Catégories
Simulation de vol

Tour du monde en simulation de vol (10)

L’étape 10 de ce tour du monde en simulation de vol s’effectue entre la Pologne et l’Allemagne. Deux appareils très différents serviront à compléter le trajet durant cette journée de voyage en vol VFR : un vieux Junkers Ju 52/3m et un hélicoptère d’affaires moderne, le H160 d’Airbus.

Junkers JU 52 au décollage de l'aéroport de Lublin (EPLB) en Pologne.
Junkers JU 52 au décollage de l’aéroport de Lublin (EPLB) en Pologne.

Le départ s’opère à partir de l’aéroport de Lublin (EPLB) en Pologne. Le Junkers Ju 52/3m décolle sur une courte distance et sans problème. Le gros trimoteur à roue de queue est aussi prévisible que le Cessna C-170B que j’avais utilisé dans la vraie vie pour traverser le Canada en 1981. On aperçoit ci-dessus les champs cultivés de la Pologne.

Le Junkers JU 52 et le château Moritzburg en Allemagne en simulation de vol.
Le Junkers JU 52 et le château Moritzburg en Allemagne en simulation de vol.

La matinée s’annonce très belle quant à la météo. La première étape du trajet permet le survol du château de Moritzburg (Schloss Moritzburg), au nord-ouest de Dresde. Sa construction date de 1542 et était originalement le pavillon de chasse du duc de Saxe.

Un Junkers JU 52 est en route pour le Musée national de préhistoire de Halle en Allemagne.
Un Junkers JU 52 est en route pour le Musée national de préhistoire de Halle en Allemagne.

Sur le trajet en direction Halle se trouve un grand parc d’éoliennes. L’Allemagne comme l’Europe développe son énergie verte rapidement. L’attitude récente de la Russie face à l’approvisionnement en gaz naturel de l’Europe a drastiquement changé la planification énergétique des pays avoisinants.

Un Junkers JU 52 survole le Musée national de préhistoire de Halle, en Allemagne, en simulation de vol.
Un Junkers JU 52 survole le Musée national de préhistoire de Halle, en Allemagne, en simulation de vol.

Ci-dessus, au centre de la photo, se trouve une vue partielle du Musée national de la préhistoire de Halle (Landesmuseum für Vorgeschichte Halle) qui se situe non loin de Leipzig. Il s’agit d’un des principaux musées archéologiques d’Europe centrale.

Vol autour du Kyffhaüser-Denkmal en Allemagne par un Junkers 52 en simulation de vol.
Vol autour du Kyffhaüser-Denkmal en Allemagne par un Junkers 52 en simulation de vol.

Avant d’atteindre l’aéroport de Calden pour changer d’appareil, nous contemplons le monument Kyffhaüser (Kyffhaüser Denkmal). Une fois à Calden, nous sauterons dans un hélicoptère moderne construit par Airbus, le H160, pour nous diriger vers Göttingen, plus précisément au-dessus de la rue Münchhausenstrasse.

Nous avons obtenu la permission de survoler cette artère à très basse altitude, le temps de saluer une vieille connaissance. Cette autorisation douteuse va probablement causer la perte de son poste au ministre des Transports de l’Allemagne.

Rues de Göttingen, Allemagne, en simulation de vol.
Rues de Göttingen, Allemagne, en simulation de vol.

Un survol de cette rue de Göttingen est nécessaire pour vérifier l’ampleur de la circulation.

Hélicoptère H160 en descente au-dessus de la Münchhausenstrasse à Göttingen en Allemagne, en simulation de vol.
Hélicoptère H160 en descente au-dessus de la Münchhausenstrasse à Göttingen en Allemagne, en simulation de vol.

La descente se fait graduellement entre les bâtiments. Nous effectuons un vol stationnaire juste au-dessus des voitures. Les piétons semblent nous saluer, mais il se peut que nous interprétions le geste de façon erronée.

Notre ami est à la fenêtre et prend le temps de cesser sa lecture d’une excellente bande dessinée pour nous envoyer la main. Nous poursuivons ensuite notre route jusqu’à l’aéroport de Padderborn Lippstadt (EDLP), la destination pour aujourd’hui.

Un hélicoptère H160 atterrit à l'aéroport Padderborn Lippstadt (EDLP) en Allemagne en simulation de vol.
Un hélicoptère H160 atterrit à l’aéroport Padderborn Lippstadt (EDLP) en Allemagne en simulation de vol.

Il y a tout de même passablement d’activité à l’aéroport. Tout de suite après l’atterrissage, nous commencerons la planification de l’étape 11 de ce voyage autour du monde en simulation de vol et météo réelle.

Cliquez sur le lien pour d’autres vols autour du monde en simulation de vol sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Tour du monde en simulation de vol (7)

Une surprise nous attend au moment d’effectuer le départ de l’aéroport de Sandane (ENSD) vers la Suède, à destination de Stockholm-Bromma (ESSB).

Drone au sol à l'aéroport de Sandane (ENSD) en Norvège.
Drone au sol à l’aéroport de Sandane (ENSD) en Norvège.

Un drone Northrop Grumman RQ-4 Global Hawk se trouve à l’aéroport. Cet appareil de surveillance possède une autonomie d’environ 35 heures et un rayon d’action de 22 779 kilomètres. Il vole à jusqu’à une altitude avoisinant les 60 000 pieds (18 288 mètres). Sa vitesse maximale est de 635 km/h et chaque heure d’opération coûte 24 000 $.

Beech 350I au décollage de l'aéroport de Sandane (ENSD) et en route pour l'aéroport de Stockholm-Broma (ESSB).
Beech 350I au décollage de l’aéroport de Sandane (ENSD) et en route pour l’aéroport de Stockholm-Broma (ESSB).

