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Une photo HDR de la redoute Dauphine à Québec.

Bâtiments de la redoute Dauphine, Québec 2024.
Bâtiments de la redoute Dauphine, Québec 2024.

La photo HDR de la redoute Dauphine ci-dessus comporte sept clichés aux ouvertures différentes. Le logiciel Photomatix les empile les uns par-dessus les autres pour créer un seul cliché. Cela permet de faire ressortir les zones les plus sombres tout en contrôlant le mieux possible les régions trop claires.

Pour un effet réussi, on doit tenir compte des facteurs suivants : type d’appareil-photo (idéalement plein format), usage d’un objectif grand-angle approprié, mise au point, heure, genres de nuages, trépied, câble de rallonge, vibrations du miroir de l’appareil-photo, vent, visibilité, grain photographique, profondeur de champ, obstacles mouvants devant l’objectif de la caméra et composition photographique.

J’emploie un Canon 5 DSr muni d’un objectif super grand-angulaire Canon EF 11-24 mm F/4L. La mise au point grâce à l’écran rétroéclairé de la caméra améliore la précision. Le choix de l’heure fait en sorte qu’on se soustrait à l’obscurité complète et profite de la fin de l’heure bleue. Les nuages n’empêchent pas la capture d’un arrière-plan éloigné et permettent un reflet des lumières de la ville dans le ciel.

On opte pour un trépied solide. Son poids additionnel annule les petites secousses et supporte un équipement photographique assez lourd. Le câble de rallonge évite de toucher la caméra avec la main au moment de la prise des sept photos.

Pour les appareils munis de miroir comme le Canon 5 DSr, on active le verrouillage de miroir. Ainsi, les vibrations provoquées par la rotation du miroir ont deux secondes pour s’effacer avant que le déclencheur ne saisisse la photo. Un vent faible diminue également les chances de vibrations.

Une visibilité moyenne permet une meilleure graduation des couleurs et des reflets. Ce soir, la brume joue bien son rôle. En utilisant un trépied, je limite fortement le grain photographique. L’ISO se situe donc à 200. La profondeur de champ n’engendre pas de problèmes, car le trépied évitera les mouvements causés par une longue exposition.

Étant donné que de nombreuses personnes visitent l’endroit en soirée, j’essaie de prendre chacune des sept photos entre deux passages de piétons. Ce n’est pas toujours possible, mais Photomatix peut enlever les « fantômes » au moment de la compilation des clichés. Il y a cependant une limite à cette fonction.

Le dernier point concerne la composition photographique. La photo ci-dessus est divisée en trois zones horizontales à peu près égales. Des lignes obliques de chaque côté au bas de la photo dirigent le regard vers le centre de l’image. Les cinq lumières de la redoute Dauphine et celles de la ville captent l’attention. Tous les plans possèdent des détails visibles et ne se perdent pas dans l’obscurité. Pour un meilleur équilibre, le cadrage ne tient pas compte d’un autre bâtiment imposant à la droite de la scène.

Voilà donc les quelques précautions prises au moment de capturer la scène en photographie de nuit HDR.

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Étude des lignes en photographie

Escaliers dans le Vieux-Québec 2023
Escaliers dans le Vieux-Québec 2023

Les photographes utilisent peu l’intense lumière du midi lorsqu’il s’agit d’obtenir un effet intéressant. Cependant, comme pour cette photo HDR des escaliers d’une rue du Vieux-Québec ci-dessus, la lumière brillante permet d’obtenir des jeux d’ombre avec les lignes horizontales, verticales et obliques.

Ville de Québec au printemps 2023 en HDR
Ville de Québec au printemps 2023 en HDR

Ci-dessus, un autre escalier et ses lignes allant dans toutes les directions. Mais il ne joue qu’un rôle partiel dans cette photo HDR, le reste étant occupé par la scène au loin. Je recherchais un double effet de clair-obscur et d’atmosphère. Le premier plan, sombre et froid, contraste avec un arrière-plan plus clair mais au ciel incertain. Sur la droite de la photo, la tension diminue, le ciel bleu et le soleil apparaissent. 

