L’amateur de simulation de vol aura du plaisir à tenter ce court vol (14 minutes) entre l’aéroport virtuel de Eagle County (KEGE) et l’aéroport virtuel de Telluride (KTEX). Le vol virtuel, sous FSX, a été effectué durant l’hiver, plus précisément le 8 janvier (pour ceux qui voudraient répéter l’expérience). Les photos ci-dessous représentent une idée de ce qu’il est possible d’observer en route pour Telluride. Une altitude de 14,000 pieds devrait suffire….
Il y a beaucoup de belles montagnes entre KEGE et Telluride, et aussi une météo passablement imprévisible…
Le plafond prévu à Telluride était de 8500 ft. En route vers l’aéroport, les nuages et la visibilité obscurcissaient parfois les montagnes.
Telluride est un aéroport invitant pour un MD-11. La piste de 7000 pieds ne représente pas un grand défi, même si avec sa largeur de 100 pieds elle demeure un peu étroite : cet avion exige normalement une piste d’atterrissage de 150 pieds de large.
L’approche VFR virtuelle faite avec le MD-11 constituait la façon la plus dispendieuse de faire le voyage étant donné qu’elle exigeait un vol par le travers de Telluride suivi d’un virage de 270 degrés vers la droite pour un alignement piste 09.
Le virage de 270 degrés a été effectué avec un angle variant entre 10 et 20 degrés pendant que l’altitude passait de 14,000 à 10,000 pieds de façon à éviter toute manœuvre radicale. Pendant le virage et la descente, la vitesse a progressivement été réduite à 160 kts. Le MD-11 était maintenant établi en finale avec les volets réglés à 50 degrés.
La piste d’atterrissage en altitude de 9078 pieds au-dessus du niveau de la mer signifiait que le pilote devait considérer une densité de l’air plus faible et ajuster la vitesse de l’appareil en conséquence pour éviter un décrochage en finale.
Voici une vue à partir de la tour de Telluride…
Avec une vue comme celle-là, pas question d’arriver en mode IFR…!
De façon à prévenir une approche manquée et des dépenses supplémentaires en carburant (qui étaient déjà anormalement élevées), une approche optimale était requise.
La plupart des accidents impliquant un MD-11 se produisent lorsque le pilote pousse sur le manche lorsqu’il y a un rebond de la roue avant, créant ainsi un rebond supplémentaire encore plus prononcé. Lorsqu’il y a un rebond, il n’est pas nécessaire d’appuyer sur le manche : il suffit d’attendre que l’avion se stabilise et la roue de nez redescendra d’elle-même rapidement.
C’est le moment du freinage maximal et des inverseurs de poussée…
Le MD-11 peut facilement quitter la piste à la première voie de circulation à Telluride. Mais dans le but de capturer une meilleure vue de l’aéroport, j’ai utilisé la dernière voie de circulation (ajoutant encore un peu aux dépenses extravagantes en carburant)…
L’employé sur la rampe semble se demander si l’aile du MD-11 risque d’accrocher le jet d’affaires N900SS en circulant. Mais il y avait suffisamment d’espace (environ 11 pouces!).
Le MD-11 a été stationné temporairement à un endroit privilégié de l’aéroport. Il a été nécessaire de décharger rapidement le précieux cargo et dégager l’aire de ravitaillement.
De l’aide de professionnels sera requise pour aider à déplacer le MD-11 et le ramener vers la piste. Mais cela est le problème du gestionnaire de l’aéroport qui a promis d’avoir l’équipement nécessaire au moment des communications avec FedEx!
La scène virtuelle, du départ jusqu’à la destination, est une création des programmeurs de la compagnie ORBX. Le MD-11 virtuel provient de PMDG Simulations (je ne suis pas certain que l’appareil fonctionne sous P3D). Le moteur météo est conçu par REX Simulations, qui est également le fournisseur des textures de nuages, en combinaison avec Cumulus X. (Edit: le MD-11 n’est plus supporté par PMDG).
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Alex Geoff, le concepteur de l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) de ORBX a demandé aux enthousiastes de simulation de vol de tenter d’utiliser le plus gros appareil possible sur cet aéroport dont la piste ne fait que 2502 pieds.