Aujourd’hui, nous repositionnons un bimoteur Beechcraft King Air 350I qui n’a pas volé depuis belle lurette. Les inspections d’usage ont été effectuées pour s’assurer que des oiseaux n’ont pas fait leur nid sous le capot des moteurs. De même, nous avons vérifié qu’il n’y a pas d’eau de condensation qui se serait déposée au fond des réservoirs d’essence. Enfin, nous avons fait tourner les moteurs longuement au sol pour mettre toutes les chances de notre côté. L’appareil décolle donc de Sandane pour une altitude prévue de 18 000 pieds.

Au-dessus des cimes enneigées de Norvège, en route pour la Suède en simulation de vol.
Au-dessus des cimes enneigées de Norvège, en route pour la Suède en simulation de vol.

Nous survolons les montagnes de Norvège en direction de la Suède. Tout se passe comme prévu.

Carte Navigraph montrant le vol de l'aéroport Sandane (ENSD) vers l'aéroport Stockholm-Bromma (ESSB) en simulation de vol.
Carte Navigraph montrant le vol de l’aéroport Sandane (ENSD) vers l’aéroport Stockholm-Bromma (ESSB) en simulation de vol.

La carte Navigraph montre une estimation du trajet entre les deux pays.

Panne de moteur sur un bimoteur avec Microsoft Flight Simulator.
Panne de moteur sur un bimoteur avec Microsoft Flight Simulator.

Soudainement, le moteur gauche éprouve des problèmes. Il s’arrête et l’hélice se met en drapeau pour minimiser la traînée. Étant donné que nous approchons de la piste de l’aéroport de Stockholm-Bromma et que ce dernier possède une grande piste d’atterrissage et des services d’interventions en cas d’urgence, nous choisissons de continuer notre route, en gardant une altitude plus importante que l’approche le dicte normalement. Nous désirons nous conserver une marge de manœuvre car nous doutons désormais de la fiabilité du deuxième moteur.

Double panne de moteur sur un bimoteur avec Microsoft Flight Simulator.
Double panne de moteur sur un bimoteur avec Microsoft Flight Simulator.

Quelques minutes plus tard, le deuxième moteur s’arrête. L’avion se transforme en gros planeur. Les nuages empêchent de bien voir les alentours, mais nous estimons que notre altitude est suffisante pour effectuer une approche à l’aéroport lorsque la piste sera en vue.

En finale pour l'aéroport de Stockholm-Bromma avec une double panne de moteur.
En finale pour l’aéroport de Stockholm-Bromma avec une double panne de moteur.

Les volets et le train d’atterrissage ne seront sortis que lorsque nous serons établis en finale et que l’avion sera stabilisé et certain d’atteindre la piste. Le simulateur de vol de Microsoft ne nous permet pas de faire n’importe quoi avec un appareil. Si nous dépassons les capacités structurelles de l’avion en tentant de rejoindre l’aéroport, le vol cessera immédiatement.

Atterri à Stockholm-Bromma avec une double panne de moteur sur un Beechcraft 350I en simulation de vol.
Atterri à Stockholm-Bromma avec une double panne de moteur sur un Beechcraft 350I en simulation de vol.

L’approche finale et le roulage au sol n’ont pas causé de problèmes. L’avion ralentit progressivement jusqu’à l’arrêt complet sur la piste. Les pauvres contrôleurs aériens doivent maintenant appliquer le plan B pour réorganiser le trafic aérien autour de l’aéroport, la piste principale étant temporairement bloquée.

Le hangar d'entretien à l'aéroport virtuel Stockholm-Bromma.
Le hangar d’entretien à l’aéroport virtuel Stockholm-Bromma.

Heureusement, la compagnie Beechcraft offre le service d’entretien sur l’aéroport de Stockholm-Bromma. Nous allons donc laisser l’appareil pour les réparations majeures et trouver quelque chose de plus rapide pour le prochain vol à destination de l’Ukraine. Pourquoi pas un F-14 Tomcat ? Il n’est plus en service militaire et ne devrait donc pas susciter trop d’inquiétude.

P.S. Cette histoire est basée sur un fait vécu au Québec et date de plusieurs années. Une connaissance à moi (Paul B.) devait effectuer un vol entre l’aéroport de Val-d’Or (CYVO) et celui de Rouyn-Noranda (CYUY) avec un bimoteur léger qui n’avait pas volé depuis longtemps. À mi-chemin entre CYVO et CYUY, le premier moteur est tombé en panne. Le pilote a décidé de continuer. Alors qu’il avait la piste en vue au loin, le deuxième moteur s’est arrêté. Le pilote a piloté l’appareil en vol plané et réussi à se poser sur la route 117, tout juste derrière un gros camion qui a accéléré pour laisser l’espace à l’avion qu’il voyait descendre dans son rétroviseur. L’appareil n’a subi aucun dommage !

Cliquez sur le lien pour d’autres vols autour du monde en simulation de vol sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Tour du monde en simulation de vol (6)

La sixième étape de ce tour du monde en simulation de vol se poursuit avec un voyage entre l’aéroport de Molde (ENML) et celui de Sandane/Anda (ENSD) dans le sud de la Norvège.

Prêt pour le départ de l'aéroport virtuel de Molde (ENML) vers l'aéroport virtuel de Sandane (ENSD).
Prêt pour le départ de l’aéroport virtuel de Molde (ENML) vers l’aéroport virtuel de Sandane (ENSD).

La destination ne peut accueillir un jet privé tel que le Cessna Citation Longitude, car la piste 08/26 n’est longue que de 3182 pieds. La location d’un bon vieux bimoteur léger repeint cent fois s’avère nécessaire pour le trajet, en espérant que les moteurs tiennent le coup.

En route vers l'aéroport virtuel de Sandane (ENSD) en Norvège avec Microsoft Flight Simulator.
En route vers l’aéroport virtuel de Sandane (ENSD) en Norvège avec Microsoft Flight Simulator.

