Ci-dessous se trouvent quelques captures d’écran prises durant des vols virtuels avec Microsoft Flight Simulator 2020 (MFS 2020).
Le Mont St-Michel est une addition très intéressante à la scène virtuelle de la France sous MFS 2020. On retrouve de tels sites à plusieurs endroits dans le simulateur de vol de Microsoft, mais plusieurs sont également disponibles gratuitement à travers la communauté des amateurs de simulation de vol. Elles peuvent être téléchargées et installées dans MFS 2020, ce qui permet d’améliorer l’expérience globale.
La brume sèche est bien présente dans la région de Los Angeles et ajoute au réalisme de la scène virtuelle ci-dessous. La peinture FedEx sur le TBM 930 provient du site Liveries Mega Pack Manager.
Dans la capture d’écran ci-dessus, l’Icon A5 Kingfisher est en vol le long de la côte de Puerto Vallarta au Mexique. La scène virtuelle a été passablement améliorée par John Lovell et est disponible gratuitement sous Flightsim.to. Vous devrez cependant réserver un espace de 5 GIG sur le disque dur!
La photo ci-dessus montre une petite partie de l’aéroport virtuel Burbank Bob Hope (KBUR) qui a été modélisé par Orbx. La capture d’écran a été prise au moyen du drone X-Box. Ce drone est une superbe addition aux outils maintenant disponibles pour les amateurs de simulation de vol quand vient le temps de conserver des souvenirs d’un vol.
En route vers Iqaluit (CYFB), le jet dans la photo ci-dessus vient de sortir des nuages et du givre blanc est encore visible sur le nez et les bords d’attaque des ailes de l’avion. Ce soir-là, il y avait un sigmet rapportant de la turbulence à haut niveau et c’est exactement ce que j’ai expérimenté durant le vol en utilisant REX Weather Force 2020 comme moteur météo.
Le Covid-19 qui oblige les gens à ne pas trop se déplacer n’empêche tout de même pas d’effectuer des vols virtuels. Pourquoi ne pas en profiter pour faire un détour par la Californie et visiter la région. La météo téléchargée en mode réel permet d’espérer du très beau temps pour le voyage qui vient.
Le vol prévoit un départ de l’aéroport de Weed en direction de Mount Shasta, pour ensuite poursuivre vers le barrage de Shasta et atterrir à Redding. Un trait rouge sur la carte ci-dessous indique le trajet prévu.
La région est passablement montagneuse, comme la carte ci-dessous l’indique.
Mount Shasta est impressionnant et très bien rendu en virtuel.
D’un côté il y a passablement de neige, et de l’autre pratiquement rien.
Aujourd’hui, entre Mount Shasta et le barrage, il faut prévoir un cap de 180 degrés. Une correction de 10 degrés est nécessaire à cause des vents d’ouest de 20 nœuds. À 12,000 pieds, le cap corrigé est à 190 degrés. Les vents étant moins forts à 9000 pieds, un cap de 185 degrés est suffisant. Il y a de la turbulence en air clair (CAT) au moment de quitter Shasta. L’avion gagne 500 pieds en quelques secondes.
Le barrage de Shasta en virtuel. J’ai ajouté une photo du vrai barrage à titre de comparaison. Le site You Tube signale que les visites du barrage sont interdites pour l’instant à cause du COVID-19.
Une vue réelle de Shasta Dam.
Au-dessus de Redding, en route pour l’aéroport. Il faut surveiller la température des cylindres lors de la descente pour éviter un refroidissement trop rapide.
L’ordinateur doit fournir les données de la météo en temps réel, les données de la scène ORBX Redding et les exigences du Bonanza BE-35 ACCU-SIM virtuel de la compagnie A2A. La simulation de vol avec le vieux logiciel FSX montre ses limites!
Une autre vue de la végétation différente près de l’aéroport. Le vol lent augmente la consommation de carburant mais une vitesse plus raisonnable augmente la qualité de l’expérience.
En finale pour l’aéroport de Redding.
