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Autour de la planète en simulation de vol (19)

Cessna 310R au-décollage de l'aéroport de l'île de Man
Cessna 310R au-décollage de l’aéroport de l’île de Man

L’équipage a mis la main sur un Cessna 310R pour l’étape suivante du tour du monde en simulation de vol. L’avion virtuel est fabriqué par Blackbird Simulations et obtient un très bon score auprès des usagers.

Le départ s’effectue de l’aéroport de l’île de Man (EGNS) et Dublin constitue la destination prévue. Ce sera le seul arrêt en République d’Irlande avant de procéder ensuite pour Londres, UK.

Le bimoteur Cessna 310R traverse la mer d'Irlande vers l'aéroport de Dublin (EIDW)
Le bimoteur Cessna 310R traverse la mer d’Irlande vers l’aéroport de Dublin (EIDW)

Le beau temps se poursuit dans cette région du monde reconnue pour ses conditions météo plutôt nuageuses. Piloter le Cessna 310R est un vrai plaisir. Avec sa vitesse de croisière de 188 nœuds, nous atteignons Dublin rapidement.

On considère le moteur gauche comme critique en cas de panne. La Vmc est de 80 nœuds. Le décrochage survient immédiatement en dessous de cette vitesse lorsqu’il n’y a que le moteur droit qui fonctionne.

Transbordeurs de voitures sur la mer d'Irlande avec Microsoft Flight Simulator
Transbordeurs de voitures sur la mer d’Irlande avec Microsoft Flight Simulator

L’appareil approche la République d’Irlande alors qu’il survole deux navires transportant des voitures.

Cessna 310R de Blackbird Simulations tourne en finale pour l'aéroport de Dublin (EIDW)
Cessna 310R de Blackbird Simulations tourne en finale pour l’aéroport de Dublin (EIDW)

L’aéroport de Dublin (EIDW) est en vue. Un dernier virage pour la piste 16 nous amène en longue finale. Les vents ne causent pas de problème pour l’approche.

Le pilote virtuel sort le train d’atterrissage et les volets. Même s’il s’agit d’une simulation de vol, il faut respecter les vitesses exigées pour sortir les volets et le train, à défaut de voir le vol s’arrêter.

Cessna 310R virtuel en courte finale pour l'aéroport de Dublin en simulation de vol.
Cessna 310R virtuel en courte finale pour l’aéroport de Dublin en simulation de vol.

L’appareil immatriculé au Royaume-Uni arrive en courte finale après un vol sans histoire.

Le Cessna 310R de Blackbird circule à l'aéroport de Dublin après une arrivée de l'aéroport de l'Île de Man.
Le Cessna 310R de Blackbird circule à l’aéroport de Dublin après une arrivée de l’aéroport de l’Île de Man.

Nous circulons sur l’aéroport jusqu’au point convenu pour laisser débarquer certains passagers. En chemin, il est possible d’observer plusieurs appareils stationnés, dont ceux de British Airways, WestJet et Aer Lingus.

Le logiciel FSLTL agit efficacement pour meubler la plupart des aéroports avec des aéronefs virtuels.

Le Cessna C310R de Blackbird Simulations au sol à l'aéroport de Dublin avec MSFS 2020
Le Cessna C310R de Blackbird Simulations au sol à l’aéroport de Dublin avec MSFS 2020

Enfin un passager qui a eu l’idée de se procurer une valise jaune au lieu des éternels bagages noirs que tous les gens confondent sur les courroies des aéroports.

En soirée, nous sortons dans le secteur de Temple Bar sans exagérer le nombre de consommations. Demain, nous ne manquerons pas de visiter le Guinness Storehouse, la distillerie Jameson et le musée de l’Émigration.

Dublin en soirée avec Microsoft Flight Simulator
Dublin en soirée avec Microsoft Flight Simulator

Un vol avec le drone virtuel donne un aperçu de la ville de Dublin illuminée juste avant la nuit. Il s’agit de la version offerte par le simulateur de vol de Microsoft MSFS 2020. La lumière est superbe.

La prochaine étape de notre tour du monde s’effectuera sous peu entre Dublin et l’aéroport de London City (EGLC) au moyen d’un Beechcraft B60 Duke de la compagnie Black Square.

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Autour de la planète en simulation de vol (18)

L’étape 18 autour de la planète en simulation de vol s’effectue entre l’aéroport de Donegal (EIDL) et celui de l’Île de Man (EGNS), aussi appelé Douglas Ronaldsway. Cette île est reconnue comme paradis fiscal et pour ses jeux en ligne. Elle a un régime financier plus « avantageux » que le Royaume-Uni. Son rôle est aussi apparu dans les « Paradise Papers ».

Étant donné que l’on survole la mer d’Irlande en monomoteur, le Nardi FN-333 s’avère un excellent choix en cas de panne moteur. De plus, il offre une autonomie intéressante (490 nmi) et une vitesse de croisière respectable (143 noeuds à 8000 pieds).

Nardi FN-333 Riviera virtuel à l'aéroport de Donegal (EIDL) avec MSFS
Nardi FN-333 Riviera virtuel à l’aéroport de Donegal (EIDL) avec MSFS

Capable d’une ascension de 1280 pieds/minute, il survole sans problème le relief après le décollage de Donegal.

Nardi FN-333 Riviera virtuel au décollage de l'aéroport de Donegal (EIDL) dans la République d'Irlande avec MSFS.
Nardi FN-333 Riviera virtuel au décollage de l’aéroport de Donegal (EIDL) dans la République d’Irlande avec MSFS.

À gauche de la trajectoire de vol se trouve le site Strangford and Lecale Area of Outstanding Natural Beauty de l’Irlande du Nord, une attraction touristique notée 4.8/5 par les utilisateurs de Google.