Les montagnes de Norvège s’offrent à nous et l’ascension se poursuit progressivement pour être certain que les sommets les plus élevés le long de la route ne poseront pas de problèmes.

L'outil Navigraph pour la simulation de vol et la carte VFR de ENML vers ENSD.
L’outil Navigraph pour la simulation de vol et la carte VFR de ENML vers ENSD.

Ci-dessus, une vue du tableau de bord de l’appareil en montée avec une carte de la compagnie Navigraph indiquant le trajet effectué en vol visuel. La météo virtuelle est intégrée en temps réel à chaque fois qu’un nouveau bulletin météorologique est émis par une station d’observation au sol à travers le monde.

Vue des montagnes norvégiennes à partir du siège du capitaine.
Vue des montagnes norvégiennes à partir du siège du capitaine.
Soleil du matin dans les montagnes norvégiennes avec Microsoft Flight Simulator.
Soleil du matin dans les montagnes norvégiennes avec Microsoft Flight Simulator.

Une autre vue du soleil levant qui donne vie au magnifique paysage montagneux de la Norvège.

Approche pour l'aéroport virtuel de Sandane en simulation de vol.
Approche pour l’aéroport virtuel de Sandane en simulation de vol.

Nous sommes maintenant pratiquement rendus à destination. L’avion se trouve en base gauche pour la piste 08 de l’aéroport de Sandane/Alda.

Virage en finale pour la piste 08 de l'aéroport virtuel de Sandane (ENSD) in Norway.
Virage en finale pour la piste 08 de l’aéroport virtuel de Sandane (ENSD) in Norway.

Au-dessus du Innvikfjorden https://www.shutterstock.com/fr/search/innvikfjorden encore gelé, le dernier virage s’effectue pour stabiliser l’appareil en finale piste 08. En courte finale, on note une falaise immédiatement près du seuil 08 et également un léger dénivellement dont il faut tenir compte pour l’atterrissage.

Vue de l'aéroport virtuel de Sandane (ENSD) avec Microsoft Flight Simulator.
Vue de l’aéroport virtuel de Sandane (ENSD) avec Microsoft Flight Simulator.

Ci-dessus, une vue de l’aéroport virtuel de Sandane/Alda (ENSD) lorsque l’on utilise le logiciel Microsoft Flight Simulator. Il n’y a pas de marge pour l’erreur, les deux seuils de piste étant bordés par une falaise et une étendue d’eau.

L'aide au stationnement est offerte à l'aéroport virtuel de Sandane (ENSD) en Norvège.
L’aide au stationnement est offerte à l’aéroport virtuel de Sandane (ENSD) en Norvège.

Le service à l’aéroport est excellent. Deux employés attendent notre arrivée pour nous aider à stationner l’appareil.

Sandane est connue pour ses panoramas magnifiques, ses cascades, son glacier Briksdalsbreen  et ses randonnées équestres. Le village est blotti à l’intérieur des terres du Gloppe Fjord. Si vous y voyagez en été, vous devez vous préparer à des précipitations tout de même importantes.

Le prochain vol s’effectuera entre Sandane et Stockholm-Bromma (ESSB) en Suède avec un Beechcraft King Air 350I qui n’a pas volé depuis longtemps. Nous devrons survoler les hautes montagnes du Jostedalsbreen Nasjonalpark avant d’atteindre notre destination.

Cliquez sur le lien pour d’autres vols autour de monde en simulation de vol sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Tour du monde en simulation de vol (5)

Décollage de l'aéroport virtuel d'Ivalo (EFIV) dans le nord de la Finlande.
Décollage de l’aéroport virtuel d’Ivalo (EFIV) dans le nord de la Finlande.

La cinquième étape de ce tour du monde en simulation de vol se poursuit avec un voyage entre l’aéroport d’Ivalo (EFIV) en Finlande   jusqu’à l’aéroport de Molde (ENML) dans le sud de la Norvège. La lumière du jour passe difficilement à travers la couche nuageuse au moment du décollage.

En prévision du présent trajet et des vols subséquents, je me suis abonné à Navigraph de façon à rendre l’expérience encore plus immersive. La carte ci-dessous montre les choix pour les procédures d’arrivée à l’aéroport de Molde. En vert se trouvent les points de compte-rendu pour l’arrivée et en orange ceux qui concernent l’approche. L’avion suit ces points automatiquement grâce à l’ordinateur de bord.

Informations de Navigraph pour l'arrivée à l'aéroport de Molde (ENML).
Informations de Navigraph pour l’arrivée à l’aéroport de Molde (ENML).

Je n’en suis qu’à la phase de familiarisation avec Navigraph et procède encore par essais et erreurs avec l’utilisation des données. Mais cela progresse…

En route vers l'aéroport de Molde (ENML) en Norvège avec MFS2020
En route vers l’aéroport de Molde (ENML) en Norvège avec MFS2020

Une fois passée la couche de nuages, l’appareil atteint finalement le niveau de vol FL380 (38,000 pieds).

La piste de l’aéroport de Molde est d’une longueur de 2221 mètres (7287 pieds) et se trouve sur le rivage de Moldefjorden. Elle est parfaite pour le Cessna Citation Longitude, mais on doit tout de même tenir compte de la présence de montagnes en approche.

Une carte de Navigraph en superposition sur la géographie de la Norvège pour l'approche à l'aéroport de Molde (ENML).
Une carte de Navigraph en superposition sur la géographie de la Norvège pour l’approche à l’aéroport de Molde (ENML).

Les données fournies par Navigraph aident le pilote à utiliser les bonnes limites d’altitude pour conserver une hauteur sécuritaire en tout temps par rapport au relief. On peut également suivre la progression de l’appareil le long de la route choisie. Plusieurs types de cartes sont aussi disponibles pour préparer les décollages et atterrissages.

Cessna Citation Longitude en descente pour l'aéroport de Molde (ENML) en simulation de vol.
Cessna Citation Longitude en descente pour l’aéroport de Molde (ENML) en simulation de vol.