Photographie de rue à la station de la Plage 2023
Photographie de rue à la station de la Plage 2023

Cette image constitue ce qu’il est convenu d’appeler la « photographie de rue ». Le hasard a placé cette personne au bon endroit avec la bonne robe et le parapluie approprié. Elle porte un vêtement aux lignes horizontales et tient un parapluie aux lignes obliques devant la clôture aux lignes verticales de la station de la Plage à Québec. Le ciel gris évite les distractions et concentre l’attention sur le sujet principal. 

Pour cette dernière photo, je n’avais pas mon appareil-photo plein format, mais un cellulaire. Le fichier étant de qualité moindre, j’ai dû améliorer la mise au point au moyen d’un logiciel de photographie possédant une capacité d’intelligence artificielle.

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Le Grand Prix Cycliste de Québec 2022.

Les cyclistes tournent vers la côte Gilmour dans la ville de Québec en 2022
Les cyclistes tournent vers la côte Gilmour dans la ville de Québec en 2022

Un point de vue intéressant pour photographier le Grand Prix Cycliste de Québec se trouve à l’intersection de la Grande-Allée et de l’avenue menant à la fameuse côte Gilmour. Les cyclistes roulent à vive allure et doivent freiner fortement avant d’effectuer un virage serré à gauche pour entamer la descente vers la portion qui les mènera le long du fleuve St-Laurent. À cet endroit, il n’y a aucune obstruction pour le photographe.

Grand Prix Cycliste de Québec en 2022
Grand Prix Cycliste de Québec en 2022

Pour saisir l’effet de mouvement des cyclistes, il importe que la vitesse d’obturation ne soit pas trop rapide; préférablement entre 1/125 et 1/160. Sinon, tout est figé, même les rayons des roues.

Grand Prix Cycliste de Québec 2022
Grand Prix Cycliste de Québec 2022

Un positionnement immédiatement après la courbe permet de capter une longue file de vélos. On peut effectuer la mise au point sur les cyclistes à droite dans le viseur et laisser floue la file de cyclistes en virage. Pour ce faire, il faut s’assurer que l’ouverture choisie rendra l’arrière-plan imprécis. Il importe aussi de suivre le mouvement des cyclistes avec l’appareil-photo. Si l’on reste immobile, tous les coureurs sans exception seront flous, la vitesse d’obturation étant trop lente pour ces coureurs se déplaçant à grande vitesse devant nous.

Cyclistes en course sur la Grande-Allée à Québec en 2022
Cyclistes en course sur la Grande-Allée à Québec en 2022

Un gros plan occasionnel obtenu au moyen d’un recadrage permet de constater des détails qui nous échapperaient autrement. Dans le cas de la photo ci-dessus, on voit bien que non seulement le coureur du devant est détendu, mais qu’il a aussi chuté récemment, son bras droit étant encore en mode guérison. Il arrive également que l’on observe le résultat de déformations aux genoux des cyclistes suite aux nombreuses chirurgies.

Le Grand Prix Cycliste de Québec 2022
Le Grand Prix Cycliste de Québec 2022

En virage, la concentration est totale. Les cyclistes veulent conserver leur position dans ce groupe très serré qui doit manœuvrer dans un espace restreint. Au téléobjectif, on voit l’expression faciale changer d’expression à l’approche du virage pour la côte Gilmour. Notez la concentration sur les visages des cyclistes au premier plan…

Grand Prix Cycliste dans la ville de Québec en 2022
Grand Prix Cycliste dans la ville de Québec en 2022

Pour une photo réussie comme celle-ci-dessus, plusieurs s’avèrent inutilisables. La rotation du corps avec l’appareil-photo pour suivre les cyclistes demeure un art difficile à maîtriser. Heureusement, le temps de la photo argentique est derrière nous et on ne s’en fait plus autant pour les photos manquées. L’important est de s’amuser et tenter de s’améliorer un peu plus à chaque sortie!