Nardi FN-333 Riviera survolant le secteur de Strangford and Lecale area of outstanding natural beauty de l'Irlande du Nord avec MSFS
Nardi FN-333 Riviera survolant le secteur de Strangford and Lecale area of outstanding natural beauty de l’Irlande du Nord avec MSFS

Une fois au-dessus de la Mer d’Irlande, on aperçoit le premier porte-conteneurs, qui sera suivi de beaucoup d’autres navires aux fonctions diverses (traversiers de Irish Ferries, transporteurs de voitures, pétroliers, méthaniers, etc.

Nardi FN-333 Riviera survolant un porte-conteneurs sur la mer d'Irlande avec Microsoft Flight Simulator.
Nardi FN-333 Riviera survolant un porte-conteneurs sur la mer d’Irlande avec Microsoft Flight Simulator.

En fin de journée, on aperçoit l’île de Man. Il est toujours plus intéressant d’arriver avant la nuit lorsque l’on atterrit une première fois à un aéroport inconnu. Cela permet de bien observer les environs.

Nardi FN-333 Riviera en finale pour l'aéroport île de Man avec MSFS
Nardi FN-333 Riviera en finale pour l’aéroport île de Man avec MSFS

Le soleil éclaire le poste de pilotage d’une façon très réaliste avec les nouveaux simulateurs de vol. Autrefois, les ombrages ne se déplaçaient pas dans le cockpit.

L'île de Man est en vue en soirée avec le simulateur de vol Microsoft Flight Simulator
L’île de Man est en vue en soirée avec le simulateur de vol Microsoft Flight Simulator

Très près de l’aéroport de l’Île de Man (EGNS) se trouve un immense bâtiment, le King William’s College. Il offre une éducation privée aux jeunes entre 3 et 18 ans. Je me demande si le personnel a déjà eu une frousse à cause d’une approche ratée d’un des nombreux appareils qui se posent quotidiennement sur l’île. Car les accidents ne manquent pas.

Le King William's College près de l'aéroport de l'Île de Man avec Microsoft Flight Simulator
Le King William’s College près de l’aéroport de l’Île de Man avec Microsoft Flight Simulator

L’atterrissage s’effectue heureusement sans effrayer les étudiants du collège voisin.

Le Nardi FN-333 Riviera vient d'atterrir à l'aéroport de l'Île de Man (EGNS) en soirée.
Le Nardi FN-333 Riviera vient d’atterrir à l’aéroport de l’Île de Man (EGNS) en soirée.

Une escale de quelques jours sera nécessaire avant d’entreprendre la suite du voyage. Nous rejoindrons alors la République d’Irlande en atterrissant à l’aéroport de Dublin (EIDW) avec le simulateur de vol MSFS 2020 et le Cessna 310R de Blackbird Simulations.

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Autour de la planète en simulation de vol (17).

Le tour de la planète en simulation de vol se poursuit avec un Britten Norman BN2A Trislander MK III. La version initiale de l’avion n’est pas particulièrement fiable. Quand ce n’est pas un moteur qui lâche, ce sont des craques qui affectent la structure ou le capot qui s’ouvre inopinément. Nous allons tout de même tenter notre chance avec cet appareil aujourd’hui.

La piste de sable de la plage de Barra (EGPR) dans les Hébrides extérieures de l’Écosse est parfaite pour un décollage avec le BN2A. Aujourd’hui, nous prévoyons nous rendre à l’aéroport de Donegal (EIDL) dans la République d’Irlande.

BN2A Trislander au décollage de la plage de sable de Barra avec MSFS
BN2A Trislander au décollage de la plage de sable de Barra avec MSFS

Avec un trimoteur, les pilotes ne tiennent pas compte de la distance par rapport à la rive en cas de panne moteur. Mais si nous pilotions un monomoteur, il faudrait plutôt nous diriger vers Tiree Island à l’altitude la plus élevée possible pour ensuite bifurquer vers Donegal.

BN2A Trislander MK III virtuel en route vers l'aéroport de Donegal (EIDL) en République d'Irlande avec MSFS
BN2A Trislander MK III virtuel en route vers l’aéroport de Donegal (EIDL) en République d’Irlande avec MSFS

Dans tous les vols virtuels réalistes, un programme injecte les données météorologiques reçues des aéroports par internet directement dans le simulateur de vol.

Depuis quelques jours, il n’y a que du beau temps en Irlande et en Écosse. Je croyais rencontrer pluie et nuages bas, mais ce fut tout le contraire.

Donc pour l’instant, la belle météo facilite la planification des vols au-dessus d’une très grande région. Ci-dessous on peut observer le paysage plus rocailleux aux environs de l’aéroport de Donegal.

Le BN2A Trislander descend vers Donegal dans la République d'Irlande avec MSFS.
Le BN2A Trislander descend vers Donegal dans la République d’Irlande avec MSFS.

Le Trislander se trouve maintenant en finale pour la piste 21 à Donegal. Les vents faibles facilitent l’approche. On n’a perdu aucun morceau de l’appareil lors du trajet!

Le Britten Norman Trislander en finale pour la piste de l'aéroport de Donegal (EIDL) en simulation de vol
Le Britten Norman Trislander en finale pour la piste de l’aéroport de Donegal (EIDL) en simulation de vol

Le personnel de l’aéroport a déjà sorti les valises à embarquer sur le prochain vol. C’est beaucoup trop ! On a dû confondre le Trislander avec un Boeing 737. Les règles de l’aviation sont strictes. Je ne sais pas si les passagers ramènent des coquillages ou de la bière en quantité, mais certains bagages ne partiront pas aujourd’hui !