Naturellement, il est ici question de vol virtuel. Il faut donc pardonner l’atterrissage d’un appareil qui, dans la vraie vie, détruirait la piste sans compter les nombreux arbres qu’il faudrait tailler si l’avion utilisait la voie de circulation après l’atterrissage. Et j’oubliais également les pilotes et le gérant d’aéroport qu’il faudrait renvoyer suite à l’autorisation de la manœuvre.
Le contexte du vol étant donc présenté, voici les données qui permettront aux amateurs de vol virtuel de retenter le circuit à l’aéroport de Block Island avec un C-17A de Virtavia.
Contrairement aux appareils de type Cessna qui utilisent généralement l’aéroport, la masse de mon C-17A militaire canadien était de 405,000 livres. Le carburant a été ajusté à 50% dans les réservoirs extérieurs et intérieurs. Les deux pilotes ont accepté de sauter le dîner, de façon à ne pas ajouter de poids supplémentaire à l’appareil…
Les volets étaient ajustés à 2/3. J’ai reculé l’avion jusqu’en tout début de piste, appliqué les freins, pousser la manette des gaz à fond, attendu la montée du régime maximal, relâché les freins et profité de l’effet de sol pour arracher l’appareil du sol au tout dernier moment. Le décollage s’est fait sur la piste 10 par vent de travers de 12 nœuds et avec un angle de 70 degrés par rapport à la piste.
Par la suite, quatre virages à droite successifs ont été effectués : 190°, 280°, 010° et 100°. Lors du vol, l’altitude de l’appareil n’a pas dépassé 2000 pieds.
Les roues et les pleins volets étaient sortis en base de façon à ne pas avoir à faire trop de réglages en finale.
La vitesse est éventuellement descendue à 128 nœuds et, alors que l’appareil était encore à deux pieds dans les airs, les aérofreins ont été sortis. Les inverseurs de poussée ont été activés au maximum (pression continue sur F2) juste avant de toucher le sol puisqu’ils prennent du temps à faire effet. Normalement ça ne se fait pas et vous pouvez donc activer les inverseurs directement lors du toucher au sol, vous ne perdrez qu’une seconde. Les roues du train principal ont touché le tout début de la piste et le freinage maximal a alors été engagé.
Il a été possible de sortir sur la voie de circulation sans avoir à remonter la piste. L’environnement passant encore en deuxième, quelques arbres avaient été taillés pour ne pas qu’il y ait contact avec les ailes de l’appareil.
Si vous tentez l’expérience, pensez à sauvegarder le vol lorsque vous êtes en finale, au cas où vous ne seriez pas satisfait de votre performance à l’atterrissage (avion endommagé, maisons et véhicules du voisinage détruits, incendie d’une partie de la forêt au bout de la piste 10, victimes collatérales, etc.).
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Le B-52 est une création de CaptainSim et la scène virtuelle de l’aéroport de Montréal provient de la compagnie FlyTampa, et tout le reste du paysage provient de la compagnie ORBX. Voici quelques infos de base pour ceux qui seraient tentés de faire un vol avec le B-52 immédiatement après le téléchargement. Pour le décollage: pitot heat, 100% volets baissés, YAW SAS Switch Engage, stabilisateur ajusté, plein pouvoir en-dedans de quatre secondes, montée entre 1500 et 2000 ft/min. La montée avec volets baissés se fait à 180 kts. Ajustez le pouvoir de façon à avoir suffisamment de temps pour rentrer les volets complètement (utilisez 230 kts pour zéro degré de volets). Une fois en vol, freinez pour arrêter la rotation des roues puis remontez le train d’atterrissage (cependant, ne pas le faire avant d’avoir atteint 1000 ft agl).
Pour une descente normale: (note: il faut se garder environ 20 kts de plus que la vitesse proposée lorsque l’avion est en virage). La descente se fait à 240 kts, avec aérofreins 4, train sorti, manette des gaz à zéro. À 220 kts, vous pouvez commencer à sortir les volets (prend 60 secondes pour avoir pleins volets). En vent arrière, 153 kts avec aérofreins 4 (pour 225,000 lbs). Pas de virages à plus de 30 degrés. Le roulé au sol ne doit pas excéder 133 kts.
Le touché des roues se fait à environ 110 kts IAS, avec les aérofreins entièrement déployés. Le parachute est alors sorti (jamais au-dessus de 135 kts). Il ne faut cabrer l’appareil que très légèrement. Au moment de circuler, mettre les interrupteurs de lacet et des aérofreins à « OFF ». Voilà pour les infos sommaires. En passant, lorsque le parachute est déployé, vous ne verrez pas de différence dans la distance de freinage; il n’est là que pour la réalité graphique.
