La quatrième dition de la liste des aroports virtuels Orbx gratuits et payants en date du 2 juin 2019 se trouve dans le lien PDF tlchargeable ci-dessous. La liste des aroports est complète, mais je complète actuellement les dtails relis aux pistes de chaque aroport.
Les informations contenues dans les fichiers sont en couleur. Les aroports en noir proviennent des Global Freeware Pack. Les aroports en vert sont galement gratuits, mais ne font pas partie des Global Freeware Pack. Les aroports en bleu sont payants.
Quand une piste est de couleur orange, c’est qu’elle est de 2000 pieds ou moins et/ou que sa largeur est de 60 pieds ou moins. Les hydroarodromes ont la mention « water » en bleu. À la fin de chaque description des pistes se trouve l’lvation de l’aroport. Elle est en rouge.
La troisième dition de la liste des aroports Orbx gratuits et payants en date du 26 mai 2019 se trouve dans le lien PDF tlchargeable ci-dessous. La liste n’est pas encore complète, mais elle avance bien.
Les informations contenues dans les fichiers sont en couleur. Les aroports en noir proviennent des Global Freeware Pack. Les aroports en vert sont galement gratuits, mais ne font pas partie des Global Freeware Pack. Les aroports en bleu sont payants.
Quand une piste est de couleur orange, c’est qu’elle est de 2000 pieds ou moins et/ou que sa largeur est de 60 pieds ou moins. Les hydroarodromes ont la mention « water » en bleu. À la fin de chaque description des pistes se trouve l’lvation de l’aroport. Elle est en rouge.
Un DHC-3 de la compagnie Air Saguenay a russi faire le voyage entre le Qubec et Kokoda en Papouasie Nouvelle-Guine. Il travaillera dans le secteur, sur les diffrentes pistes en montagne, durant plusieurs mois.
Aujourd’hui, le Otter se dirige vers Launumu, une piste en montagne dont l’lvation est de 5082 pieds asl et qui a une longueur de 1200 pieds.
Il faut surveiller les oiseaux pour viter les collisions en vol.
Une bonne façon d’atteindre Launumu est de suivre le sentier de Kokoda.
Si le mlange air/essence n’est pas bien ajust, l’aronef perdra de la puissance en tentant de franchir certaines montagnes dont le sommet culmine autour de 7500 pieds.
Tout pilote atterrissant ou quittant Launumu doit composer avec une haute altitude densit. Ce n’est pas seulement dû l’lvation de la piste, mais aussi la prsence d’air chaud et humide dans la rgion. En consquence, une vitesse un peu plus leve sera ncessaire au moment de l’arrive et du dpart. La piste de Launumu est en vue.
Lorsqu’un pilote atterri en direction sud-ouest sur la piste de Launumu, en provenance de Kokoda, il doit plonger dans la valle pour perdre de l’altitude. Cela aura pour consquence d’accroître la vitesse de l’appareil.
Si la vitesse n’est pas promptement corrige, l’approche pour la piste de Launumu se fera une vitesse trop leve. Toute vitesse en haut de 60 nœuds forcera le pilote effectuer une approche manque ( moins que vous soyez prêt mourir virtuellement quelques fois en tentant de forcer l’approche).
Donc, une fois les plus hautes montagnes franchies, une bonne façon de perdre de l’altitude sans gagner de vitesse est d’utiliser les volets et de faire un virage serr de 360 degrs tout en descendant. De cette façon, le pilote terminera le virage en ligne avec la piste et la vitesse dsire, qui se situe autour de 50 nœuds.
Le Otter plane longuement grâce ses immenses ailes.
En finale pour la piste de Launumu, le pilote devra composer avec quelques arbustes en finale. Il n’est pas inhabituel pour un Otter ou un Beaver de complter une approche difficile avec quelques plantes vertes enroules autour du train d’atterrissage.
Launumu offre une surprise aux nouveaux arrivants. Si le pilote atterri en direction sud-ouest, comme cela est fait ici, et qu’il n’immobilise pas l’avion en-dedans d’approximativement 600 pieds, l’aronef recommence acclrer cause de la pente prononce dans la deuxième partie de la piste. Cette pente mène une falaise. En cas d’approche manque, le pilote peut utiliser la pente descendante pour plonger dans la valle en fin de piste et ainsi accroître la vitesse de l’appareil et dbuter une nouvelle approche.
Maintenant que le travail difficile est fait, il suffit d’attendre les passagers et la cargaison et de planifier le prochain vol!
La scène virtuelle a t conçue par Ken Hall et Tim Harris.