Avion BN2A virtuel à l'arrivée à l'aéroport de Donegal (EIDL) avec Microsoft Flight Simulator
Avion BN2A virtuel à l’arrivée à l’aéroport de Donegal (EIDL) avec Microsoft Flight Simulator

En soirée, un drone virtuel permet de survoler la région, histoire d’observer les falaises et les nombreuses éoliennes présentes dans la région.

Paysage virtuel autour de la région de Donegal en République d'Irlande avec le simulateur de vol MSFS 2020
Paysage virtuel autour de la région de Donegal en République d’Irlande avec le simulateur de vol MSFS 2020
Scène virtuelle de la région de Donegal en République d'Irlande avec MSFS 2020.
Scène virtuelle de la région de Donegal en République d’Irlande avec MSFS 2020.

L’étape 18 de l’exploration de la planète s’effectuera entre l’aéroport de Donegal et l’île de Man au moyen d’un Nardi FN-333 Riviera et avec le simulateur de vol Microsoft Flight Simulator 2020.

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Tour du monde en simulation de vol MSFS (16)

L’exploration de la planète en simulation de vol continue. Aujourd’hui, nous effectuons le trajet entre Bruray / Out Skerries (EG78 ou OUK pour le code IATA) et la plage de Barra (EGPR). Il s’agit d’un vol virtuel exigeant surtout en ce qui concerne le décollage de Out Skerries. Les vents soufflent fort et passablement de côté par rapport à la petite piste. Vous pouvez le constater en observant la manche à vent à partir du cockpit.

DHC-4 Caribou virtuel prêt pour un décollage avec forts vents de côté à l'aérodrome EG78 Out Skerries avec MSFS.
DHC-4 Caribou virtuel prêt pour un décollage avec forts vents de côté à l’aérodrome EG78 Out Skerries avec MSFS.

L’équipage choisit d’utiliser un bon vieux DHC-4 Caribou qui a fait ses preuves quant aux atterrissages et décollages difficiles. Les nuages virtuels reflètent la situation présente dans les îles Shetland.

Les deux pieds sur les freins, les volets ajustés et le volant tourné à droite pour limiter l’effet du vent sur l’aile droite, l’équipage pousse le régime au maximum tout en relâchant les freins. L’avion cherche à se déporter un peu vers la gauche lors du roulement, mais en jouant du palonnier l’appareil demeure sur la piste assez longtemps pour permettre le décollage.

Avion virtuel DHC-4 Caribou au décollage de l'aérodrome Out Skerries (EG78) en Écosse en météo virtuelle avec MSFS.
Avion virtuel DHC-4 Caribou au décollage de l’aérodrome Out Skerries (EG78) en Écosse en météo virtuelle avec MSFS.

Le vol s’effectue en mode VFR sous les nuages. Éventuellement, le ciel s’éclaircit et on peut apprécier le paysage lors de l’approche vers la plage de Barra. La marée basse nous permettra un atterrissage sans problèmes.

Avion virtuel DHC-4 Caribou en route vers la plage de Barra (EGPR) pour un atterrissage avec MSFS.
Avion virtuel DHC-4 Caribou en route vers la plage de Barra (EGPR) pour un atterrissage avec MSFS.

La photo ci-dessous montre le Caribou en base droite pour la plage de Barra. Quelle belle journée pour voler en visuel !

La plage de sable de Barra (EGPR) en vue avec l'avion virtuel DHC-4 Caribou avec MSFS.
La plage de sable de Barra (EGPR) en vue avec l’avion virtuel DHC-4 Caribou avec MSFS.
Avion virtuel DHC-4 Caribou en finale pour la plage de Barra (EGPR) avec MSFS.
Avion virtuel DHC-4 Caribou en finale pour la plage de Barra (EGPR) avec MSFS.

Le DHC-4 se trouve maintenant en courte finale pour la piste de sable. Même s’il s’agit d’un gros bimoteur, ses capacités d’atterrissage et de décollage court font en sorte qu’il n’aura besoin que d’une toute petite portion de la plage qui s’offre à lui.

Aéroport de Barra virtuel (EGPR) et DHC-4 Caribou à l'arrêt en simulation de vol.
Aéroport de Barra virtuel (EGPR) et DHC-4 Caribou à l’arrêt en simulation de vol.

Quelques passagers semblent déjà arrivés, à moins que ce ne soient des curieux qui ont entendu l’appareil approcher. Il s’agit certainement d’une très rare visite d’un DHC-4 à Barra!

Avion DHC-4 Caribou virtuel après l'atterrissage sur la plage de Barra (EGPR) avec MSFS.
Avion DHC-4 Caribou virtuel après l’atterrissage sur la plage de Barra (EGPR) avec MSFS.

La direction de l’aéroport refuse de dévoiler la destination de l’appareil. De toute façon, ce ne sera pas la première fois qu’un Caribou effectue des vols spéciaux sur des pistes exigeantes.

Luxe ultime avec lits privés pour les futurs passagers de l'avion virtuel DHC-4 Caribou avec MSFS.
Luxe ultime avec lits privés pour les futurs passagers de l’avion virtuel DHC-4 Caribou avec MSFS.

Une dernière photo montre l’intérieur du Caribou. On y constate un luxe impressionnant avec des couchettes disponibles pour les passagers en première classe. On n’arrête pas le progrès !

L’étape 17 de ce tour du monde en simulation de vol s’effectuera entre Barra et Donegal (EIDL) en Irlande du Nord. Le Britten Norman BN2A Trislander MK III virtuel fera le voyage au moyen du simulateur de vol Microsoft Flight Simulator 2020 (MSFS).