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Un merle d’Amérique chanceux.

Un merle d'Amérique et son oisillon à Sillery, Québec.
Un merle d’Amérique et son oisillon à Sillery, Québec.

À Québec, un merle d’Amérique est venu faire son nid près de notre porte arrière. Depuis le temps qu’il était là à couver sans donner naissance à quoi que ce soit, nous commencions à croire que la mère était stérile.

De gros travaux de construction devaient commencer sous peu à notre domicile et durer quelques semaines. Nous étions presque satisfaits qu’aucun oisillon ne soit né, car cela simplifierait le transport des matériaux.

Une journée avant le début des rénovations, un premier oisillon a donné signe de vie. Il faudrait désormais bloquer le passage à tous les travailleurs de construction et leur demander de faire un détour chaque fois qu’ils avaient besoin de sortir des rebuts de la maison ou entrer du matériel neuf.

Tous les groupes de travailleurs ont accueilli notre demande sans rechigner. Pendant deux semaines, les électriciens, plombiers, poseurs de plancher, livreurs et installateurs de toutes sortes se sont succédé en demandant parfois des nouvelles sur l’état de la mère et de ses oisillons.

À Québec, trois merles d'Amérique âgés d'environ deux semaines.
À Québec, trois merles d’Amérique âgés d’environ deux semaines.

La photo ci-dessus montre les trois oisillons une journée avant qu’ils ne prennent leur envol. Le manque de lumière lié à l’emplacement du nid, de même que le désir de ne pas déranger les oisillons a nécessité l’emploi d’un téléobjectif performant et d’un appareil-photo capable d’offrir un recadrage sans perte de qualité. Un appareil-photo plein format Canon 5DSR muni d’un téléobjectif Canon 70-200 f2.8L IS II USM a facilité l’opération. L’ISO était réglé à 200 et j’ai fortement limité la profondeur de champ afin d’obtenir la meilleure vitesse d’obturation possible pour éviter le flou de bougé.

Ce matin, tous les oiseaux avaient quitté le nid. Les parents volaient autour nerveusement, attaquant les prédateurs pendant que les petits apprenaient rapidement à devenir autonomes. Le geai bleu qui nous visite régulièrement pour son « plat du jour » s’est vu interdire l’accès à la cour arrière par les deux parents.

Il y a désormais trois nouveaux merles dans le secteur et il est quasi certain que la mère reviendra l’année prochaine au même endroit, étant donné le succès remporté cette année.

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Brockville en Ontario.

Quartier historique de Brockville en Ontario.
Quartier historique de Brockville en Ontario.

Le secteur historique de Brockville en Ontario surprend par son architecture, ses grands arbres matures et la présence d’une marina très bien planifiée. Chaque fin de journée, de nombreux véhicules viennent se stationner le long de la promenade offrant une magnifique vue sur le fleuve St-Laurent près de l’archipel des Mille-Îles.

La photo ci-dessus montre un de ces vieux bâtiments recouverts de lierre et autres plantes grimpantes. La météo instable de cette journée a permis de capturer en arrière-plan un cumulus bourgeonnant (TCU), ce qui ajoute à l’ambiance générale.

Arbre isolé près du secteur historique de Brockville en Ontario.
Arbre isolé près du secteur historique de Brockville en Ontario.

Au hasard des promenades près du secteur historique de Brockville, nous avons aperçu cet énorme arbre isolé en bordure de rue. Même s’il n’est pas protégé par d’autres arbres environnants pour endurer les tempêtes et vents violents au courant des années, celui-ci a réussi à résister et atteindre sa maturité sans trop de dommages.

Les deux photos ont été prises avec un appareil-photo plein format Canon 5DSr.