Les paysages et les nuages virtuels ont ncessit les programmes virtuels tels que REX, REX Texture Direct, Cumulus X, FTX Global, FTX Global Vector et Pilot’s FS Global 2010.
Il n’y a pas d’aronefs dans le ciel aux environs de l’aroport virtuel de Port Moresby Jacksons (AYPY) aujourd’hui. Aucun aronef sauf un, charg d’une vacuation mdicale.
Les vents soufflent du 240 degrs 50G60 nœuds et les pistes sont orientes 14/32. Cela dpasse largement les vents de travers autoriss pour les aronefs.
Mais l’quipage du Rockwell Shrike Commander 500S ne peut attendre que le vent se calme. Il doit atterrir dans les prochaines minutes pour esprer sauver la vie du patient.
Etant donn qu’il n’y a aucun trafic arien autour de l’aroport, le commandant de bord a signifi aux contrôleurs ariens son intention d’effectuer une approche scuritaire mais qui sort de la norme tablie.
Arrivant directement travers les pistes, face au vent, l’quipage a l’intention de faire atterrir l’avion quelques pieds d’un hangar. Le capitaine demande que quelqu’un ouvre la porte du hangar immdiatement. L’approche se terminera devant les portes du hangar, protge du vent.
Il est plus scuritaire d’arriver directement face au vent et d’entrer immdiatement dans le hangar. Il faut viter de circuler avec des vents de 60 nœuds de travers.
Inutile de dire que le contrôleur arien a refus la demande. Le capitaine d’un avion est cependant le seul qui dcide de la meilleure surface pour l’atterrissage, autant pour la scurit des passagers que pour lui-même. Il procède avec son approche, après avoir clairement indiqu quelle trajectoire sera suivie.
Le problème principal pour l’approche est la turbulence mcanique de bas niveau cause par les vents en rafales de 60 nœuds.
Si l’ATC veut faire une plainte, le moment est arriv : il est possible de prendre une photo de l’avion de même que de son immatriculation.
La vitesse-sol de l’avion se situe autour de 20 nœuds.
La vitesse stable des vents est actuellement plus scuritaire que si les vents taient du 240 35G60.
Toujours lgèrement au-dessus de la piste et une vitesse-sol entre 10 et 20 nœuds. L’anmomètre indique la vitesse du vent lui-même additionne celle de la vitesse-sol.
L’avion flotte comme une montgolfière ou presque!
Au moment où l’avion touche le sol, il arrête presqu’immdiatement. Il est même ncessaire de mettre les gaz pour atteindre le hangar, comme en tmoigne les traînes blanches derrière l’appareil.
Dans la vraie vie, le touch des roues se serait fait dès que dbute l’asphalte tant donn que la prsence du hangar rduit un peu la vitesse du vent.
Quelques secondes après s’être pos, l’avion est dans le hangar, protg du vent, et autant le mdecin que le patient peuvent rapidement être conduits l’hôpital.
Une fois dans le hangar, les vents virtuels sont ajusts zro, ce qui est logique, moins que le mur oppos du hangar soit absent!
Il est maintenant temps de se prparer affronter une autre tempête, celle de l’enquête qui suivra possiblement l’atterrissage!
(P.S. : Tim Harris et Ken Hall ont t les crateurs de cet aroport virtuel de Port Moresby Jacksons. Ce dernier est vendu par Orbx et l’avion virtuel est venu par Carenado).
Je sais, Sumburgh n’est pas un aroport destin recevoir l’Antonov 225, encore moins avec la navette russe Bourane comme cargo. En fait, cet aronef et Sumburgh s’excluent mutuellement. Mais pour les amateurs de simulation de vol qui dsirent tenter quelque chose d’insens, c’est l’occasion. En faisant ce vol, il faut oublier le poids de l’aronef sur la piste, l’espace insuffisant pour circuler et pour stationner et la distance requise pour redcoller. Il est probable qu’il devienne un avion-muse sur l’aroport une fois atterri.
Il est bon, malgr tout, de se rappeler les performances exceptionnelles de cet appareil. Au cours d’une dmonstration au-dessus du Bourget, il vira en maintenant un angle de 45° avec la navette Bourane de 62 tonnes fixe sur son fuselage. L’approche se fait une vitesse tonnamment lente pour le poids de l’appareil et le freinage est reconnu comme tant remarquable. Vous avez le choix entre deux pistes (4700 4900 pieds). Oubliez la finale scuritaire, il faut arriver en rase-mottes. Il est possible de tlcharger l’Antonov 225 et la navette gratuitement. Quant Sumburgh, il s’agit d’une cration payante de ORBX.