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Ken Hall et Tim Harris ont créé une nouvelle scène virtuelle pour les amateurs de simulation de vol. Elle se nomme « Tapini» et est vendue par ORBX. Leur avant-dernière création, AYPY Jackson’s International, permettait aux pilotes virtuels de voler vers des aéroports virtuels très exigeants le long de la Kokoda Trail en Papouasie Nouvelle-Guinée. « Tapini » représente un tout nouveau défi et j’ai inclus plusieurs captures d’écran pour vous donner une impression générale des différentes pistes incluses dans cette nouvelle scène virtuelle.
« Tapini », toujours en Papouasie Nouvelle-Guinée, permet aux pilotes virtuels de se mesurer aux défis présentés par sept nouvelles pistes d’atterrissage dans la chaîne de montagnes Owen Stanley. Ces aéroports constituent également un sérieux test pour les aéronefs, comme dans la photo ci-dessus où des dommages au moteur droit ont été subis à Yongai.
Pour améliorer les nuages virtuels lors des voyages entre les différents aéroports, j’ai utilisé les moteurs météo REX ou FSGRW. Les textures de nuages et les effets météo ont été améliorés par un ou plusieurs des produits suivants : CumulusX, PrecipitFX, REX Texture Direct et REX Soft Clouds.
Comme il y a du plaisir dans la variété, et également dû aux défis posés par les différentes pistes, les avions virtuels suivants ont été utilisés : Carenado C-185F, Lionheart Creations PA-18, Virtavia DHC-4, Aerosoft DHC-6 Twin Otter et Milton Shupe De Havilland DHC-7.
La scène « Tapini » offre au pilote la sélection des sept pistes suivantes :
ASB (Asimba)
Une piste difficile et très courte près d’une rivière
Il s’agit d’une piste très intéressante où un avion ADAC tel que le DHC-4 Caribou est approprié. Les habitants doivent cependant offrir leur aide pour vous aider à dégager quelques branches près de la piste et qui sont susceptibles de nuire à un appareil de cette taille. La piste est en pente vers le bas pour le décollage, ce qui aide l’avion à gagner de la vitesse plus rapidement.
FNE (Fane)
Une piste en pente de 12 degrés présentant un vrai défi. Des vents imprévisibles soufflent sur cette piste à sens unique située en haut d’une colline.
La piste est située au-dessus d’une colline. Atterrir sur cette piste est une expérience vraiment intéressante : pas étonnant qu’il y ait autant de personnes surveillant les arrivées et départs.
Si vous ralentissez trop rapidement après l’atterrissage sur cette piste en pente avec un avion tel que le DHC-7, les douze degrés empêcheront l’appareil de continuer à se déplacer vers l’avant. Vous devrez alors laisser l’avion redescendre doucement la pente en utilisant le pouvoir des moteurs pour contrôler la descente. Le palonnier sera utilisé pour demeurer aligné avec la piste. Il s’agira ensuite d’appliquer de nouveau la pleine puissance pour quelques secondes, juste assez pour franchir la pente.
Pour circuler au sol et replacer le DHC-7 pour le décollage, une combinaison de pouvoir et de poussée inverse est nécessaire jusqu’à ce que tous les obstacles aient été évités (les humains s’aventurant à l’arrière de l’appareil pendant la procédure pourraient être affectés…).
Il y a un homme qui n’a pas l’air trop amical et qui tient une carabine près de la zone d’embarquement. Même le personnel des Nations-Unies n’a pas jugé bon de s’éterniser…
KGH (Yongai)
Une piste très bosselée et à sens unique. Un vrai avion de brousse est ici requis!
Même avec un très bon avion de brousse, il est possible qu’une des hélices de l’appareil touche le sol au moment de circuler sur cette piste vraiment spéciale. Il y a tellement de trous profonds et de bosses qui sont difficiles à voir que je ne peux que souhaiter bonne chance à toute personne s’aventurant sur cet aéroport!
Portez une attention particulière à la zone près de la petite maison en fin de piste. Le DHC-6 a vraiment été secoué en effectuant les manœuvres pour se repositionner pour le décollage. Une des hélices a touché le sol, mais il n’y avait pas de signes de problème sérieux… jusqu’à ce que l’avion redécolle. L’alarme de feu a retenti juste au moment où l’appareil franchissait le seuil de piste.