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Photos du Canada Photos du Québec

Les nouvelles maisons de Sillery.

Sillery était une municipalité autrefois autonome et qui fait aujourd’hui partie de la ville de Québec. L’architecture des maisons qu’on y construit depuis quelques années contraste grandement en style et en format avec les habitations plus anciennes.

Les constructions plus récentes surprennent un peu par leur format gigantesque. Les nouveaux propriétaires désirent des bâtiments à l’aspect moderne et aux dimensions très imposantes, doublant et même triplant parfois la dimension de certaines demeures traditionnelles du secteur.

La photo ci-dessous montre la différence de grosseur entre une propriété traditionnelle (à l’extrême droite de la photo) et une habitation plus moderne. 

Maison moderne de Sillery, Québec 2022
Maison moderne de Sillery, Québec 2022

Ci-dessous, une maison traditionnelle de Sillery simplement décorée pour la période des Fêtes. La lumière bleue du petit sapin se reflète sur la façade de la demeure et le tout a fière allure.

Maison traditionnelle de Sillery dans la ville de Québec en 2022.
Maison traditionnelle de Sillery dans la ville de Québec en 2022.

La maison traditionnelle ci-dessus et ses décorations de Noël contrastent fortement avec une autre deux rues plus loin (photo ci-dessous). Difficile de manquer la maison (dont on ne voit bien qu’une section) et surtout l’immense sapin décoré en entier et qui a dû susciter l’utilisation d’une grue munie d’un bras télescopique.

Maison moderne de Sillery et décorations de Noël.
Maison moderne de Sillery et décorations de Noël.

Une dernière photo (ci-dessous) montre une autre maison traditionnelle de Sillery à l’architecture intéressante.

L’ancien et le nouveau contrastant fortement dans le secteur, j’ai donc cru important de capturer quelques souvenirs de propriétés à l’architecture unique avant qu’elles ne disparaissent pour laisser leur place à la modernité. Car aujourd’hui, la mode favorise désormais davantage la démolition plutôt que la rénovation.

Maison traditionnelle de Sillery et décorations de Noël en 2022.
Maison traditionnelle de Sillery et décorations de Noël en 2022.

Les photos proviennent d’un appareil-photo plein format Canon 5DSR   muni d’un objectif Canon EF 24-70 f/2.8 L USM, le tout monté sur trépied pour éviter le flou de bougé. L’ISO était réglé à 200, de façon à limiter le grain photographique.

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L’ Aviation Royale Canadienne (ARC) à Québec.

Les Snowbirds devant Québec en juin 2021.
Les Snowbirds devant Québec en juin 2021.

Les Snowbirds étaient de passage au-dessus de la ville de Québec en juin, suivis par de nombreux autres jets, avions de transports et hélicoptères militaires canadiens. Jusqu’à la dernière minute, une couche de nuages bas et les précipitations occasionnelles ont préoccupé les organisateurs de l’événement.

Un traversier devant la ville de Lévis en juin 2021.
Un traversier devant la ville de Lévis en juin 2021.

Ci-dessus, les nuages bas sont visibles dans cette vue de Lévis prise à partir de la terrasse Dufferin à Québec. Sur le fleuve St-Laurent, le traversier de Québec vers Lévis approche de sa destination.

Trois CF-18 passent par Québec en juin 2021.
Trois CF-18 passent par Québec en juin 2021.

Des CF-18 sont passés une première fois en formation de trois appareils. Pour les amateurs de photographie,  l’appareil-photo plein format utilisé pour l’occasion était un Canon 5DSr muni d’un téléobjectif EF 70-200mm f/2.8L IS II USM. Pour la photo ci-dessus, la vitesse d’obturation était de 1/4000 et la focale de 200mm. Étant donné le passage rapide des CF-18, j’ai opté pour l’autofocus AI Servo qui s’adapte rapidement aux changements de distance des objets à photographier. La taille originale de l’image étant de 50.6 mégapixels, cela m’a permis de recadrer pour rapprocher les appareils sans perdre de qualité.