Ce vol se retrouve galement dans la section des vols virtuels insenss du prsent site web.
Dans le but de rajouter un vol pratiquement impossible dans la section des vols insenss de mon site web, j’ai tent une panne graduelle des quatre moteurs du C-130 (Captain Sim) des Blue Angels.
Je sais que les mcaniciens des Blue Angels sont des professionnels, alors j’assume dès lors que la panne a t cause par une raison indpendante de cette quipe.
Le dcollage se fait sans problème de l’aroport canadien de High River (CEN4), un aroport gratuit conçu par Vlad Maly et disponible chez ORBX. L’avion quitte la piste de 4150 pieds destination de l’aroport de Cœur d’Alène (KCOE) aux Etats-Unis.
Le premier moteur lâche. Ça ne cause pas de problème important. Mise en drapeau et la monte graduelle continue.
Le deuxième moteur s’arrête. Il faut oublier la destination initiale. Le droutement se fera vers Bonners Ferry (65S) car la piste de 4000 pieds par 75 pieds de large est suffisante pour le C-130.
Le troisième moteur lâche. Une lente descente dbute. Bonners Ferry n’est plus bien loin. L’aroport est une altitude de 2337 ft asl.
L’avion est volontairement pilot une altitude un peu trop haute pour une approche normale, au cas où le quatrième moteur s’arrête. Quand trois moteurs s’arrêtent après le même plein d’essence, le pilote est autoris penser que ce qui alimente le quatrième moteur risque galement de causer des problèmes.
Les montagnes les plus importantes sont maintenant passes.
La piste de Bonners Ferry (65S) est en vue.
Le quatrième moteur s’arrête. Les volets ne sont plus fonctionnels pour l’atterrissage.
Dès maintenant, il faut sauvegarder le vol virtuel quelques reprises parce qu’il est possible que plusieurs tentatives d’atterrissage soient effectues en vol plan. De l vient le plaisir du vol virtuel.
Le C-130 Hercules est dsormais un gros planeur. Quand la même vitesse est conserve, l’avion perd un peu plus de 1000 pieds la minute. L’inertie est importante.
Les roues ne seront sorties qu’au moment ncessaire car le train d’atterrissage augmente passablement la traîne.
De la position indique dans la photo ci-dessous, il est impossible d’arriver directement en ligne droite, l’avion passera au-dessus de la piste. L’avion semble pourtant une altitude intressante, mais il s’agit d’une illusion cause par le choix du format grand angle pour la capture d’cran.
L’avion est dfinitivement trop haut. Et impossible d’utiliser les volets pour augmenter le taux de descente.
Il faut choisir entre 1) des glissades sur l’aile 2) un virage de 360 degrs pour perdre de l’altitude ou 3) des virages grande inclinaison en direction de la piste pour augmenter la distance parcourir.
Quel serait votre choix?
Il n’y a jamais de mthode universelle. Le virage de 360 degrs est le plus risqu mais il peut s’avrer ncessaire. Cela a russi au commandant Robert Pich aux Açores en 2001 avec son Airbus A330-200 en vol plan). Mais ici, je ne crois pas avoir suffisamment d’altitude en rserve pour complter le 360 et atteindre la piste.
Il faudra plutôt faire quelques zigzags grande inclinaison pour rallonger le trajet vers la piste. Pourquoi grande inclinaison? Pour viter de trop se rapprocher de l’aroport tant que l’altitude n’est pas acceptable. Cette mthode devrait permettre de garder un œil en tout temps sur la piste pour vrifier si la pente est toujours bonne pour planer jusqu’ l’aroport.
J’ai essay les trois mthodes, toujours partir du même vol sauvegard (photo 10). Malgr plusieurs glissades sur l’aile, l’avion se rapproche trop vite de la piste et la vitesse finale se rvèle trop leve pour arrêter un C-130 sans volets ni inverseurs de pousse.
Le virage de 360 degrs, qu’il soit droite ou gauche, avec des angles diffrents et une vitesse raisonnable, fait perdre trop d’altitude l’appareil. Indniablement, l’aronef se prsentait toujours entre 200 et 300 pieds avant le seuil de piste.
Finalement, après quelques virages grande inclinaison, l’avion a t positionn en finale avec la bonne vitesse et la bonne altitude.
Quelques ajustements la dernière seconde, pour se raligner au centre de la piste.
À 140 kts, mais sans inverser la pousse, toute la piste devrait être ncessaire pour arrêter l’appareil.