On entame la descente pour l’aéroport de Molde. La couche nuageuse est relativement mince et la visibilité ne cause pas de problèmes.

En descente pour l'aéroport de Molde (ENML) en Norvège avec Microsoft Flight Simulator.
En descente pour l’aéroport de Molde (ENML) en Norvège avec Microsoft Flight Simulator.

Le soleil couchant offre de très belles scènes au moment de la descente vers Molde.

En approche pour l'aéroport virtuel de Molde (ENML) avec le Cessna Citation Longitude.
En approche pour l’aéroport virtuel de Molde (ENML) avec le Cessna Citation Longitude.

Une fois sorti des nuages et la météo étant idéale, l’autopilote est débranché et l’approche s’effectue à vue.

En finale pour la piste 25 à l'aéroport virtuel de Molde (ENML) en simulation de vol.
En finale pour la piste 25 à l’aéroport virtuel de Molde (ENML) en simulation de vol.

Le Cessna Longitude se trouve maintenant en finale avec des vents qui ne causeront pas de problèmes pour l’approche.

Sortie de la piste 25 à l'aéroport de Molde (ENML) en Norvège.
Sortie de la piste 25 à l’aéroport de Molde (ENML) en Norvège.

Le Cessna Citation quitte la piste 25 et stationne pour quelques jours à Molde, cette ville de Norvège reconnue pour ses belles montagnes et ses nombreux parcs et jardins de roses. Cette ville a été sauvée de la famine en 1740 grâce à la présence du hareng. On retrouve donc sur les armoiries de la ville et en souvenir de cette époque une baleine qui chasse ce poisson dans un tonneau. Grâce à sa position le long des fjords et aussi à l’effet du foehn, les hivers à Molde sont relativement doux (et très doux si on les compare à ceux du Canada).

Bientôt, la sixième étape du vol aura lieu, de Molde vers Sandane (ENSD), un aéroport de Norvège entouré de superbes montagnes.

Cliquez sur le lien pour d’autres vols autour de monde en simulation de vol sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Tour du monde en simulation de vol (4)

Décollage de l'aéroport virtuel de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé avec le Cessna 700 et Microsoft Flight Simulator.
Décollage de l’aéroport virtuel de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé avec le Cessna 700 et Microsoft Flight Simulator.

La quatrième étape de ce tour du monde en simulation de vol se poursuit avec un voyage entre l’aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé   (Royaume du Danemark) et l’aéroport le plus septentrional de Finlande, celui d’Ivalo (EFIV).

Ci-dessous, un diagramme montrant le trajet d’une durée approximative de deux heures.

De l'aéroport de Vagar (EKVG) vers celui d'Ivalo (EFIV).
De l’aéroport de Vagar (EKVG) vers celui d’Ivalo (EFIV).

J’utilise Microsoft Flight Simulator pour le voyage. Les réservoirs ne sont remplis qu’à 50%, car il faut limiter le poids de l’appareil pour permettre un décollage sécuritaire sur cette piste de 5908 pieds. L’appareil nécessite au minimum 4810 pieds, auxquels il faut rajouter une forte composante de vents de travers ce matin. De plus, la piste est détrempée. En ajoutant trop de carburant, on risque de se retrouver dans la baie au bout de la piste 30.

Un Cessna Citation Longitude en route vers Ivalo (EFIV) en Finlande, en simulation de vol.
Un Cessna Citation Longitude en route vers Ivalo (EFIV) en Finlande, en simulation de vol.

Le Cessna Longitude virtuel se trouve maintenant à son altitude de croisière prévue. D’épais nuages couvrent les côtes de la Norvège, mais la météo est beaucoup plus favorable dans le nord de la Finlande où se trouve notre destination.

Le Cessna 700 virtuel entame sa descente pour l'aéroport de Ivalo (EFIV) en Finlande.
Le Cessna 700 virtuel entame sa descente pour l’aéroport de Ivalo (EFIV) en Finlande.

Après avoir attendu au maximum avant d’entamer la descente, de façon à économiser l’essence restante, il est temps de descendre dans la couche nuageuse pour l’approche vers Ivalo.

Un Cessna Citation Longitude au-dessus des terres gelées du nord de la Finlande.
Un Cessna Citation Longitude au-dessus des terres gelées du nord de la Finlande.

En descente pour l’aéroport, l’appareil traverse plusieurs couches de nuages. Le territoire encore gelé de la Finlande au mois de mars est bien visible.

Approche visuelle pour l'aéroport d'Ivalo (EFIV) en Finlande.
Approche visuelle pour l’aéroport d’Ivalo (EFIV) en Finlande.

On doit attendre au dernier moment pour sortir le train d’atterrissage et les volets pour maximiser l’économie de carburant. Près de l’aéroport, j’ai droit a un magnifique spectacle au moment où le soleil arrive sur l’horizon.

Longue finale pour la piste 22 de l'aéroport virtuel de Ivalo (EFIV) en Finlande.
Longue finale pour la piste 22 de l’aéroport virtuel de Ivalo (EFIV) en Finlande.

Train d’atterrissage sorti. Les volets suivent sous peu. Une alarme vient de s’allumer dans le poste de pilotage pour indiquer un faible niveau de carburant dans les réservoirs. Mais il en reste tout de même autour 350 livres pour chaque moteur. En approche finale, la vue est superbe.

Cessna Citation en courte finale pour la piste 22 de l'aéroport virtuel de Ivalo (EFIV) en Finlande.
Cessna Citation en courte finale pour la piste 22 de l’aéroport virtuel de Ivalo (EFIV) en Finlande.

Les vents soufflent du 220 degrés à 7 noeuds, directement dans l’axe de la piste 22. Cette dernière est d’une longueur de 8199 x 148 pieds. Les volets sont sortis et l’approche s’effectue en douceur.