Les terres cultivées sont visibles jusqu’en courte finale.
Il y a beaucoup d’avions servant à la lutte contre les feux de forêt à Redding. Ils sont très bien modélisés par la compagnie ORBX.
Il est temps de stationner pour le reste de la journée. Près du hangar d’Air Shasta devrait faire l’affaire.
Moteur arrêté, plein de carburant effectué. Il sera intéressant de passer par Gansner Field pour le prochain vol. Mais tout dépendra de la météo du moment.
Pour plus de vols virtuels et captures d’écran sur mon site web : simulation de vol.
J’ai révisé et édité ma liste des aéroports Orbx gratuits et payants, avec la description des pistes et l’élévation de l’aéroport. La liste inclut la grande majorité des aéroports qui ont été créés en date du 27 mars 2020.
J’ai ajouté plusieurs aéroports en me basant sur ce que la compagnie Orbx a produit depuis l’année dernière dans la section « OrbxDirect Release Announcements ». J’ai également corrigé quelques erreurs qui s’étaient glissées dans la liste. Chaque nouvel aéroport virtuel pour X-Plane, P3DV4, AFS2 et FSX a été ajouté à la liste.
Les aéroports payants viennent souvent avec un ou
plusieurs aéroports secondaires inclus lors de l’achat. J’ai révisé plusieurs
de ces aéroports et ajouté les aéroports secondaires qui manquaient dans
l’édition précédente de la liste, avec les données sur les pistes et
l’élévation de chaque aéroport.
J’utilise la liste pour planifier mes vols virtuels et trouver des situations présentant des défis potentiels. La liste n’est pas parfaite, mais certainement suffisamment précise pour être utile à la plupart des amateurs de simulation de vol.
Vous avez accès à un fichier PDF téléchargeable gratuit sur mon site web. Vous n’avez qu’à cliquer sur le lien sécurisé ci-dessous :
L’édition complète de la liste des aéroports virtuels Orbx gratuits et payants, en date du 9 juin 2019, se trouve dans le lien PDF téléchargeable ci-dessous (en vert). La liste des aéroports comprend également les détails pour les pistes et l’élévation de l’aéroport. La liste sera mise à jour régulièrement.
Les informations contenues dans les fichiers sont en couleur. Les aéroports en noir proviennent des Global Freeware Pack. Les aéroports en vert sont également gratuits, mais ne font pas partie des Global Freeware Pack. Les aéroports en bleu sont payants.
Quand une piste est de couleur orange, c’est qu’elle est de 2000 pieds ou moins et/ou que sa largeur est de 60 pieds ou moins. Les hydroaérodromes ont la mention « water » en bleu. À la fin de chaque description des pistes se trouve l’élévation de l’aéroport. Elle est en rouge.
La quatrième édition de la liste des aéroports virtuels Orbx gratuits et payants en date du 2 juin 2019 se trouve dans le lien PDF téléchargeable ci-dessous. La liste des aéroports est complète, mais je complète actuellement les détails reliés aux pistes de chaque aéroport.
Les informations contenues dans les fichiers sont en couleur. Les aéroports en noir proviennent des Global Freeware Pack. Les aéroports en vert sont également gratuits, mais ne font pas partie des Global Freeware Pack. Les aéroports en bleu sont payants.
Quand une piste est de couleur orange, c’est qu’elle est de 2000 pieds ou moins et/ou que sa largeur est de 60 pieds ou moins. Les hydroaérodromes ont la mention « water » en bleu. À la fin de chaque description des pistes se trouve l’élévation de l’aéroport. Elle est en rouge.
La troisième édition de la liste des aéroports Orbx gratuits et payants en date du 26 mai 2019 se trouve dans le lien PDF téléchargeable ci-dessous. La liste n’est pas encore complète, mais elle avance bien.
Les informations contenues dans les fichiers sont en couleur. Les aéroports en noir proviennent des Global Freeware Pack. Les aéroports en vert sont également gratuits, mais ne font pas partie des Global Freeware Pack. Les aéroports en bleu sont payants.