L’atterrissage s’est fait en douceur et l’aronef s’est immobilis un peu avant la fin de la piste.
Pour une raison que j’ignore, l’anmomètre indiquait toujours une dizaine de nœuds même lorsque l’avion tait arrêt.
Essayez ce genre de vol en mode virtuel! Le pire qui puisse arriver est que vous ayez du plaisir!
La cause des dlais et les avantages pour le consommateur
Digital Aviation & Aerosoft ont finalement russi complter leur projet de crer les aronefs virtuels CRJ-900ER et CRJ-700ER de Bombardier. Après des mois de retard, les enthousiastes de simulation de vol peuvent enfin se rjouir. Le CRJ est surtout utilis pour faire la liaison entre les aroports et rgions un peu plus loignes et les grands centres. Il atteint rapidement son altitude de croisière et peut y rester longtemps, mais il n’est pas conçu pour être un aronef très rapide.
La compagnie explique que dès le dpart, elle a sous-estim la complexit du projet et, cause des dlais encourus, s’est finalement fait rattraper par la comptition. Afin d’offrir un produit suprieur, elle a dû revoir ce qui tait considr comme presque termin pour l’amliorer encore davantage avant la mise en march.
Avec le CRJ-700ER et le CRJ-900ER, le consommateur peut d’ores et dj bnficier d’aronefs dont l’extrieur a t complètement revu par rapport ce qui tait initialement prvu. Le directeur de projet indique que ce n’est que grâce aux encouragements et aux appuis de la communaut des amateurs de simulation de vol que la compagnie a dcid de complter le projet, malgr les retards et les coûts additionnels.
Le premier vol avec le CRJ
Pour le premier vol, le manuel recommande de slectionner et activer d’abord un des avions initialement fournis avec FSX, avec le moteur dj dmarr. Ensuite, le pilote virtuel slectionne le CRJ de son choix. Cela vitera, selon les dires de la compagnie, de multiples problèmes.
Cockpit virtuel 2D
Le fait que le cockpit virtuel soit en 2D permet certainement de sauver quelques FPS. L’accès aux boutons et commandes l’intrieur du cockpit est simplifi par l’usage des chiffres de 1 9 sur le clavier, chaque chiffre donnant un accès immdiat la section choisie du tableau de bord et des commandes.
Navigation
Le pilote virtuel a accès la base de donnes NavDataPro pour la navigation arienne. Il s’agit de la base de donnes la plus utilise dans le monde pour la navigation dans les aronefs. Cependant, il y a possibilit d’utiliser Navigraph, pour ceux qui connaissent dj ce logiciel.
Demande sur les processeurs de l’ordinateur
J’ai opr les appareils sur diffrents aroports virtuels tels que St. Maarten (Fly Tampa St. Maarten), Montral international (Fly Tampa Montreal), Denver international (Flightbeam Studios) et Valdez (ORBX) sans prouver d’ennuis quant aux processeurs du simulateur de vol. Il tait hors de question de tenter d’utiliser l’aroport de Courchevel (LLH Creations), cause de sa trop courte piste en pente, mais le survol basse altitude et haute vitesse n’a caus aucun problème quant aux FPS.
Pilotage basse vitesse
Le CRJ offre une bonne marge de manœuvre quant au pilotage basse vitesse. Cependant, dû au positionnement des moteurs, le nez de l’avion se soulève rapidement lorsque la manette des gaz est ramene zro. Dans une descente progressive, cela ne cause pas de problème, mais si la manœuvre est faite en courte finale, alors que l’avion est encore au-dessus de 50 pieds, le nez se soulèvera rapidement et la vitesse baissera considrablement, ce qui peut provoquer un dcrochage.
Les arofreins
Il ne faut pas trop compter sur les arofreins pour ralentir le CRJ. Ils sont d’une efficacit limite, autant dans la vraie vie que dans le vol virtuel.
Tendance au flottement
Si l’avion se prsente un peu au-dessus de la vitesse recommande au-dessus du seuil de piste, il flotte sur une longue distance avant de finalement entrer en contact avec la piste.
Distance de dcollage et d’atterrissage
Le CRJ se satisfait de pistes relativement courtes pour ses oprations. Le CRJ-700 ncessite 5040 pieds pour le dcollage (poids maximal) et l’atterrissage (poids maximal autoris), dans des conditions atmosphriques standard. Le CRJ-900 a, quant lui, besoin de 6060 pieds pour le dcollage et de 5260 pieds pour l’atterrissage. La distance pouvant être couverte se situe entre 1300 et 1400 nm.