Ivalo, l'aéroport le plus septentrional de Finlande, avec Microsoft Flight Simulator.
Ivalo, l’aéroport le plus septentrional de Finlande, avec Microsoft Flight Simulator.

Bienvenue en Laponie! L’aéroport d’Ivalo (EFIV) était en 2024 le neuvième aéroport pour ce qui est du trafic de passagers en Finlande. La région attire les touristes amateurs de sports d’hiver mais aussi ceux qui sont désireux d’observer les aurores boréales.

Cliquez sur le lien pour d’autres vols autour de monde en simulation de vol sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Tour du monde en simulation de vol (3)

Décollage de l'aéroport virtuel d'Isafjordur (BIIS) en Islande avec Microsoft Flight Simulator.
Décollage de l’aéroport virtuel d’Isafjordur (BIIS) en Islande avec Microsoft Flight Simulator.

La troisième étape du vol autour du monde en simulation de vol commence par un départ d’Isafjordur (BIIS) en Islande et se termine à l’aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé, cet archipel autonome qui appartient au Royaume du Danemark.

Le départ d’Isafjordur s’effectue face à une montagne. On voit d’ailleurs l’ombrage au sol. Mais la visibilité étant parfaite, cela ne cause aucun problème, en autant que le taux de montée est suffisant.

Vol virtuel BIIS EGVK
Vol virtuel BIIS EGVK
Le Cessna Citation Longitude au décollage de l'aéroport d'Isafjordur (BIIS) en Islande avec Microsoft Flight Simulator.
Le Cessna Citation Longitude au décollage de l’aéroport d’Isafjordur (BIIS) en Islande avec Microsoft Flight Simulator.

Un virage à gauche au-dessus du superbe relief de l’Islande permet d’établir le Cessna Citation Longitude sur la trajectoire vers les îles Féroé. Le FMS assure que l’appareil demeurera sur sa trajectoire. Mais il faut tout de même demeurer vigilant : il y a bien d’autres équipements qui peuvent occasionner des surprises en cours de route.

Le Cessna Citation Longitude en montée au-dessus de l'Islande.
Le Cessna Citation Longitude en montée au-dessus de l’Islande.

La montée se continue au-dessus d’un magnifique paysage. Il n’y a aucune turbulence aujourd’hui; s’il y en avait, le simulateur de vol s’assurerait que l’avion soit plus difficile à contrôler, même pour le pilote automatique. J’ai réglé le vol virtuel pour observer le trafic aérien réel lors du vol, mais le trajet entre l’Islande et les îles Féroé se trouve en dehors des routes les plus populaires et il est donc normal de ne pas rencontrer trop d’appareils en route.

Le Cessna Citation Longitude se dirige vers l'aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé.
Le Cessna Citation Longitude se dirige vers l’aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé.

Nous sommes maintenant établis à notre altitude de croisière et quittons la frontière Est de l’Islande pour survoler l’océan Atlantique.

Approche visuelle pour la piste 12 de l'aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé
Approche visuelle pour la piste 12 de l’aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé

On débranche le pilote automatique pour avoir les coudées franches lors de l’approche à l’aéroport visuelle à Vagar (EKVG). On peut voir au loin, droit devant, un petit point blanc que constituent les lumières de la piste 12.  Le train d’atterrissage est sorti, les volets également, et la vitesse stabilisée autour de 140 nœuds pour l’instant.

Le Cessna Citation est en longue finale pour la piste 12 de l'aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé
Le Cessna Citation est en longue finale pour la piste 12 de l’aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé

Il s’agit d’une heure idéale pour arriver aux îles Féroé, avec ce soleil couchant qui colore tous les nuages environnants.

Le Citation Longitude en approche pour la piste 12 de l'aéroport de Vagar (EKVG)
Le Citation Longitude en approche pour la piste 12 de l’aéroport de Vagar (EKVG)

La piste 12 est visible à l’extrême-droite dans la photo ci-dessus. Le couvert nuageux inégal bloque parfois pour quelques secondes la vue sur l’aéroport, mais le vent chasse rapidement les nuages et permet d’éviter une approche manquée. La météo virtuelle assure un renouvellement constant des conditions météorologiques.

Le Cessna Citation sort de la piste 12 de l'aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé avec Microsoft Flight Simulator
Le Cessna Citation sort de la piste 12 de l’aéroport de Vagar (EKVG) dans les îles Féroé avec Microsoft Flight Simulator

L’atterrissage se fait sans problèmes, la piste de Vagar étant suffisamment longue (5902 x 98 pieds) pour accommoder un tel jet privé.

Environ 53,000 personnes habitaient dans les îles Féroé en date de 2021. Une des activités les plus appréciées est l’observation des oiseaux et de la flore. Pour faciliter le déplacement des résidents et des touristes, des tunnels ont été construits entre certaines des 18 îles de l’archipel.

La quatrième étape autour du monde en vol virtuel se fera entre Vagar et Ivalo (EFIV) en Finlande. Il s’agit de l’aéroport le plus septentrional de ce pays.

Cliquez sur le lien pour d’autres vols autour du monde en simulation de vol sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Tour du monde en simulation de vol (1)

Le F-14 Tomcat au travail au-dessus de la mer.
Le F-14 Tomcat au travail au-dessus de la mer.

La simulation de vol avec Microsoft Flight Simulator permet de survoler la planète comme jamais à partir de chez soi. Étant donné qu’à chaque instant à travers le monde les aéroports transmettent des observations météorologiques, on peut importer ces données dans le simulateur et progresser virtuellement dans les conditions météo réelles rapportées autour du globe.

Ces données améliorent la sensation de réalité pour le pilote virtuel, mais compliquent du même coup la tâche de ce dernier, car il doit tenir compte de la présence d’orages et de givrage, des vents en surface et en altitude, des changements de couvert nuageux, de visibilité, de pression, etc.

