, Antarctique
« Un nouveau développement pour l’Air Unit a été son association avec la RAF, utilisant un avion de transport C-130 Hercules pour parachuter du matériel sur le champs d’opérations. Ils volent de Punta Arenas et parachutent du carburant pour aider à notre programme de recherche sur le Ronne Ice Shelf. […] Cela fait partie de le système d’entraînement et la précision de leur parachutage est très impressionnante. Ils peuvent parachuter 250 barils de carburant, pensez au nombre de voyages de Twin Otter que cela aurait représenté pour nous (48 ou plus de 400 heures de vol) ».
Le hangar principal de Rothera, Antarctique.
La compagnie Aerosoft a fait un excellent travail pour répliquer Rothera, la station de recherche principale de la société BAS en Antarctique. Le hangar principal peut accomoder en même temps trois Twin Otters et un Dash-7.
Intérieur du hangar principal de la station de recherche de Rothera, Antarctique.
Lorsque votre vol sera complété, n’oubliez pas de cliquer de nouveau sur LOD 4.5 pour l’Antarctique dans votre fichier aerosoft/Antarctica X.
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L’amateur de simulation de vol aura du plaisir à tenter ce court vol (14 minutes) entre l’aéroport virtuel de Eagle County (KEGE) et l’aéroport virtuel de Telluride (KTEX). Le vol virtuel, sous FSX, a été effectué durant l’hiver, plus précisément le 8 janvier (pour ceux qui voudraient répéter l’expérience). Les photos ci-dessous représentent une idée de ce qu’il est possible d’observer en route pour Telluride. Une altitude de 14,000 pieds devrait suffire….
MD-11 de FedEx roule à l’aéroport d’Eagle County (KEGE) (FSX)
MD-11 de FedEx au décollage de l’aéroport de Eagle County (KEGE) (FSX)
MD-11 de FedEx en route de Eagle County airport (KEGE) vers Telluride (KTEX) (FSX)
Il y a beaucoup de belles montagnes entre KEGE et Telluride, et aussi une météo passablement imprévisible…
MD-11 de FedEx entre l’aéroport de KEGE et celui de KTEX (FSX)
Le plafond prévu à Telluride était de 8500 ft. En route vers l’aéroport, les nuages et la visibilité obscurcissaient parfois les montagnes.
MD-11 de FedEx sur un trajet Eagle County (KEGE) Telluride (KTEX) (FSX)
Telluride est un aéroport invitant pour un MD-11. La piste de 7000 pieds ne représente pas un grand défi, même si avec sa largeur de 100 pieds elle demeure un peu étroite : cet avion exige normalement une piste d’atterrissage de 150 pieds de large.
L’approche VFR virtuelle faite avec le MD-11 constituait la façon la plus dispendieuse de faire le voyage étant donné qu’elle exigeait un vol par le travers de Telluride suivi d’un virage de 270 degrés vers la droite pour un alignement piste 09.
MD-11 de FedEx passe par le travers de l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Le virage de 270 degrés a été effectué avec un angle variant entre 10 et 20 degrés pendant que l’altitude passait de 14,000 à 10,000 pieds de façon à éviter toute manœuvre radicale. Pendant le virage et la descente, la vitesse a progressivement été réduite à 160 kts. Le MD-11 était maintenant établi en finale avec les volets réglés à 50 degrés.
Un MD-11 de FedEx en longue finale piste 09 pour l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
La piste d’atterrissage en altitude de 9078 pieds au-dessus du niveau de la mer signifiait que le pilote devait considérer une densité de l’air plus faible et ajuster la vitesse de l’appareil en conséquence pour éviter un décrochage en finale.
Un MD-11 de FedEx en finale piste 09 pour l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Voici une vue à partir de la tour de Telluride…
Vue à partir de l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX) d’un MD-11 de FedEx en finale piste 09
Avec une vue comme celle-là, pas question d’arriver en mode IFR…!
Un MD-11 de FedEx en provenance de KEGE en finale pour l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
De façon à prévenir une approche manquée et des dépenses supplémentaires en carburant (qui étaient déjà anormalement élevées), une approche optimale était requise.
La plupart des accidents impliquant un MD-11 se produisent lorsque le pilote pousse sur le manche lorsqu’il y a un rebond de la roue avant, créant ainsi un rebond supplémentaire encore plus prononcé. Lorsqu’il y a un rebond, il n’est pas nécessaire d’appuyer sur le manche : il suffit d’attendre que l’avion se stabilise et la roue de nez redescendra d’elle-même rapidement.
Un MD-11 de FedEx au-dessus du seuil de piste 09 à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
C’est le moment du freinage maximal et des inverseurs de poussée…
Un MD-11 de FedEx en freinage piste 09 à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Le MD-11 peut facilement quitter la piste à la première voie de circulation à Telluride. Mais dans le but de capturer une meilleure vue de l’aéroport, j’ai utilisé la dernière voie de circulation (ajoutant encore un peu aux dépenses extravagantes en carburant)…
Un MD-11 de FedEx quitte la piste 09 à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
L’employé sur la rampe semble se demander si l’aile du MD-11 risque d’accrocher le jet d’affaires N900SS en circulant. Mais il y avait suffisamment d’espace (environ 11 pouces!).
Un MD-11 de FedEx circule sur la rampe à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Le MD-11 a été stationné temporairement à un endroit privilégié de l’aéroport. Il a été nécessaire de décharger rapidement le précieux cargo et dégager l’aire de ravitaillement.
Stationnement temporaire improvisé pour un MD-11 de FedEx à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
De l’aide de professionnels sera requise pour aider à déplacer le MD-11 et le ramener vers la piste. Mais cela est le problème du gestionnaire de l’aéroport qui a promis d’avoir l’équipement nécessaire au moment des communications avec FedEx!
MD-11 de FedEx stationné à l’aéroport de Telluride (FSX)
La scène virtuelle, du départ jusqu’à la destination, est une création des programmeurs de la compagnie ORBX. Le MD-11 virtuel provient de PMDG Simulations (je ne suis pas certain que l’appareil fonctionne sous P3D). Le moteur météo est conçu par REX Simulations, qui est également le fournisseur des textures de nuages, en combinaison avec Cumulus X. (Edit: le MD-11 n’est plus supporté par PMDG).
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