Quatre CF-18 canadiens passent par Québec en juin 2021.
Quatre CF-18 canadiens passent par Québec en juin 2021.

Ci-dessus, quatre CF-18 photographiés avec une vitesse d’obturation de 1/5000.

Le vraquier Spar Taurus arrive au port de Québec en juin 2021.
Le vraquier Spar Taurus arrive au port de Québec en juin 2021.

Entre le passage des différents jets militaires, la circulation maritime se poursuivait comme d’habitude sur le fleuve St-Laurent. Ci-dessus, le navire Spar Taurus, un vraquier construit en 2005 et battant pavillon norvégien, se dirige vers le port de Québec, accompagné de deux remorqueurs de la compagnie Ocean. En arrière-plan, le pont de l’Île d’Orléans qui sera refait d’ici quelques années.

Un C-17 Globemaster III canadien survole la terrasse Dufferin à Québec en juin 2021.
Un C-17 Globemaster III canadien survole la terrasse Dufferin à Québec en juin 2021.

Ci-dessus, un C-17 Globemaster III, avion militaire de transport construit par McDonnell Douglas, passe au-dessus de la terrasse Dufferin à Québec. Le Canada en a cinq exemplaires.

Un hélicoptère Bell CH-146 Griffon canadien à Québec en juin 2021
Un hélicoptère Bell CH-146 Griffon canadien à Québec en juin 2021

Ci-dessus, un hélicoptère militaire canadien Bell CH-146 Griffon, de passage au-dessus du fleuve. Un militaire assis derrière prend en photo la foule massée sur la terrasse Dufferin. Pour photographier un hélicoptère, la vitesse d’obturation doit être radicalement réduite, de façon à pouvoir observer le mouvement des pales. Pour la photo ci-dessus, elle est de 1/250, mais j’aurais pu réduire la vitesse jusqu’à 1/125 sans trop risquer que l’hélicoptère soit flou.

Il y a eu d’autres appareils qui ont survolé le fleuve, tels que le CP-140 Aurora et le Lockheed C-130J Super Hercules, mais les photos prises n’étaient pas d’une qualité suffisante pour être publiées sur le web.

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La photographie à l’hiver 2020 dans le Vieux-Québec (3)

Place d'Youville sous la neige modérée. Vue de la Porte St-Jean, hiver 2020.
Place d’Youville sous la neige modérée. Vue de la Porte St-Jean, hiver 2020.

La technique de photographie adoptée ci-dessus utilise le cadre offert par la porte St-Jean pour cadrer la photo principale montrant Place d’Youville et ses bâtiments au moment où tombent de fortes chutes de neige.

Cette photographie de nuit en hiver représente plusieurs défis, dont la nécessité de montrer les flocons de neige tombant devant les phares des voitures en mouvement tout en respectant la luminosité naturelle des bâtiments en arrière-plan.

Les deux piétons déambulant sur la rue St-Jean ajoutent une touche humaine et de la profondeur à la scène.

La photo ci-dessous représente une partie du Pub St-Patrick avec quelques-unes de ses décorations de Noël lors de la tempête de neige du 7 février 2020. Le Vieux-Québec regorge de bâtiments décorés longtemps après la période des Fêtes.

Piéton devant le Pub St-Patrick dans le Vieux-Québec, hiver 2020
Piéton devant le Pub St-Patrick dans le Vieux-Québec, hiver 2020

La photo a été prise juste avant la tombée de la nuit, car la lumière y est alors particulièrement douce. J’ai attendu le passage d’une rare piétonne pour ajouter un peu d’humanité à la scène.

La composition photographique tient compte des deux lignes diagonales qui partent des coins supérieur et inférieur gauches et se rejoignent du côté droit de la photo, à peu près en son centre.

La lumière diffuse provenant d’un lampadaire situé à droite et hors du cadre de la photo ajoute un peu de chaleur à cette scène hivernale.