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Explorer la planète en simulation de vol (13)

Hélicoptère Airbus H160 au décollage de EHFD F3-FB-1A dans la mer du Nord avec MSFS.
Hélicoptère Airbus H160 au décollage de EHFD F3-FB-1A dans la mer du Nord avec MSFS.

L’étape 13 du tour du monde en simulation de vol s’effectue avec l’hélicoptère Airbus H160 Luxury. J’utilise toujours le simulateur de vol Microsoft Flight Simulator (MSFS).

Internet injecte la météo réelle entre les deux plateformes pétrolières situées en mer du Nord. Une fois les données entrées, le décollage s’effectue d’une plateforme localisée aux Pays-Bas. Son nom de code est EHFD F3-FB-1A.

L’itinéraire nous mène en Norvège, vers les installations pétrolières appelées ENXB Eldfisk B. La FIR (Flight Information Region) de l’Écosse offre le service de recherche et sauvetage pour ce secteur.

Hélicoptère H160 en route vers la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B avec MSFS
Hélicoptère H160 en route vers la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B avec MSFS

Le trajet entre les deux installations représente environ 90 nm. Les conditions atmosphériques se détériorent par endroit, mais ce n’est pas vraiment surprenant en mer du Nord.

Nuages bas virtuels au-dessus de la mer du Nord vus d'un hélicoptère H160 en simulation de vol.
Nuages bas virtuels au-dessus de la mer du Nord vus d’un hélicoptère H160 en simulation de vol.

Lors de ce vol virtuel, nous croisons d’autres plateformes pétrolières et gazières. Cela est rendu possible grâce à l’addition de la scène virtuelle Aerosoft Offshore landmarks. L’une des installations se trouve ci-dessous. Mais la scène virtuelle ajoute également des navires de pêches, des pétroliers, des navires-cargos. Bref, tout ce que l’on retrouve normalement en mer du Nord, dans la Manche et dans la mer d’Irlande.

Une des plateformes visibles en Mer du Nord avec Microsoft Flight Simulator
Une des plateformes visibles en Mer du Nord avec Microsoft Flight Simulator

L’approche vers l’hélipad débute avec de forts vents qui compliquent la procédure d’atterrissage. En effet, les rafales et l’inexpérience relative du pilote rendent les manœuvres délicates. L’équipage doit travailler pendant vingt minutes pour poser l’hélicoptère Airbus H160 de façon sécuritaire.

Approche du H160 pour la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B appartenant à la Norvège en MSFS
Approche du H160 pour la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B appartenant à la Norvège en MSFS

L’état de la manche à vent dans la photo ci-dessous donne une bonne idée des conditions. De plus, la direction du vent pousse sans cesse l’hélicoptère vers les installations. Mais l’atterrissage s’effectue finalement en douceur.

Cependant, les multiples tentatives d’approche ont saisi les passagers. Une personne a décidé de changer de carrière et occupera désormais un poste de bureau sur la terre ferme.

Vents forts lors d'un atterrissage virtuel avec un hélicoptère H160 sur la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B en Norvège.
Vents forts lors d’un atterrissage virtuel avec un hélicoptère H160 sur la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B en Norvège.
La plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B en Norvège mais dans la FIR de l'Écosse avec MSFS Microsoft Flight Simulator
La plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B en Norvège mais dans la FIR de l’Écosse avec MSFS Microsoft Flight Simulator

L’étape 14 de l’exploration simulée de la planète s’effectuera entre ENXB Eldfisk B et l’Écosse, en passant par la ville d’Édimbourg et l’aéroport de Dundee (EGPN).

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Tour du monde en simulation de vol (10)

L’étape 10 de ce tour du monde en simulation de vol s’effectue entre la Pologne et l’Allemagne. Deux appareils très différents serviront à compléter le trajet durant cette journée de voyage en vol VFR : un vieux Junkers Ju 52/3m et un hélicoptère d’affaires moderne, le H160 d’Airbus.

Junkers JU 52 au décollage de l'aéroport de Lublin (EPLB) en Pologne.
Junkers JU 52 au décollage de l’aéroport de Lublin (EPLB) en Pologne.

Le départ s’opère à partir de l’aéroport de Lublin (EPLB) en Pologne. Le Junkers Ju 52/3m décolle sur une courte distance et sans problème. Le gros trimoteur à roue de queue est aussi prévisible que le Cessna C-170B que j’avais utilisé dans la vraie vie pour traverser le Canada en 1981. On aperçoit ci-dessus les champs cultivés de la Pologne.

Le Junkers JU 52 et le château Moritzburg en Allemagne en simulation de vol.
Le Junkers JU 52 et le château Moritzburg en Allemagne en simulation de vol.

La matinée s’annonce très belle quant à la météo. La première étape du trajet permet le survol du château de Moritzburg (Schloss Moritzburg), au nord-ouest de Dresde. Sa construction date de 1542 et était originalement le pavillon de chasse du duc de Saxe.

Un Junkers JU 52 est en route pour le Musée national de préhistoire de Halle en Allemagne.
Un Junkers JU 52 est en route pour le Musée national de préhistoire de Halle en Allemagne.

Sur le trajet en direction Halle se trouve un grand parc d’éoliennes. L’Allemagne comme l’Europe développe son énergie verte rapidement. L’attitude récente de la Russie face à l’approvisionnement en gaz naturel de l’Europe a drastiquement changé la planification énergétique des pays avoisinants.

Un Junkers JU 52 survole le Musée national de préhistoire de Halle, en Allemagne, en simulation de vol.
Un Junkers JU 52 survole le Musée national de préhistoire de Halle, en Allemagne, en simulation de vol.