Programmes faciles utiliser
Pour le CRJ, Digital Aviation & Aerosoft ont conçu des gestionnaires qui permettent de choisir le nombre de passagers dsirs et le cargo, de même que de calculer le poids en carburant, le centre de gravit et le montant de compensateur ncessaire pour le dcollage. Il y a même une fonction FS2 Crew si dsire. Un autre gestionnaire facilite l’installation de nouvelles couleurs de compagnies.
L’arrive de ce jet rgional dans le monde de la simulation de vol tait attendue depuis longtemps; certains n’y croyaient plus, incluant les gens de Digital Aviation & Aerosoft eux-mêmes. Les amateurs vont enfin pouvoir mettre la main sur un jet rgional virtuel de grande qualit et de classe mondiale.
Pour d’autres articles dans la catgorie “Simulation de vol”, cliquez sur le lien suivant : Simulation de vol
Pour ce vol, vous avez obligatoirement besoin du logiciel de simulation de vol Antarctica X cr par Aerosoft.
Les Twin Otters et le Dash-7 de la socit BAS sont entretenus Calgary, au Canada, et volent vers l’Antarctique durant l’t austral, entre Octobre et Mars. Donc si vous souhaitez simuler un vol avec un Twin Otter ou un Dash-7 entre le Chili et l’Antarctique, choisissez un de ces mois pour plus de ralisme.
Etant donn qu’il serait un peu long de faire tous les vols virtuels normalement effectus du Canada vers l’Antarctique, j’ai plutôt choisi d’effectuer les trois derniers vols, pour voir de quoi le paysage a l’air.
Le Twin Otter est normalement approuv pour un dcollage avec poids maximal de 12,500 livres. Mais avec des skis pesant 800 livres et du carburant supplmentaire requis pour des trajets anormalement longs, la socit BAS (British Antarctic Survey) s’est organise pour faire certifier leurs Twin Otters un poids maximal de 14,000 livres. Même ce poids, l’avion peut toujours continuer voler sur un moteur.
Le premier vol consiste en un trajet entre l’aroport de La Florida (SCSE) au Chili et l’aroport de El Tepual de Puerto Montt (SCTE) galement au Chili. La Florida est une escale oblige pour ravitaillement en carburant.
Ce vol avec le Twin Otter dure environ 4 :25 heures (696 nm) avec un cap de 185 degrs.
Pour amliorer le paysage, je me suis servi des logiciels FTX Global, FTX Vector et Pilot’s FS Global 2010. Orbx a galement retravaill l’aroport de El Tepual de Puerto Montt pour inclure quelques personnes, des avions et de nouveaux bâtiments. Cela rend la destination plus intressante.
Le prochain vol se fait entre l’aroport de El Tepual de Puerto Montt (SCTE) et celui de Punta Arenas (SCCI), les deux au Chili.
Ce vol, effectu travers les Andes, demande absolument une belle mto. Vous devrez monter jusqu’ 17,000 pieds pour faire un trajet direct entre les deux aroports.
Des vues spectaculaires s’offrent souvent au pilote virtuel durant le trajet. Le Twin Otter de la BAS n’est pilot que par un seul pilote mais celui-ci est toujours accompagn d’une autre personne.
N’oubliez pas d’appauvrir le mlange air/essence durant la monte. Utilisez galement de l’oxygène supplmentaire (!!) si vous ne voulez pas commencer divaguer et voler en cercles après une heure de vol. Pensez enrichir le mlange lors de la descente, considrant que vous perdrez pratiquement 17,000 pieds.
La version originale de l’aroport Punta Arenas, telle qu’elle se trouve dans FSX, n’est vraiment pas très intressante. L’aroport est dnud, ne prsentant qu’un seul bâtiment et un VOR.
Mais tant donn que le pilote de la socit BAS effectue toujours ce trajet obligatoire avant de s’envoler pour l’Antarctique, j’ai choisi de ne pas changer le trajet. Le vol vers Punta Arenas a suivi une direction moyenne de 164 degrs et la dure a t d’environ 4 :28 heures. Vous pouvez bien sûr acclrer le processus une fois l’aronef tabli en vol de croisière.
Le dernier vol a t de Punta Arenas, au Chili, vers Rothera en Antarctique.
Le Twin Otter prend entre six et sept heures, sur un cap de 162 degrs, pour couvrir la distance entre Punta Arenas (SCCI) et Rothera (EGAR).
