Le survol de la planète s’effectue aujourd’hui entre les aéroports virtuels de London City (EGLC) en Angleterre et celui de Rotterdam-La Haye (EHDR) dans les Pays-Bas. La météo se présente bien, à part quelques bons gros TCU ici et là le long du trajet. L’équipage importe le plan de vol de Simbrief dans Navigraph pour faciliter la navigation entre les deux pays.

Pour un trajet rapide et en tout confort, nous choisissons le très performant Daher TBM930 aux couleurs du Canada. Microsoft a vraiment conçu une merveille d’avion virtuel.

Le plafond d’opération se situe à 31 000 pieds et la distance maximale franchie par le TBM930 tourne autour de 1730 nm. Grâce à une vitesse de croisière de 330 nœuds, nous traversons la Manche en un rien de temps. Comme on doit s’y attendre, de nombreux navires circulent entre la mer du Nord et la Manche.

Nous voici au-dessus des Pays-Bas. La route programmée se lit ainsi : EGLC piste 09 DEP ODUK1H ODUKU M84 TOVGU M84 CLN P44 RATLO M197 REDFA MASOS. Nous avons sélectionné l’arrivée REDF3R et l’approche RNAV piste 24.

Ci-dessous, la photo du cockpit montre l’intérieur du TBM930 et le trajet suivi pour l’approche. Nous descendons rapidement pour respecter l’altitude de 2000 pieds recommandée un peu plus loin pour l’arrivée.

Les vents soufflent fort aujourd’hui et il y a de la turbulence mécanique tout au long du trajet vers Rotterdam.

L’autopilote se charge de garder le monomoteur turbopropulsé légèrement à droite de l’axe de la piste 24 lors de la longue finale pour contrer les forts vents de travers. La fonction VNAV s’acquitte très bien de son travail en ce qui a trait à l’altitude à respecter en descente.

En courte finale, nous débranchons l’autopilote. Les vents de surface soufflent du 320/14 nœuds. Quelques instants plus tard, nous posons l’aéronef virtuel sans tout casser. Une courte circulation au sol nous amène à un stationnement où du personnel nous attend.

Voler virtuellement avec le TBM930 constitue une gâterie. Il fait partie des meilleurs avions virtuels disponibles actuellement sur le marché pour utilisation avec le simulateur de vol Microsoft Flight Simulator (MSFS). De plus, les pilotes virtuels n’ont pas à débourser un supplément pour cet appareil, car il est fourni avec le logiciel MSFS.
La prochaine étape de ce tour du monde en simulation de vol s’effectue entre Rotterdam et l’aéroport de Paris-le Bourget (LFPB) en France. Des clients ont affrété un vieux MD-11 aux couleurs de KLM pour un vol historique vers le Musée de l’Air et de l’Espace du Bourget.
Cliquez sur le lien pour les étapes précédentes de ce survol de la planète en simulation de vol dans mon blogue.