Quand une piste est de couleur orange, c’est qu’elle est de 2000 pieds ou moins et/ou que sa largeur est de 60 pieds ou moins. Les hydroaérodromes ont la mention « water » en bleu. À la fin de chaque description des pistes se trouve l’élévation de l’aéroport. Elle est en rouge.
La seconde édition de ma liste des aéroports virtuels Orbx gratuits et payants en date du 19 mai 2019 se trouve dans le lien PDF téléchargeable ci-dessous. La liste n’est pas encore complète.
Les informations contenues dans les fichiers sont en couleur. Les aéroports en noir proviennent des Global Freeware Pack. Les aéroports en vert sont également gratuits, mais ne font pas partie des Global Freeware Pack. Les aéroports en bleu sont payants.
Quand une piste est de couleur orange, c’est qu’elle est de 2000 pieds ou moins et/ou que sa largeur est de 60 pieds ou moins. Les hydroaérodromes ont la mention « water » en bleu. À la fin de chaque description des pistes se trouve l’élévation de l’aéroport. Elle est en rouge.
Les scènes virtuelles utilisées ci-dessous lors d’exercices de simulation de vol sont toutes disponibles en ligne, pour achat ou gratuitement, chez ORBX.
Dans la scène ci-dessus, le Piper Pacer, conçu par la compagnie Lionheart Creations Ltd, arrive au quai de Robert’s Lake, au Canada. Ce lac a été modélisé en conjonction avec la scène virtuelle Parry Sound (CNK4).
Dans la photo ci-dessus, un Cessna C188B Agtruck virtuel, créé par la compagnie Alabeo, est stationné non loin de l’aéroport de Claresholm Industrial Park (CEJ4), au Canada. L’aéroport virtuel est disponible via un téléchargement gratuit chez ORBX. Qui a dit que dans la vie, rien n’est gratuit?!
Ci-haut, un hélicoptère virtuel UH-60L Black Hawk, créé par la compagnie Cerasim, survole un territoire de la Papouasie Nouvelle-Guinée. Il aurait normalement dû se trouver au-dessus de la Colombie, mais la compagnie Orbx n’a pas encore développé d’aéroports très définis pour ce pays. Il est donc plus intéressant d’effectuer des vols là où un travail de modélisation plus important a été effectué.
Les trois captures d’écran ont été légèrement améliorées numériquement suite à chacun des vols virtuels. En effet, la plateforme de simulation de vol FSX , bien que toujours très intéressante, est aujourd’hui un peu vieillissante. Les captures d’écran d’origine bénéficient donc souvent d’un léger traitement numérique ultérieur, spécialement lorsque vient le temps de présenter l’image pour le concours mensuel international de la compagnie ORBX.
Tout est maintenant prêt! Le premier planeur est arrivé à l’aéroport de Fane Parish en Papouasie Nouvelle-Guinée …
Avant que ce soit officiellement offert en tant qu’attraction touristique pour la région, quelques essais de décollage et atterrissage doivent être effectués. Le premier essai attire quelques curieux!
La descente le long de la piste en pente de 12 degrés secoue un peu et le devant des ailes est un peu égratigné. Certains petits buissons devront être élagués!
La météo est superbe et la température très chaude. Le seul problème potentiel est la montagne droit devant.
Le pilote coupe finalement le lien. Il est libre d’explorer les environs!
Le planeur survole silencieusement la jungle de la Papouasie Nouvelle-Guinée.
Utilisant les courants d’air chaud, le planeur gagne en altitude.
Pourquoi pas un survol du village de Fane?
Et voici un autre village isolé le long de la montagne.
Un dernier virage serré pour débuter l’approche vers Fane Parish.
Les aérofreins sont sortis et la vitesse est raisonnable. La piste en pente est juste devant, sur le sommet de la montagne de droite.
Il faut conserver juste assez d’altitude pour être certain de se rendre jusqu’à la piste.