La piste de l’aroport de Rothera est faite de gravier et mesure 2953 pieds, suffisamment longue pour le Twin Otter et le Dash-7. Avant d’effectuer le vol, allez dans votre fichier de simulateur de vol « aerosoft/Antarctica X » et cliquez sur l’option LOD 8.5 (le programme est rgl de base sur un LOD 4.5). Vous obtiendrez ainsi une dfinition suprieure lorsque vous approchez l’Antarctique.
La revue Airliner World a publi en mars 2017 un excellent article sur les oprations de la socit BAS en Antarctique. On y trouvait de multiples photos très intressantes et des explications dtailles sur ce que doivent anticiper les pilotes et le personnel travaillant pour la socit BAS. J’ai compar l’aroport virtuel de Rothera avec les photos du vrai aroport fournies par Airliner World et j’ai t tonn par le niveau de ressemblance et la prcision des dtails.
La socit BAS est toujours prête pour les surprises : « Elle maintien un inventaire de pièces de $5m, incluant un moteur de rechange pour chaque aronef, des hlices supplmentaires et des composants pour le train d’atterrissage ».
« Un nouveau dveloppement pour l’Air Unit a t son association avec la RAF, utilisant un avion de transport C-130 Hercules pour parachuter du matriel sur le champs d’oprations. Ils volent de Punta Arenas et parachutent du carburant pour aider notre programme de recherche sur le Ronne Ice Shelf. […] Cela fait partie de le système d’entraînement et la prcision de leur parachutage est très impressionnante. Ils peuvent parachuter 250 barils de carburant, pensez au nombre de voyages de Twin Otter que cela aurait reprsent pour nous (48 ou plus de 400 heures de vol) ».
La compagnie Aerosoft a fait un excellent travail pour rpliquer Rothera, la station de recherche principale de la socit BAS en Antarctique. Le hangar principal peut accomoder en même temps trois Twin Otters et un Dash-7.
Lorsque votre vol sera complt, n’oubliez pas de cliquer de nouveau sur LOD 4.5 pour l’Antarctique dans votre fichier aerosoft/Antarctica X.
Pour d’autres vols virtuels standards, cliquez sur le lien suivant :
Alex Geoff, le concepteur de l’aroport virtuel de Block Island (KBID) de ORBX a demand aux enthousiastes de simulation de vol de tenter d’utiliser le plus gros appareil possible sur cet aroport dont la piste ne fait que 2502 pieds.
Naturellement, il est ici question de vol virtuel. Il faut donc pardonner l’atterrissage d’un appareil qui, dans la vraie vie, dtruirait la piste sans compter les nombreux arbres qu’il faudrait tailler si l’avion utilisait la voie de circulation après l’atterrissage. Et j’oubliais galement les pilotes et le grant d’aroport qu’il faudrait renvoyer suite l’autorisation de la manœuvre.
Le contexte du vol tant donc prsent, voici les donnes qui permettront aux amateurs de vol virtuel de retenter le circuit l’aroport de Block Island avec un C-17A de Virtavia.
Contrairement aux appareils de type Cessna qui utilisent gnralement l’aroport, la masse de mon C-17A militaire canadien tait de 405,000 livres. Le carburant a t ajust 50% dans les rservoirs extrieurs et intrieurs. Les deux pilotes ont accept de sauter le dîner, de façon ne pas ajouter de poids supplmentaire l’appareil…
Les volets taient ajusts 2/3. J’ai recul l’avion jusqu’en tout dbut de piste, appliqu les freins, pousser la manette des gaz fond, attendu la monte du rgime maximal, relâch les freins et profit de l’effet de sol pour arracher l’appareil du sol au tout dernier moment. Le dcollage s’est fait sur la piste 10 par vent de travers de 12 nœuds et avec un angle de 70 degrs par rapport la piste.
Par la suite, quatre virages droite successifs ont t effectus : 190°, 280°, 010° et 100°. Lors du vol, l’altitude de l’appareil n’a pas dpass 2000 pieds.
Les roues et les pleins volets taient sortis en base de façon ne pas avoir faire trop de rglages en finale.
La vitesse est ventuellement descendue 128 nœuds et, alors que l’appareil tait encore deux pieds dans les airs, les arofreins ont t sortis. Les inverseurs de pousse ont t activs au maximum (pression continue sur F2) juste avant de toucher le sol puisqu’ils prennent du temps faire effet. Normalement ça ne se fait pas et vous pouvez donc activer les inverseurs directement lors du toucher au sol, vous ne perdrez qu’une seconde. Les roues du train principal ont touch le tout dbut de la piste et le freinage maximal a alors t engag.