Le pilote virtuel d’aujourd’hui, s’il possède un aéronef virtuel de grande qualité, doit également prévoir que des pannes de tous genres puissent affecter le vol. Le ou les moteurs peuvent tomber en panne, un problème structurel peut affecter les commandes de l’avion, les équipements de navigation peuvent cesser de fonctionner. Une bonne planification devient nécessaire, comme dans la vraie vie. Et comme le cerveau ne fait pas trop de différence entre le réel et le virtuel, le plaisir est au rendez-vous.

J’ai donc décidé de faire le tour du monde en millionnaire et à mon rythme, c’est-à-dire que j’utilise les types d’avions qui me tentent et je vole sur les trajets qui présentent un intérêt particulier. Le tout se fera en météo réelle, avec les joies et les obstacles qu’elle présente. Je publierai à l’occasion un de ces trajets sur mon blogue.

Le trajet initial s’effectue avec un départ de l’aéroport de Jean-Lesage de Québec (CYQB) passe par Goose Bay (CYYR), dans la province de Terre-Neuve et Labrador au Canada, monte ensuite vers Kuujjuaq et se termine à Iqaluit (CYFB).

Le vol virtuel 2 présentera quelques photos de la traversée de l’Atlantique en passant par le Groënland via Kangerlussuaq (BGSF) et l’Islande via Isafjordur (BIIS).

L’aéroport de Isafjordur est considéré extrême pour son approche exigeante. Je ne sais pas si le Cessna Citation Longitude pourra y atterrir en un morceau, mais je compte bien essayer.

Vol virtuel 1

Vols virtuel CYQB CYYR CYVP CYFB
Vols virtuel CYQB CYYR CYVP CYFB
En route de l'aéroport de Québec (CYQB) et Goose Bay (CYYR).
En route de l’aéroport de Québec (CYQB) et Goose Bay (CYYR).

Ci-dessus, le soleil couchant éclaire les nuages et le Cessna Citation Longitude au décollage de Québec vers Goose Bay. À haute altitude, le pilote règle l’altimètre sur la pression atmosphérique standard, soit 29,92 pouces de mercure. Étant donné que tous les autres pilotes font de même, on s’assure d’une séparation sécuritaire entre les appareils.

En approche pour l'aéroport de Kuujjuaq (CYVP) au Québec.
En approche pour l’aéroport de Kuujjuaq (CYVP) au Québec.

Le lendemain, l’avion approche de Kuujjuaq (CYVP) au Nunavik. L’altimètre a été réglé à la pression atmosphérique de l’aéroport pour refléter une bonne hauteur des pistes d’atterrissage par rapport à l’avion. Près de l’aéroport, on débranche le pilote automatique et l’approche se fait manuellement et à vue. La vitesse désirée se situe autour de 135 nœuds pour la finale.

Départ de Kuujjuaq (CYVP) vers Iqaluit (CYFB).
Départ de Kuujjuaq (CYVP) vers Iqaluit (CYFB).

Ci-dessus, le jet décolle de Kuujjuaq en direction d’Iqaluit (CYFB) sur l’île de Baffin au Nunavut.

En route vers l'aéroport d'Iqaluit (CYFB)
En route vers l’aéroport d’Iqaluit (CYFB)

Le soleil couchant éclaire les hublots de l’appareil. Nous approchons Iqaluit. La descente se fait graduellement pour ne pas susciter d’inconfort aux passagers virtuels…

En finale pour la piste 34 de l'aéroport d'Iqaluit (CYFB)
En finale pour la piste 34 de l’aéroport d’Iqaluit (CYFB)

Ci-dessus, l’aéronef se trouve en finale pour la piste 34 d’Iqaluit (CYFB).

La tour de la station d'information de vol (FSS) de Iqaluit (CYFB)
La tour de la station d’information de vol (FSS) de Iqaluit (CYFB)

La première étape de vol virtuel autour du monde se termine à Iqaluit, cet aéroport où j’ai travaillé pendant deux ans et demi à titre de spécialiste en information de vol (FSS) dans la tour jaune visible à gauche sur la photo.

Des spécialistes en information de vol au travail à la station FSS d'Iqaluit en 1989
Des spécialistes en information de vol au travail à la station FSS d’Iqaluit en 1989

Ci-dessus, une photo de l’intérieur de la station d’information de vol à l’époque. Un FSS travaillait sur les arrivées et départs à l’aéroport alors que l’autre s’occupait des vols transatlantiques entre l’Europe et principalement l’ouest des États-Unis.

Cliquez sur le lien pour d’autres vols autour du monde en simulation de vol sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Atterrissages courts en simulation de vol sous MSFS 2020.

En approche pour l'Île d'Orléans
En approche pour l’Île d’Orléans

Le vol d’aujourd’hui consiste en deux atterrissages courts virtuels en utilisant le simulateur de vol MSFS 2020 (ou comme certains le nomment, FS2020). Nous nous poserons sur l’Île d’Orléans et sur le Parc des Champs-de-Bataille à Québec, en plein centre-ville.

Tout d’abord, j’admets que les vitres du Cessna C-170B sont sales. Pour plus de réalisme, le concepteur Carenado a laissé un peu de saleté ici et là pour montrer l’usure de l’appareil vieux de plusieurs décennies.

La photo ci-dessus montre l’Île d’Orléans vue du Cessna. Comme il n’y a pas de piste d’atterrissage mais un club de golf dans le secteur, nous allons utiliser les allées dégagées pour poser l’appareil. S’il y a un golfeur sur le terrain, j’ouvrirai la fenêtre et crierai, comme c’est l’usage, « Fore »!! (Falling Object Returning to Earth).

En finale pour l'Île d'Orléans
En finale pour l’Île d’Orléans

Nous sommes confortablement installés en finale pour la petite portion de terrain dégagé droit devant. Avec 40 degrés de volet, la vitesse de décrochage est particulièrement basse et l’atterrissage devrait se faire sans trop de problèmes.