Maintenant que l’atterrissage est assuré, il est temps d’utiliser les aérofreins pour ralentir le planeur.
Étant donné que cette piste d’atterrissage en altitude a une bonne pente, il est préférable de conserver un peu de vitesse. Aucun pilote n’apprécie un décrochage à quelques pieds au-dessus de la piste.
Quelle expérience! Mais le pilote aura besoin d’aide pour remonter le planeur le long de la pente!
Le vol était superbe, la vue en valait vraiment la peine. Je pense que cette activité de planeur pourrait devenir une attraction touristique pour la région et les visiteurs plus fortunés …
La scène virtuelle est une création de Ken Hall et Tim Harris pour la compagnie ORBX.
Il n’y a pas d’aéronefs dans le ciel aux environs de l’aéroport virtuel de Port Moresby Jacksons (AYPY) aujourd’hui. Aucun aéronef sauf un, chargé d’une évacuation médicale.
Les vents soufflent du 240 degrés à 50G60 nœuds et les pistes sont orientées 14/32. Cela dépasse largement les vents de travers autorisés pour les aéronefs.
Mais l’équipage du Rockwell Shrike Commander 500S ne peut attendre que le vent se calme. Il doit atterrir dans les prochaines minutes pour espérer sauver la vie du patient.
Étant donné qu’il n’y a aucun trafic aérien autour de l’aéroport, le commandant de bord a signifié aux contrôleurs aériens son intention d’effectuer une approche sécuritaire mais qui sort de la norme établie.
Arrivant directement à travers les pistes, face au vent, l’équipage a l’intention de faire atterrir l’avion à quelques pieds d’un hangar. Le capitaine demande que quelqu’un ouvre la porte du hangar immédiatement. L’approche se terminera devant les portes du hangar, protégée du vent.
Il est plus sécuritaire d’arriver directement face au vent et d’entrer immédiatement dans le hangar. Il faut éviter de circuler avec des vents de 60 nœuds de travers.
Inutile de dire que le contrôleur aérien a refusé la demande. Le capitaine d’un avion est cependant le seul qui décide de la meilleure surface pour l’atterrissage, autant pour la sécurité des passagers que pour lui-même. Il procède avec son approche, après avoir clairement indiqué quelle trajectoire sera suivie.
Le problème principal pour l’approche est la turbulence mécanique de bas niveau causée par les vents en rafales de 60 nœuds.
Si l’ATC veut faire une plainte, le moment est arrivé : il est possible de prendre une photo de l’avion de même que de son immatriculation.
La vitesse-sol de l’avion se situe autour de 20 nœuds.
La vitesse stable des vents est actuellement plus sécuritaire que si les vents étaient du 240 à 35G60.
Toujours légèrement au-dessus de la piste et à une vitesse-sol entre 10 et 20 nœuds. L’anémomètre indique la vitesse du vent lui-même additionnée à celle de la vitesse-sol.
L’avion flotte comme une montgolfière ou presque!
Au moment où l’avion touche le sol, il arrête presqu’immédiatement. Il est même nécessaire de mettre les gaz pour atteindre le hangar, comme en témoigne les traînées blanches derrière l’appareil.
Dans la vraie vie, le touché des roues se serait fait dès que débute l’asphalte étant donné que la présence du hangar réduit un peu la vitesse du vent.
Quelques secondes après s’être posé, l’avion est dans le hangar, protégé du vent, et autant le médecin que le patient peuvent rapidement être conduits à l’hôpital.
Une fois dans le hangar, les vents virtuels sont ajustés à zéro, ce qui est logique, à moins que le mur opposé du hangar soit absent!
Il est maintenant temps de se préparer à affronter une autre tempête, celle de l’enquête qui suivra possiblement l’atterrissage!
(P.S. : Tim Harris et Ken Hall ont été les créateurs de cet aéroport virtuel de Port Moresby Jacksons. Ce dernier est vendu par Orbx et l’avion virtuel est venu par Carenado).