Il a donc fallu abandonner le voyage prévu. Et pas question de retourner à Yongai sur un moteur. J’ai tiré la manette pour éteindre le feu, mis l’hélice en drapeau et coupé l’alimentation en carburant sur le moteur droit pour ensuite me diriger vers l’aéroport de Kokoda étant donné qu’il s’agissait d’un déroutement sûr dû au fait que la piste est suffisamment longue et à une altitude beaucoup plus basse que Yongai.
KSP (Kosipe)
Une piste relativement courte qui requiert des calculs précis de la part du pilote étant donné sa haute altitude dans les montagnes.
Le Cessna C-185F est très approprié pour cette courte piste. Assurez-vous de ne pas appuyer trop fortement sur les freins à l’arrivée, car les hélices de C-185 sont difficiles à trouver à Kosipe. Vous pouvez atterrir dans les deux directions. Le mélange air/essence doit être absolument ajusté, car l’aéroport se trouve à plus de 6300 pieds.
ONB (Ononge)
Une piste courbée et très bosselée. Pour ceux qui aiment les vols en rase-mottes. Assurez-vous de choisir le bon appareil, car il n’y a pas beaucoup de place pour manœuvrer une fois au sol.
Ononge est assez impressionnant lorsqu’on se présente en finale pour la première fois. On se demande si la petite trace de terre sur le dessus de la colline peut vraiment être une piste d’atterrissage. Pour ce genre de situation, le Piper Pacer est un excellent avion : il peut approcher très lentement et s’immobilise sur une courte distance. La piste étant courbée, il est nécessaire d’utiliser un peu de palonnier pour maintenir l’avion au milieu de la piste.
J’imagine que tous ces gens avec leurs valises s’attendaient à un avion un peu plus gros…
TAP (Tapini)
Une piste exigeante à sens unique et située près d’une vallée étroite. Vous pouvez même utiliser un ILS pour vous y rendre!
Il s’agit d’une région et d’un aéroport superbement modélisés. Je l’ai visitée avec le DHC-4 Caribou, mais tout autre gros avion ADAC aurait fait l’affaire. Il y a suffisamment de place pour manœuvrer. La piste n’est pas trop bosselée. La pente est intéressante : elle débute en descendant et se termine en montant : cela aide l’aéronef à ralentir après l’atterrissage.
WTP (Woitape)
Cette piste à sens unique et en pente légère semble assez facile d’usage mais elle nécessite des calculs et ajustements assez précis si vous désirez vous y poser avec autre chose qu’un petit appareil.
J’ai trouvé que la piste était assez glissante pour le De Havilland DHC-7. Je dois avouer qu’il y avait un vent de côté important (je volais en météo réelle téléchargée par internet). Le DHC-7 se comporte comme un gros bateau lorsqu’il décélère sur une telle piste.
La scène virtuelle de Woitape est superbe. Il est très intéressant de trouver des animaux, personnes et avions virtuels conçus de façon aussi réaliste.
J’adore ce nouveau produit de la compagnie Orbx. Lorsque vous volez dans un paysage aussi réaliste, le cerveau ne fait pas de différence entre ce qui est réel et ce qui est virtuel. Cela fonctionne vraiment! Et si vous utilisez la météo réelle téléchargée de l’internet, c’est encore mieux!
J’ai essayé les sept aéroports inclus dans la scène virtuelle « Tapini » et ils sont exigeants. Yongai a été pour moi celui présentant le plus grand défi. J’ai dû faire deux approches manquées étant donné que je me suis présenté chaque fois trop haut sur l’approche. Mais j’ai éventuellement réussi, comme dans la vraie vie!
Le logiciel Microsoft flight simulator X (FSX) a été utilisé pour tous les vols, mais d’autres plateformes auraient également très bien fonctionné et donné d’excellents résultats (Dovetail Games FSX Steam edition (FSX: SE) et toutes les versions de P3D). Les produits suivants étaient également installés sur mon simulateur de vol : FTX Global, FTX Golbal Vector et Holgermesh, de même que Pilot’s FS Global 2010.
Il s’agit d’une expérience virtuelle totalement immersive et vous devez vous concentrer totalement lorsque vous tentez ces vols virtuels exigeants… si vous désirez en ressortir « virtuellement » vivant!