Ci-dessus, au centre de la photo, se trouve une vue partielle du Musée national de la préhistoire de Halle (Landesmuseum für Vorgeschichte Halle) qui se situe non loin de Leipzig. Il s’agit d’un des principaux musées archéologiques d’Europe centrale.

Vol autour du Kyffhaüser-Denkmal en Allemagne par un Junkers 52 en simulation de vol.
Vol autour du Kyffhaüser-Denkmal en Allemagne par un Junkers 52 en simulation de vol.

Avant d’atteindre l’aéroport de Calden pour changer d’appareil, nous contemplons le monument Kyffhaüser (Kyffhaüser Denkmal). Une fois à Calden, nous sauterons dans un hélicoptère moderne construit par Airbus, le H160, pour nous diriger vers Göttingen, plus précisément au-dessus de la rue Münchhausenstrasse.

Nous avons obtenu la permission de survoler cette artère à très basse altitude, le temps de saluer une vieille connaissance. Cette autorisation douteuse va probablement causer la perte de son poste au ministre des Transports de l’Allemagne.

Rues de Göttingen, Allemagne, en simulation de vol.
Rues de Göttingen, Allemagne, en simulation de vol.

Un survol de cette rue de Göttingen est nécessaire pour vérifier l’ampleur de la circulation.

Hélicoptère H160 en descente au-dessus de la Münchhausenstrasse à Göttingen en Allemagne, en simulation de vol.
Hélicoptère H160 en descente au-dessus de la Münchhausenstrasse à Göttingen en Allemagne, en simulation de vol.

La descente se fait graduellement entre les bâtiments. Nous effectuons un vol stationnaire juste au-dessus des voitures. Les piétons semblent nous saluer, mais il se peut que nous interprétions le geste de façon erronée.

Notre ami est à la fenêtre et prend le temps de cesser sa lecture d’une excellente bande dessinée pour nous envoyer la main. Nous poursuivons ensuite notre route jusqu’à l’aéroport de Padderborn Lippstadt (EDLP), la destination pour aujourd’hui.

Un hélicoptère H160 atterrit à l'aéroport Padderborn Lippstadt (EDLP) en Allemagne en simulation de vol.
Un hélicoptère H160 atterrit à l’aéroport Padderborn Lippstadt (EDLP) en Allemagne en simulation de vol.

Il y a tout de même passablement d’activité à l’aéroport. Tout de suite après l’atterrissage, nous commencerons la planification de l’étape 11 de ce voyage autour du monde en simulation de vol et météo réelle.

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Tour du monde en simulation de vol (9)

L'Antonov 225 décolle de l'aéroport Antonov (UKKM) en Ukraine, direction Sochi en Russie.
L’Antonov 225 décolle de l’aéroport Antonov (UKKM) en Ukraine, direction Sochi en Russie.

Aujourd’hui, l’Antonov 225 renaît pour une autre étape dans ce tour du monde en simulation de vol. Dans la réalité, cet appareil à été détruit par la Russie au moment de son invasion en Ukraine. Au moment d’écrire ces lignes, la guerre persiste toujours entre ces deux nations. Mais dans le mode virtuel, nous avons plus de latitude pour modifier le cours des événements et simuler la paix.

Nous quittons donc l’aéroport Antonov en Ukraine (UKKM), survolons la Crimée pour ensuite faire escale à Sotchi en Russie (code d’aéroport URSS). La destination sera l’aéroport de Lublin (EPLB), en Pologne.

La météo se présente bien, avec un ciel dégagé pour l’arrivée à Sotchi. Le paysage autour de Sotchi est splendide et il est préférable d’y atterrir lorsqu’il fait beau.

Le décollage s’accomplit sans problème, mais il faut vite s’habituer à la lourdeur de l’Antonov 225. Le poids de l’appareil fait en sorte que chaque fois que le pilote effectue une manœuvre avec les commandes de vol, il ne se passe initialement rien. Puis, l’appareil commence doucement à obéir. On doit donc s’attendre à des délais et anticiper le résultat des manœuvres.  

Navigraph sert pour la navigation. Bien entendu, j’ai prévu de dévier du parcours initial pour survoler la Crimée et poursuivre vers Sotchi.

Le triangle rose indique la position de l'Antonov 225 arrivant au-dessus de la Crimée dans son vol vers la Russie et la Pologne.
Le triangle rose indique la position de l’Antonov 225 arrivant au-dessus de la Crimée dans son vol vers la Russie et la Pologne.

Ci-dessous les champs labourés de l’Ukraine. On considère l’Ukraine comme le grenier du monde.

L'Antonov 225 au-dessus des champs cultivés de l'Ukraine.
L’Antonov 225 au-dessus des champs cultivés de l’Ukraine.

La Crimée est une très belle région vue des airs, mais âprement disputée au sol. Un pilote dirait qu’aujourd’hui, ça secoue plus en bas qu’en haut.

L'Antonov 225 arrive au-dessus de la Crimée lors de son vol vers la Russie suivi d'un retour vers la Pologne.
L’Antonov 225 arrive au-dessus de la Crimée lors de son vol vers la Russie suivi d’un retour vers la Pologne.

Quelques minutes plus tard, le vol au-dessus de la mer d’Azov   commence en direction de Sotchi.

L’approche est spectaculaire avec les montagnes environnantes. Comme pour tous les gros appareils, il faut stabiliser l’Antonov longtemps d’avance pour éviter de surcorriger en finale.

Antonov 225 en longue finale pour la piste 06 à l'aéroport de Sochi (USSR), Russie.
Antonov 225 en longue finale pour la piste 06 à l’aéroport de Sochi (USSR), Russie.

L’avion-cargo s’arrête sur une distance extrêmement courte pour un poids aussi important. Quand la poussée est inversée sur six réacteurs, nul besoin de régler le freinage au maximum, spécialement à Sotchi. Nous faisons une courte escale.