Les photos ont été prises avec un appareil-photo plein format Canon 5DSr.

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St-Jacques de Leeds et les couleurs d’automne.

St-Jacques de Leeds en automne
St-Jacques de Leeds en automne

La région de St-Jacques de Leeds, au Québec, offre des opportunités très intéressantes pour les photographes amateurs de couleurs d’automne très variées.

Maison de St-Jacques de Leeds en automne.
Maison de St-Jacques de Leeds en automne.

Même si la couleur rouge n’était plus dominante lors de mon passage dans le secteur, les contrastes entre les conifères très foncés et les autres couleurs offraient encore de très beaux paysages.

Pour la composition photographique de la photo ci-dessus, j’ai conservé une bonne partie du sentier. Ce dernier part de la route principale, où j’étais positionné, et se dirige tout en courbes jusqu’à  la maison. Le sentier commence à gauche sur la photo de façon à amener l’œil de l’observateur vers la maison puis vers la forêt en arrière-plan. Ce positionnement permettait aussi de cacher une partie de la maison avec les arbres orangés.

Paysage de St-Jacques de Leeds en automne.
Paysage de St-Jacques de Leeds en automne.

En fin d’après-midi durant l’automne, la lumière est passablement moins violente que l’été. Il n’est pas nécessaire d’attendre beaucoup plus tard pour obtenir des effets intéressants. La scène ci-dessus offrait un contraste naturel intéressant entre le bleu du ciel et le riche ton orangé des arbres. J’ai conservé une partie du conifère au premier plan pour ajouter au dynamisme de la scène, tant par sa couleur fonçée que par sa position au premier plan.

Soirée d'automne à St-Jacques de Leeds.
Soirée d’automne à St-Jacques de Leeds.

La photo ci-dessus nécessitait obligatoirement l’utilisation du trépied. L’objectif Canon EF 85mm f/1.2L USM, qui sert surtout pour le portrait, nécessite moins de lumière que l’œil humain. Il a permis de rendre à merveille l’atmosphère et les couleurs quelques minutes avant l’arrivée de la nuit. Toutes les photos ont été prises avec un appareil-photo plein format Canon 5DSR.

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La région de Lake Louise et une vue à partir du Big Beehive.

Vue à partir du sommet du Big Beehive, en Alberta.
Vue à partir du sommet du Big Beehive, en Alberta.

Si vous passez un peu de temps près de Lake Louise, en Alberta, une activité extérieure très intéressante consiste à parcourir un sentier en boucle de 10 kilomètres qui mène au sommet du Big Beehive. Vous débutez votre marche près de l’hôtel Fairmont Lake Louise et faites une lente ascension jusqu’au « Lake Agnes Tea House ».

Là, vous pouvez prendre un repas sommaire et vous reposer un peu avant d’entreprendre la marche autour de Mirror Lake et l’ascension subséquente jusqu’au Big Beehive. La vue au sommet est absolument superbe. J’ai inclu un lien qui vous offre des commentaires des gens qui fait cette ascension : Alltrails.com

Une fois que vous êtes revenu de votre excursion et êtes prêt pour une activité un peu moins exigeante, considérez la location d’un canot au chalet situé à proximité du Fairmont Lake Louise et passez une heure sur le lac. La couleur de l’eau est absolument superbe et la vue est splendide.

Des canotiers profitent de la beauté du paysage de Lake Louise en Alberta en 2018.
Des canotiers profitent de la beauté du paysage de Lake Louise en Alberta en 2018.

Les photos ci-dessus ont été prises avec un appareil-photo plein format Canon 5DSR. J’ai transporté un trépied et quelques autres pièces d’équipement photographique en haut de la montagne, car il était évident qu’il y aurait plusieurs opportunités de photos intéressantes. Le fait d’utiliser des fichiers RAW a grandement aidé pour le traitement des différents niveaux de luminosité.

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