Sur l'Île d'Orléans prêt pour le décollage
Sur l’Île d’Orléans prêt pour le décollage

Bien que l’espace dégagé ne soit pas bien large, la longueur disponible s’est avérée suffisante pour l’atterrissage, le roulage au sol et la manœuvre pour virer l’avion de 180 degrés pour son décollage vers Québec.

Décollage de l'Île d'Orléans avec un Cessna 170B
Décollage de l’Île d’Orléans avec un Cessna 170B

De retour en vol, direction Québec. Le décollage sur terrain mou nécessite environ 20 degrés de volet.

En route vers la ville de Québec
En route vers la ville de Québec

La ville de Québec est en vue. Dans le Cessna C-170B que j’ai piloté en 1981 à travers le Canada jusqu’à Edmonton, Alberta, il n’y avait pas d’aide à la navigation moderne installée à bord comme c’est le cas dans la photo ci-dessus, où le GPS aide le pilote à trouver son chemin. Le vol avait été effectué au moyen de 14 cartes VFR, sans plus. (Si cela vous intéresse, cliquez pour en savoir plus sur les histoires vécues de pilotage).

Hôtel le Concorde et son restaurant tournant, visible à droite
Hôtel le Concorde et son restaurant tournant, visible à droite

Nous sommes au-dessus des Plaines d’Abraham. Sur la photo ci-dessus, à droite, vous apercevez l’Hôtel le Concorde et son restaurant tournant. Nous allons possiblement perturber l’atmosphère tranquille du repas au moment de notre passage…

Le MNBAQ et le Parc des Champs-de-Bataille en vue
Le MNBAQ et le Parc des Champs-de-Bataille en vue

Ci-dessus, droit devant, les bâtiments gris représentent une portion du Musée National des Beaux-Arts de Québec (MNBAQ). Un peu plus loin se trouve le terrain dégagé du Parc des Champs-de-Bataille. En 1928, un an après sa traversée de l’Atlantique en solitaire, Lindbergh y atterrit. Il transportait un sérum pour tenter de sauver la vie de son ami Floyd Bennett.

Pouvons-nous aujourd’hui nous poser sur le Parc des Champs-de-Bataille, en plein cœur de la ville de Québec? Bien sûr que non. Mais c’est la beauté de la simulation de vol; on fait ce que l’on veut!

Cessna 170B sur le Parc des Champs-de-Bataille à Québec
Cessna 170B sur le Parc des Champs-de-Bataille à Québec

Une fois posé, on laisse l’avion décélérer graduellement puis on le retourne de 180 degrés pour le prochain décollage. Quand les vents sont faibles, il n’est pas nécessaire de se préoccuper de la direction du décollage.

Vue aérienne du Parc des Champs-de-Bataille de Québec avec le Cessna 170B sous MSFS 2020
Vue aérienne du Parc des Champs-de-Bataille de Québec avec le Cessna 170B sous MSFS 2020

Ci-dessus, une vue aérienne du Parc des Champs-de-Bataille, avec le Cessna C-170B virtuel prêt pour redécoller.

Vue partielle de la Ville de Québec en simulation de vol avec MSFS 2020
Vue partielle de la Ville de Québec en simulation de vol avec MSFS 2020

Une dernière photo, cette fois-ci avec quelques bâtiments supplémentaires. Le réalisme de la scène virtuelle avec FS2020 est tout de même étonnant!

J’espère que vous avez apprécié ces deux petits vols. N’hésitez pas à tenter les mêmes expériences, si le cœur vous en dit!

Vous pouvez cliquer sur le lien suivant pour d’autres vol virtuels exigeants sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Vol virtuel avec le simulateur de vol MSFS 2020.

Au décollage de la Rivière des Mille-Îles près de Marina Venise
Au décollage de la Rivière des Mille-Îles près de Marina Venise

Le vol d’aujourd’hui fait partie de la catégorie des vols virtuels standards de mon blogue. Le décollage s’effectue sur la Rivière des Mille-Îles au Québec. Il y aura un posé-décollé à Mirabel (CYMX) pour ensuite survoler le Québec et l’Ontario à destination de l’hydrobase de Cascades (CTY3).

En direction de l'aéroport international de Mirabel (CYMX) avec MSFS 2020
En direction de l’aéroport international de Mirabel (CYMX) avec MSFS 2020

En vol à basse altitude en direction de l’aéroport de Mirabel , pour un posé-décollé.

La piste de Mirabel (CYMX) est en vue
La piste de Mirabel (CYMX) est en vue

On aperçoit une des pistes de CYMX droit devant. Si un pilote virtuel ne la trouve pas assez longue pour effectuer son posé-décollé, c’est qu’un recyclage s’impose.

Posé-décollé effectué à l'aéroport de Mirabel au moyen du simulateur de vol MSFS 2020
Posé-décollé effectué à l’aéroport de Mirabel au moyen du simulateur de vol MSFS 2020

Décollage de Mirabel. C’est l’intérêt d’un avion amphibie; on peut se poser partout.

La météo virtuelle montre bien la différence entre la neige au nord et la végétation verte au sud.
La météo virtuelle montre bien la différence entre la neige au nord et la végétation verte au sud.

Par le travers de l’aéroport de Lachute (CSE4) (bâtiments en rouge au premier plan). Voler en avril au Québec permet de noter la démarcation entre les paysages encore blancs (la neige persiste) au nord et les terrains où tout a déjà fondu.

Au-dessus de Hawksbury en Ontario avec le simulateur de vol MSFS 2020
Au-dessus de Hawksbury en Ontario avec le simulateur de vol MSFS 2020

Le vol se poursuit vers l’hydrobase de Cascades (CTY3). La Rivière des Outaouais sépare le Québec de l’Ontario. L’appareil se trouve actuellement au-dessus de la ville de Hawksbury en Ontario, avec à gauche Hamilton Island.