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Si vous désirez tenter l’expérience de faire un atterrissage virtuel sur une piste de glace, une opportunité vous est offerte par la compagnie ORBX à travers leur aéroport virtuel de Homer (PAHO) en Alaska. Pour le vol virtuel, j’ai utilisé la plateforme FSX mais P3D aurait également donné d’excellents résultats.
La piste de glace est juste à côté de la piste principale (et asphaltée) de Homer. J’ai cru que le DC-3 serait un excellent choix pour cette tentative étant donné sa vitesse d’approche très basse et le fait qu’il soit un des quelques modèles seulement d’aéronefs virtuels équipés de skis.
Si vous décidez de tenter ce vol, assurez-vous au préalable de configurer votre simulateur de vol pour que l’option de la piste de glace de Homer soit activée, sinon vous allez vous retrouver dans la flotte…
De façon à ajouter un peu de défi en même temps que de réalisme à la scène hivernale, ajoutez un peu de vents de travers et activez l’option « heavy snow » dans FSX. Le programme PrecipitFX aide beaucoup si vous recherchez une meilleure définition des précipitations, que ce soit pour la pluie ou la neige. Pour ce vol, le programme virtuel CumulusX était également activé.
Ce petit vol s’est avéré une expérience intéressante, étant donné que la piste était étroite et qu’il y avait un peu de vents de travers. Je croyais que ce serait très glissant à l’arrivée mais ce ne fut pas le cas. Peut-être qu’un jour les pros d’ORBX, en coopération avec ceux de FSX Steam (Dovetail Games), modifieront la plateforme de simulation de vol pour ajouter des possibilités de CRFI (JBI) de .40 ou moins de façon à accroître le niveau de difficulté de contrôle de l’aéronef virtuel une fois l’aéronef sur la glace?
Étant donné que ce vol n’est pas un exercice très difficile, je l’ai placé dans la section « simulation de vol » de mon site, sous « vols virtuels standards ». Pour d’autres vols virtuels de ce genre, cliquez sur le lien suivant : Autres vols virtuels standards
Amusez-vous à tenter ce vol! Bientôt, je présenterai une autre piste de glace située en Antarctique, dont la scène virtuelle a été conçue par Aerosoft. On peut même y faire atterrir un C-17 Globemaster III…
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Commençons avec une vidéo montrant qu’il n’y a pas vraiment de marge d’erreur lorsque l’on tente un atterrissage à l’aéroport Saint-Jean-Gustave III (Saint-Barthélemy) :
Sur cette vidéo, il est possible de constater qu’une vitesse d’approche excessive de l’aéronef le force à flotter au-dessus de la piste pendant de précieuses secondes. Rapidement, il n’y a plus assez de piste restante pour permettre à l’aéronef de s’immobiliser en sécurité.
Il faut donc s’assurer que la vitesse d’approche soit minimale et être prêt à effectuer une approche manquée si les roues ne touchent pas suffisamment rapidement à la piste.
Une approche avec un aéronef virtuel de votre choix peut être effectuée à Saint-Barthélemy (TFFJ) étant donné qu’une reproduction de l’aéroport est offerte dans la scène de FlyTampa St Maarten. J’ai tenté un circuit avec le Twin Otter d’Aerosoft, sous FSX, et cela s’est bien passé, étant donné que cet aéronef peut voler à de très basses vitesses et freiner sur une très courte distance.
Pour votre information, la piste 10/28 de l’aéroport de Saint-Barthélemy a une longueur de 2133 ft (650m). Pour l’atterrissage, les vents soufflaient du 031/10G20, ce qui offrait un bon vent de travers. Le plus gros aéronef à avoir atterri à Saint-Barthélemy est un de Havilland DHC-7 de construction canadienne.
Bonne chance dans vos essais à tenter ce vol virtuel! Dans la section « simulation de vol » vous trouverez d’autres idées de vols virtuels exigeants.
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Un vol virtuel exigeant sous FSX est assuré lorsque vous utilisez l’aéroport Juancho E. Yrausquin car il possède la plus petite piste pour aéronefs commerciaux au monde. La piste ne fait que 1299 pieds de long (396m) et 60 pieds (18m) au-dessus du niveau de la mer. Le code IATA est SAB et le code ICAO est TNCS.
L’aéronef virtuel idéal pour cette piste peut être le Twin Otter (DHC-6) ou le Britten Islander (BN-2). Si vous désirez quelque chose de plus gros, le DHC-7 de De Havilland est parfait. Oubliez les réactés, la piste est trop courte.