L'Antonov 225 stationné pour une courte escale à l'aéroport de Sochi (USSR), Russie.
L’Antonov 225 stationné pour une courte escale à l’aéroport de Sochi (USSR), Russie.

Juste après notre arrivée, un jet militaire russe Soukhoï 27 effectue une passe à basse altitude près de la tour. L’avion de combat a été créé à l’époque en réponse à la construction du F-15 américain.

Un Sukhoi Su-27 fait une passe à basse altitude à l'aéroport de Sochi (USSR), Russie.
Un Sukhoi Su-27 fait une passe à basse altitude à l’aéroport de Sochi (USSR), Russie.

Le vol reprend en fin d’après-midi. Ci-dessous, l’Antonov 225 se trouve en finale pour la piste 25 de l’aéroport de Lublin en Pologne.

Antonov 225 en finale pour la piste 25 à l'aéroport de Lublin, Pologne.
Antonov 225 en finale pour la piste 25 à l’aéroport de Lublin, Pologne.

Les inverseurs de poussée permettent à l’appareil de sortir dans la voie de circulation en milieu de piste.

L'Antonov 225 utilisant les inverseurs de poussée au moment de l'atterrissage à l'aéroport de Lublin (EPLB) en Pologne.
L’Antonov 225 utilisant les inverseurs de poussée au moment de l’atterrissage à l’aéroport de Lublin (EPLB) en Pologne.

Nous recevons un peu d’aide pour le stationnement.

Aide au stationnement pour l'Antonov 225 à l'aéroport de Lublin, Pologne.
Aide au stationnement pour l’Antonov 225 à l’aéroport de Lublin, Pologne.

La prochaine étape de ce tour du monde en simulation de vol se fera avec un appareil plus petit en direction de l’Allemagne. Un survol de Göttingen est prévu avec un hélicoptère immatriculé D-JORG. Le trajet se terminera à l’aéroport de Paderborn Lippstadt (EDLP).

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Tour du monde en simulation de vol (8).

Tours de béton signées OMA à Stockholm avec Microsoft Flight Simulator.
Tours de béton signées OMA à Stockholm avec Microsoft Flight Simulator.

L’étape 8 de ce tour du monde en simulation de vol s’effectue entre l’aéroport de Stockholm-Bromma en Suède vers l’aéroport international Antonov (Hostomel) en Ukraine (UKKM), où se trouve l’Antonov 225 virtuel.

Le seul exemplaire au monde de cet appareil a été détruit au début de l’invasion russe en Ukraine en février 2022. Personne ne peut cependant empêcher un avion virtuel de survivre aux attaques (même informatiques). Notez que la totalité du montant d’achat de l’appareil virtuel dans la boutique Microsoft est réservée à la reconstruction éventuelle du vrai avion.

Jet militaire F-14D Tomcat prêt pour le départ à l'aéroport de Stockholm-Bromma en Suède avec Microsoft Flight Simulator.
Jet militaire F-14D Tomcat prêt pour le départ à l’aéroport de Stockholm-Bromma en Suède avec Microsoft Flight Simulator.

Pour le voyage, un survol rapide de la Biélorussie sera nécessaire. Pour l’occasion, un F-14 Tomcat décommissionné et sans armements devrait faire l’affaire.

F-14D Tomcat au décollage de l'aéroport virtuel de Stockholm-Bromma (ESSB) en Suède en simulation de vol.
F-14D Tomcat au décollage de l’aéroport virtuel de Stockholm-Bromma (ESSB) en Suède en simulation de vol.

Le vol s’effectuera à une vitesse supérieure au mur du son.

Carte Navigraph pour un vol entre ESSB et l'aéroport international Antonov (UKKM).
Carte Navigraph pour un vol entre ESSB et l’aéroport international Antonov (UKKM).

La carte Navigraph ci-dessus indique le trajet prévu. Le triangle rose montre le F-14 entrant en Biélorussie.

F-14D Tomcat en plongée pour une passe à basse altitude et haute vitesse au-dessus de la Biélorussie.
F-14D Tomcat en plongée pour une passe à basse altitude et haute vitesse au-dessus de la Biélorussie.

Un changement dans l’itinéraire s’impose pour quelques minutes, avec un piqué vers le territoire biélorusse. Mais, comme disent les militaires, ce vol « n’a jamais eu lieu ».

F-14D Tomcat effectuant une passe à basse altitude et haute vitesse en Biélorussie.
F-14D Tomcat effectuant une passe à basse altitude et haute vitesse en Biélorussie.

Nous ne sommes évidemment pas invités à exécuter une passe à grande vitesse. Mais il semble que cela devient la norme dans cette partie du monde ces dernières années et donc, pourquoi pas nous ?

F-14D Tomcat en vol pour l'aéroport de Kiev (Hostomel) UKKM en simulation de vol.
F-14D Tomcat en vol pour l’aéroport de Kiev (Hostomel) UKKM en simulation de vol.

Le vol vers l’aéroport international Antonov se poursuit à vitesse maximale. Nous serons bientôt arrivés.

F-14D Tomcat tourne en finale pour l'aéroport international Antonov (Hostomel) (UKKM) en simulation de vol.
F-14D Tomcat tourne en finale pour l’aéroport international Antonov (Hostomel) (UKKM) en simulation de vol.

Ci-dessus, le F-14 effectue un dernier virage en descente pour l’approche finale vers l’aéroport Antonov, avec le train d’atterrissage sorti et les volets ajustés. Dans la vraie vie, la piste a été endommagée par les Ukrainiens eux-mêmes pour empêcher les Russes d’établir facilement une tête de pont dans leur pays. Mais nous sommes en mode virtuel, tout nous est permis.