Il a t possible de sortir sur la voie de circulation sans avoir remonter la piste. L’environnement passant encore en deuxième, quelques arbres avaient t taills pour ne pas qu’il y ait contact avec les ailes de l’appareil.
Si vous tentez l’exprience, pensez sauvegarder le vol lorsque vous êtes en finale, au cas où vous ne seriez pas satisfait de votre performance l’atterrissage (avion endommag, maisons et vhicules du voisinage dtruits, incendie d’une partie de la forêt au bout de la piste 10, victimes collatrales, etc.).
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Ken Hall et Tim Harris ont cr une nouvelle scène virtuelle pour les amateurs de simulation de vol. Elle se nomme « Tapini» et est vendue par ORBX. Leur avant-dernière cration, AYPY Jackson’s International, permettait aux pilotes virtuels de voler vers des aroports virtuels très exigeants le long de la Kokoda Trail en Papouasie Nouvelle-Guine. « Tapini » reprsente un tout nouveau dfi et j’ai inclus plusieurs captures d’cran pour vous donner une impression gnrale des diffrentes pistes incluses dans cette nouvelle scène virtuelle.
« Tapini », toujours en Papouasie Nouvelle-Guine, permet aux pilotes virtuels de se mesurer aux dfis prsents par sept nouvelles pistes d’atterrissage dans la chaîne de montagnes Owen Stanley. Ces aroports constituent galement un srieux test pour les aronefs, comme dans la photo ci-dessus où des dommages au moteur droit ont t subis Yongai.
Pour amliorer les nuages virtuels lors des voyages entre les diffrents aroports, j’ai utilis les moteurs mto REX ou FSGRW. Les textures de nuages et les effets mto ont t amliors par un ou plusieurs des produits suivants : CumulusX, PrecipitFX, REX Texture Direct et REX Soft Clouds.
Comme il y a du plaisir dans la varit, et galement dû aux dfis poss par les diffrentes pistes, les avions virtuels suivants ont t utiliss : Carenado C-185F, Lionheart Creations PA-18, Virtavia DHC-4, Aerosoft DHC-6 Twin Otter et Milton Shupe De Havilland DHC-7.
La scène « Tapini » offre au pilote la slection des sept pistes suivantes :
ASB (Asimba)
Une piste difficile et très courte près d’une rivière
Il s’agit d’une piste très intressante où un avion ADAC tel que le DHC-4 Caribou est appropri. Les habitants doivent cependant offrir leur aide pour vous aider dgager quelques branches près de la piste et qui sont susceptibles de nuire un appareil de cette taille. La piste est en pente vers le bas pour le dcollage, ce qui aide l’avion gagner de la vitesse plus rapidement.
FNE (Fane)
Une piste en pente de 12 degrs prsentant un vrai dfi. Des vents imprvisibles soufflent sur cette piste sens unique situe en haut d’une colline.
La piste est situe au-dessus d’une colline. Atterrir sur cette piste est une exprience vraiment intressante : pas tonnant qu’il y ait autant de personnes surveillant les arrives et dparts.
Si vous ralentissez trop rapidement après l’atterrissage sur cette piste en pente avec un avion tel que le DHC-7, les douze degrs empêcheront l’appareil de continuer se dplacer vers l’avant. Vous devrez alors laisser l’avion redescendre doucement la pente en utilisant le pouvoir des moteurs pour contrôler la descente. Le palonnier sera utilis pour demeurer align avec la piste. Il s’agira ensuite d’appliquer de nouveau la pleine puissance pour quelques secondes, juste assez pour franchir la pente.
Pour circuler au sol et replacer le DHC-7 pour le dcollage, une combinaison de pouvoir et de pousse inverse est ncessaire jusqu’ ce que tous les obstacles aient t vits (les humains s’aventurant l’arrière de l’appareil pendant la procdure pourraient être affects…).
Il y a un homme qui n’a pas l’air trop amical et qui tient une carabine près de la zone d’embarquement. Même le personnel des Nations-Unies n’a pas jug bon de s’terniser…
KGH (Yongai)
Une piste très bossele et sens unique. Un vrai avion de brousse est ici requis!
Même avec un très bon avion de brousse, il est possible qu’une des hlices de l’appareil touche le sol au moment de circuler sur cette piste vraiment spciale. Il y a tellement de trous profonds et de bosses qui sont difficiles voir que je ne peux que souhaiter bonne chance toute personne s’aventurant sur cet aroport!