Réalisme de la simulation de vol sous MSFS 2020
Réalisme de la simulation de vol sous MSFS 2020

La capture d’écran ci-dessus montre l’effet très réaliste du paysage virtuel, que ce soit au niveau de la météo virtuelle, des multiples tons de couleurs du sol et des ombrages sur le sol et sur l’avion causés par les éclaircies entre les nuages.

Survol du parc national de Plaisance au Québec avec MSFS 2020
Survol du parc national de Plaisance au Québec avec MSFS 2020

Au-dessus du Parc national de Plaisance , une propriété québécoise.

La visibilité diminue légèrement près de Gatineau (CYND)
La visibilité diminue légèrement près de Gatineau (CYND)

En descente pour 1500 pieds. Près de Gatineau, les conditions se détériorent légèrement. Mais ce sera de courte durée.

En virage pour la rivière Gatineau avec le simulateur de vol MSFS 2020
En virage pour la rivière Gatineau avec le simulateur de vol MSFS 2020

Virage à droite pour un amerrissage sur la rivière Gatineau. La destination est en vue.

Amerrissage sur la rivière Gatineau pour l'hydrobase de Wakefield (CTY3)
Amerrissage sur la rivière Gatineau pour l’hydrobase de Wakefield (CTY3)

L’avion progresse lentement vers l’hydrobase.

Hydrobase de Wakefield (CTY3) en vue aérienne avec MSFS 2020
Hydrobase de Wakefield (CTY3) en vue aérienne avec MSFS 2020

Il n’y a pas encore d’hydrobase virtuelle digne de ce nom pour Cascades sous Microsoft. À basse altitude, le pilote note qu’il ne survole qu’une photo avec des empreintes d’aéronefs. Une vue aérienne montre mieux l’emplacement et la localisation de l’hydrobase CTY3.

Bon vol à ceux qui désirent répéter l’expérience. Le trajet s’effectue sans difficulté et demeure intéressant tout au long du parcours.

Cliquez pour d’autres vols virtuels standards sur mon blogue.

Catégories
Simulation de vol

Vol virtuel autour de Key West avec MSFS 2020.

L'aéroport virtuel de Key West (KEYW) par FSDreamteam pour le simulateur de vol MSFS 2020.
L’aéroport virtuel de Key West (KEYW) par FSDreamteam pour le simulateur de vol MSFS 2020.

Voici l’aéroport de Key West (KEYW) en Floride, tel que reproduit pour la simulation de vol par FSDreamteam pour le simulateur de vol Microsoft MSFS 2020.

Il y a un avantage certain à acquérir cet aéroport virtuel plutôt que d’utiliser celui de MSFS 2020. En effet, l’aéroport KEYW de FSDreamteam ne vient pas seul : la compagnie offre en accompagnement et pour le même prix deux autres sites: Fort Jefferson et le phare de Loggerhead.

Un petit vol virtuel avec un Cessna C-172 sur flotteurs permet de survoler ces sites et d’amerrir lorsque cela semble approprié.

Au décollage de Key West KEYW avec le simulateur de vol MSFS 2020.
Au décollage de Key West KEYW avec le simulateur de vol MSFS 2020.

Le décollage de Key West s’effectue sous une météo idéale.

Une partie du Wildlife National Refuge de Key West aux États-Unis avec MSFS 2020.
Une partie du Wildlife National Refuge de Key West aux États-Unis avec MSFS 2020.

Peu de temps après le décollage et établis à 3000 pieds d’altitude, nous survolons le refuge faunique national de Key West.

En descente pour Fort Jefferson avec MSFS 2020
En descente pour Fort Jefferson avec MSFS 2020

Le Garmin G-1000 permet un vol stable pendant les captures d’écran.

Survol de Fort Jefferson à Key West avec MSFS 2020.
Survol de Fort Jefferson à Key West avec MSFS 2020.

Voici le Fort Jefferson photographié alors que le Cessna vole à environ 1500 pieds ASL. Les vents ont augmenté légèrement et de l’écume devient visible sur les vagues.

Survol du phare de Loggerhead à Key West en utilisant le simulateur de vol MSFS 2020.
Survol du phare de Loggerhead à Key West en utilisant le simulateur de vol MSFS 2020.

Un peu plus loin sur la route de vol se trouve le phare de Loggerhead. La plage est belle et en pente douce. Il sera donc possible d’amerrir, de sortir le train d’atterrissage une fois dans l’eau, et de se stationner sur la plage.

Amerrissage près de Loggerhead Lighthouse à Key West, avec MSFS 2020.
Amerrissage près de Loggerhead Lighthouse à Key West, avec MSFS 2020.

L’amerrissage se fait sans trop de difficulté.

Sur la plage avec le phare de Loggerhead en Floride, avec le simulateur de vol MSFS 2020.
Sur la plage avec le phare de Loggerhead en Floride, avec le simulateur de vol MSFS 2020.

Avec un peu de puissance du moteur, il est possible de sortir de l’eau et de se stationner sur la plage pour quelque temps. Après avoir éteint le moteur, le simulateur de vol MSFS 2020 permet au pilote d’écouter le bruit des vagues et du vent de façon réaliste. S’il y a des oiseaux dans les environs, il sera également possible de les entendre.

Pour ceux qui veulent répéter l’expérience, il ne s’agit que de programmer le point de départ dans MSFS 2020 comme étant KEYW et la destination KYW1 (Fort Jefferson). Une fois par le travers de Fort Jefferson, continuez tout droit pour quelques minutes et vous arrivez au phare de Loggerhead. Prenez quelques instants pour relaxer et écouter les vagues avant de redécoller…!

Cliquez sur le lien pour d’autres vols virtuels standards sur mon blogue utilisant soit MSFS 2020 ou FSX.