Un F-14D Tomcat et des soldats Ukrainiens à l'aéroport international Antonov (Hostomel) (UKKM) en simulation de vol.
Un F-14D Tomcat et des soldats Ukrainiens à l’aéroport international Antonov (Hostomel) (UKKM) en simulation de vol.

Au moment du roulage au sol, nous croisons quelques soldats de l’armée ukrainienne qui saluent l’arrivée des pilotes étrangers.

L'Antonov 225 et des soldats Ukrainiens à l'aéroport international Antonov (UKKM) avec Microsoft Flight Simulator.
L’Antonov 225 et des soldats Ukrainiens à l’aéroport international Antonov (UKKM) avec Microsoft Flight Simulator.

L’Antonov 225 virtuel se trouve dans son hangar, l’endroit même où il a été détruit en début de conflit. J’utiliserai cet appareil pour la prochaine étape du tour du monde, en effectuant un vol au-dessus de la Crimée et un atterrissage en Russie pour finalement terminer l’étape en Pologne.    Il ne faut quand même pas laisser l’Antonov 225 virtuel en Russie, question de principe.

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Tour du monde en simulation de vol (7)

Une surprise nous attend au moment d’effectuer le départ de l’aéroport de Sandane (ENSD) vers la Suède, à destination de Stockholm-Bromma (ESSB).

Drone au sol à l'aéroport de Sandane (ENSD) en Norvège.
Drone au sol à l’aéroport de Sandane (ENSD) en Norvège.

Un drone Northrop Grumman RQ-4 Global Hawk se trouve à l’aéroport. Cet appareil de surveillance possède une autonomie d’environ 35 heures et un rayon d’action de 22 779 kilomètres. Il vole à jusqu’à une altitude avoisinant les 60 000 pieds (18 288 mètres). Sa vitesse maximale est de 635 km/h et chaque heure d’opération coûte 24 000 $.

Beech 350I au décollage de l'aéroport de Sandane (ENSD) et en route pour l'aéroport de Stockholm-Broma (ESSB).
Beech 350I au décollage de l’aéroport de Sandane (ENSD) et en route pour l’aéroport de Stockholm-Broma (ESSB).

Aujourd’hui, nous repositionnons un bimoteur Beechcraft King Air 350I qui n’a pas volé depuis belle lurette. Les inspections d’usage ont été effectuées pour s’assurer que des oiseaux n’ont pas fait leur nid sous le capot des moteurs. De même, nous avons vérifié qu’il n’y a pas d’eau de condensation qui se serait déposée au fond des réservoirs d’essence. Enfin, nous avons fait tourner les moteurs longuement au sol pour mettre toutes les chances de notre côté. L’appareil décolle donc de Sandane pour une altitude prévue de 18 000 pieds.

Au-dessus des cimes enneigées de Norvège, en route pour la Suède en simulation de vol.
Au-dessus des cimes enneigées de Norvège, en route pour la Suède en simulation de vol.

Nous survolons les montagnes de Norvège en direction de la Suède. Tout se passe comme prévu.

Carte Navigraph montrant le vol de l'aéroport Sandane (ENSD) vers l'aéroport Stockholm-Bromma (ESSB) en simulation de vol.
Carte Navigraph montrant le vol de l’aéroport Sandane (ENSD) vers l’aéroport Stockholm-Bromma (ESSB) en simulation de vol.

La carte Navigraph montre une estimation du trajet entre les deux pays.

Panne de moteur sur un bimoteur avec Microsoft Flight Simulator.
Panne de moteur sur un bimoteur avec Microsoft Flight Simulator.

Soudainement, le moteur gauche éprouve des problèmes. Il s’arrête et l’hélice se met en drapeau pour minimiser la traînée. Étant donné que nous approchons de la piste de l’aéroport de Stockholm-Bromma et que ce dernier possède une grande piste d’atterrissage et des services d’interventions en cas d’urgence, nous choisissons de continuer notre route, en gardant une altitude plus importante que l’approche le dicte normalement. Nous désirons nous conserver une marge de manœuvre car nous doutons désormais de la fiabilité du deuxième moteur.

Double panne de moteur sur un bimoteur avec Microsoft Flight Simulator.
Double panne de moteur sur un bimoteur avec Microsoft Flight Simulator.

Quelques minutes plus tard, le deuxième moteur s’arrête. L’avion se transforme en gros planeur. Les nuages empêchent de bien voir les alentours, mais nous estimons que notre altitude est suffisante pour effectuer une approche à l’aéroport lorsque la piste sera en vue.

En finale pour l'aéroport de Stockholm-Bromma avec une double panne de moteur.
En finale pour l’aéroport de Stockholm-Bromma avec une double panne de moteur.

Les volets et le train d’atterrissage ne seront sortis que lorsque nous serons établis en finale et que l’avion sera stabilisé et certain d’atteindre la piste. Le simulateur de vol de Microsoft ne nous permet pas de faire n’importe quoi avec un appareil. Si nous dépassons les capacités structurelles de l’avion en tentant de rejoindre l’aéroport, le vol cessera immédiatement.

Atterri à Stockholm-Bromma avec une double panne de moteur sur un Beechcraft 350I en simulation de vol.
Atterri à Stockholm-Bromma avec une double panne de moteur sur un Beechcraft 350I en simulation de vol.

L’approche finale et le roulage au sol n’ont pas causé de problèmes. L’avion ralentit progressivement jusqu’à l’arrêt complet sur la piste. Les pauvres contrôleurs aériens doivent maintenant appliquer le plan B pour réorganiser le trafic aérien autour de l’aéroport, la piste principale étant temporairement bloquée.