Portez une attention particulière la zone près de la petite maison en fin de piste. Le DHC-6 a vraiment t secou en effectuant les manœuvres pour se repositionner pour le dcollage. Une des hlices a touch le sol, mais il n’y avait pas de signes de problème srieux… jusqu’ ce que l’avion redcolle. L’alarme de feu a retenti juste au moment où l’appareil franchissait le seuil de piste.
Il a donc fallu abandonner le voyage prvu. Et pas question de retourner Yongai sur un moteur. J’ai tir la manette pour teindre le feu, mis l’hlice en drapeau et coup l’alimentation en carburant sur le moteur droit pour ensuite me diriger vers l’aroport de Kokoda tant donn qu’il s’agissait d’un droutement sûr dû au fait que la piste est suffisamment longue et une altitude beaucoup plus basse que Yongai.
KSP (Kosipe)
Une piste relativement courte qui requiert des calculs prcis de la part du pilote tant donn sa haute altitude dans les montagnes.
Le Cessna C-185F est très appropri pour cette courte piste. Assurez-vous de ne pas appuyer trop fortement sur les freins l’arrive, car les hlices de C-185 sont difficiles trouver Kosipe. Vous pouvez atterrir dans les deux directions. Le mlange air/essence doit être absolument ajust, car l’aroport se trouve plus de 6300 pieds.
ONB (Ononge)
Une piste courbe et très bossele. Pour ceux qui aiment les vols en rase-mottes. Assurez-vous de choisir le bon appareil, car il n’y a pas beaucoup de place pour manœuvrer une fois au sol.
Ononge est assez impressionnant lorsqu’on se prsente en finale pour la première fois. On se demande si la petite trace de terre sur le dessus de la colline peut vraiment être une piste d’atterrissage. Pour ce genre de situation, le Piper Pacer est un excellent avion : il peut approcher très lentement et s’immobilise sur une courte distance. La piste tant courbe, il est ncessaire d’utiliser un peu de palonnier pour maintenir l’avion au milieu de la piste.
J’imagine que tous ces gens avec leurs valises s’attendaient un avion un peu plus gros…
TAP (Tapini)
Une piste exigeante sens unique et situe près d’une valle troite. Vous pouvez même utiliser un ILS pour vous y rendre!
Il s’agit d’une rgion et d’un aroport superbement modliss. Je l’ai visite avec le DHC-4 Caribou, mais tout autre gros avion ADAC aurait fait l’affaire. Il y a suffisamment de place pour manœuvrer. La piste n’est pas trop bossele. La pente est intressante : elle dbute en descendant et se termine en montant : cela aide l’aronef ralentir après l’atterrissage.
WTP (Woitape)
Cette piste sens unique et en pente lgère semble assez facile d’usage mais elle ncessite des calculs et ajustements assez prcis si vous dsirez vous y poser avec autre chose qu’un petit appareil.
J’ai trouv que la piste tait assez glissante pour le De Havilland DHC-7. Je dois avouer qu’il y avait un vent de côt important (je volais en mto relle tlcharge par internet). Le DHC-7 se comporte comme un gros bateau lorsqu’il dclère sur une telle piste.
La scène virtuelle de Woitape est superbe. Il est très intressant de trouver des animaux, personnes et avions virtuels conçus de façon aussi raliste.
J’adore ce nouveau produit de la compagnie Orbx. Lorsque vous volez dans un paysage aussi raliste, le cerveau ne fait pas de diffrence entre ce qui est rel et ce qui est virtuel. Cela fonctionne vraiment! Et si vous utilisez la mto relle tlcharge de l’internet, c’est encore mieux!
J’ai essay les sept aroports inclus dans la scène virtuelle « Tapini » et ils sont exigeants. Yongai a t pour moi celui prsentant le plus grand dfi. J’ai dû faire deux approches manques tant donn que je me suis prsent chaque fois trop haut sur l’approche. Mais j’ai ventuellement russi, comme dans la vraie vie!
Le logiciel Microsoft flight simulator X (FSX) a t utilis pour tous les vols, mais d’autres plateformes auraient galement très bien fonctionn et donn d’excellents rsultats (Dovetail Games FSX Steam edition (FSX: SE) et toutes les versions de P3D). Les produits suivants taient galement installs sur mon simulateur de vol : FTX Global, FTX Golbal Vector et Holgermesh, de même que Pilot’s FS Global 2010.
Il s’agit d’une exprience virtuelle totalement immersive et vous devez vous concentrer totalement lorsque vous tentez ces vols virtuels exigeants… si vous dsirez en ressortir « virtuellement » vivant!
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