Le hangar d'entretien à l'aéroport virtuel Stockholm-Bromma.
Le hangar d’entretien à l’aéroport virtuel Stockholm-Bromma.

Heureusement, la compagnie Beechcraft offre le service d’entretien sur l’aéroport de Stockholm-Bromma. Nous allons donc laisser l’appareil pour les réparations majeures et trouver quelque chose de plus rapide pour le prochain vol à destination de l’Ukraine. Pourquoi pas un F-14 Tomcat ? Il n’est plus en service militaire et ne devrait donc pas susciter trop d’inquiétude.

P.S. Cette histoire est basée sur un fait vécu au Québec et date de plusieurs années. Une connaissance à moi (Paul B.) devait effectuer un vol entre l’aéroport de Val-d’Or (CYVO) et celui de Rouyn-Noranda (CYUY) avec un bimoteur léger qui n’avait pas volé depuis longtemps. À mi-chemin entre CYVO et CYUY, le premier moteur est tombé en panne. Le pilote a décidé de continuer. Alors qu’il avait la piste en vue au loin, le deuxième moteur s’est arrêté. Le pilote a piloté l’appareil en vol plané et réussi à se poser sur la route 117, tout juste derrière un gros camion qui a accéléré pour laisser l’espace à l’avion qu’il voyait descendre dans son rétroviseur. L’appareil n’a subi aucun dommage !

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Tour du monde en simulation de vol (4)

Décollage de l'aéroport virtuel de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé avec le Cessna 700 et Microsoft Flight Simulator.
Décollage de l’aéroport virtuel de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé avec le Cessna 700 et Microsoft Flight Simulator.

La quatrième étape de ce tour du monde en simulation de vol se poursuit avec un voyage entre l’aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé   (Royaume du Danemark) et l’aéroport le plus septentrional de Finlande, celui d’Ivalo (EFIV).

Ci-dessous, un diagramme montrant le trajet d’une durée approximative de deux heures.

De l'aéroport de Vagar (EKVG) vers celui d'Ivalo (EFIV).
De l’aéroport de Vagar (EKVG) vers celui d’Ivalo (EFIV).

J’utilise Microsoft Flight Simulator pour le voyage. Les réservoirs ne sont remplis qu’à 50%, car il faut limiter le poids de l’appareil pour permettre un décollage sécuritaire sur cette piste de 5908 pieds. L’appareil nécessite au minimum 4810 pieds, auxquels il faut rajouter une forte composante de vents de travers ce matin. De plus, la piste est détrempée. En ajoutant trop de carburant, on risque de se retrouver dans la baie au bout de la piste 30.

Un Cessna Citation Longitude en route vers Ivalo (EFIV) en Finlande, en simulation de vol.
Un Cessna Citation Longitude en route vers Ivalo (EFIV) en Finlande, en simulation de vol.

Le Cessna Longitude virtuel se trouve maintenant à son altitude de croisière prévue. D’épais nuages couvrent les côtes de la Norvège, mais la météo est beaucoup plus favorable dans le nord de la Finlande où se trouve notre destination.

Le Cessna 700 virtuel entame sa descente pour l'aéroport de Ivalo (EFIV) en Finlande.
Le Cessna 700 virtuel entame sa descente pour l’aéroport de Ivalo (EFIV) en Finlande.

Après avoir attendu au maximum avant d’entamer la descente, de façon à économiser l’essence restante, il est temps de descendre dans la couche nuageuse pour l’approche vers Ivalo.

Un Cessna Citation Longitude au-dessus des terres gelées du nord de la Finlande.
Un Cessna Citation Longitude au-dessus des terres gelées du nord de la Finlande.

En descente pour l’aéroport, l’appareil traverse plusieurs couches de nuages. Le territoire encore gelé de la Finlande au mois de mars est bien visible.

Approche visuelle pour l'aéroport d'Ivalo (EFIV) en Finlande.
Approche visuelle pour l’aéroport d’Ivalo (EFIV) en Finlande.

On doit attendre au dernier moment pour sortir le train d’atterrissage et les volets pour maximiser l’économie de carburant. Près de l’aéroport, j’ai droit a un magnifique spectacle au moment où le soleil arrive sur l’horizon.

Longue finale pour la piste 22 de l'aéroport virtuel de Ivalo (EFIV) en Finlande.
Longue finale pour la piste 22 de l’aéroport virtuel de Ivalo (EFIV) en Finlande.

Train d’atterrissage sorti. Les volets suivent sous peu. Une alarme vient de s’allumer dans le poste de pilotage pour indiquer un faible niveau de carburant dans les réservoirs. Mais il en reste tout de même autour 350 livres pour chaque moteur. En approche finale, la vue est superbe.

Cessna Citation en courte finale pour la piste 22 de l'aéroport virtuel de Ivalo (EFIV) en Finlande.
Cessna Citation en courte finale pour la piste 22 de l’aéroport virtuel de Ivalo (EFIV) en Finlande.

Les vents soufflent du 220 degrés à 7 noeuds, directement dans l’axe de la piste 22. Cette dernière est d’une longueur de 8199 x 148 pieds. Les volets sont sortis et l’approche s’effectue en douceur.

Ivalo, l'aéroport le plus septentrional de Finlande, avec Microsoft Flight Simulator.
Ivalo, l’aéroport le plus septentrional de Finlande, avec Microsoft Flight Simulator.

Bienvenue en Laponie! L’aéroport d’Ivalo (EFIV) était en 2024 le neuvième aéroport pour ce qui est du trafic de passagers en Finlande. La région attire les touristes amateurs de sports d’hiver mais aussi ceux qui sont désireux d’observer les aurores boréales.

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