Pour ajouter un peu de plaisir, utilisez la piste 30 et sélectionnez des vents de travers importants, avec rafales. Dans les captures d’écran ci-dessous, j’ai ajusté les vents sur l’approche à 030 degrés à 10G20. Pour le vol, j’ai également utilisé CumulusX et PrecipitFX de façon à améliorer l’effet visuel.
Pour une expérience encore plus réaliste, je vous suggère de vous procurer la scène FlyTampa St. Maarten. Cela vous permettra d’avoir accès à trois aéroports aux approches spectaculaires : l’aéroport de Juancho E. Yrausquin, sur l’île de Saba, l’aéroport de St-Barthélémy (TFFJ) et l’aéroport international Princess Juliana à St. Martin (St.Maarten).
Dans la section « vols virtuels exigeants » de mon site web, j’ai déjà inclus l’approche à l’aéroport Princess Juliana au moyen d’un MD-11. L’approche à St.Barthélémy (TFFJ) sera ajoutée sous peu.
Vous vous amuserez intensément à tenter de réussir les différentes approches à ces trois aéroports. Si vous désirez d’autres idées de vols virtuels exigeants, visitez la section « simulation de vol« .
Je vous souhaite beaucoup de plaisir!
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Si vous recherchez un vol virtuel exigeant, pourquoi ne pas essayer le trajet Syangboche – Lukla avec le DHC-6 Twin Otter de la compagnie Aerosoft? Il s’agit d’un vol de très courte durée, quelques minutes seulement, où l’avion est continuellement en descente jusqu’à sa destination.
L’approche à Lukla est trompeuse, à cause d’une piste en pente de12 degrés. Vous avez l’impression d’arriver trop vite, mais il faut résister à la tentation de diminuer la vitesse : à cette altitude, le décrochage survient à une vitesse plus élevée avec n’importe quel aéronef.
Il n’y a qu’une piste pour l’atterrissage, la 06. Les départs ne se font que de la piste 24. Il n’y a pas vraiment de possibilité d’approche manquée : c’est la réussite ou l’écrasement, car devant vous se trouve une paroi rocheuse insurmontable.
Le vol se fait donc au départ de Syangboche (code OACI :VNSB, altitude : 3748m et piste de 400m) vers Lukla (code OACI :VNLK, altitude 2860m et piste de 460m).
Le paysage et les objets autour de Syangboche sont une création de la compagnie ORBX. Une fois en rapprochement de Lukla, vous observerez un changement dans la conception du paysage : c’est que la scène n’est plus de la compagnie Orbx, mais plutôt une addition que vous devrez vous procurer: Aerosoft (Lukla). L’intégration des deux paysages est tout de même très bien réussie.
Ce vol exigera toute votre attention. Bonne chance! Pour d’autres idées de vos exigeants, visitez la section « simulation de vol« .
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Voici une capture d’écran très légèrement éditée montrant un B-737 de CP Air en vol virtuel en direction de la piste de Juneau en Alaska. Le Boeing est conçu par la compagnie Captain Sim et le paysage est l’oeuvre des pros de la compagnie ORBX. Le système météorologique est une combinaison des trois éléments suivants: CumulusX, la sélection « Heavy snowstorm » dans FSX et les effets du logiciel PrecipitFX.
FSGRW est un moteur météo et il utilise les données réelles de l’internet pour simuler la météo existante autour du monde (24000 + aéroports).
Le programme simule précisément ce qui se passe dans l’atmosphère jusqu’à FL520, incluant les ouragans et tempêtes tropicales.
FSGRW n’est pas vendu avec des sets supplémentaires de textures de nuages. Comme Active Sky Next (ASN) ou OpusFSI, vous devez vous procurer ces sets (REX a d’excellents produits). FSGRW utilisera alors ces nouvelles textures pour représenter les données téléchargées par internet, au lieu d’utiliser les vieux fichiers de nuages créés il y a plusieurs années par Microsoft.
FSGRW n’a pas été créé pour vous donner accès à toutes sortes d’options de luxe comme la possibilité d’intégrer des données météo directement sur le radar météo des gros porteurs. Il s’agit d’un programme simple mais très efficace qui vise à représenter avec précision la météo.
FSGRW reproduit certains des effets locaux les plus connus.
FSGRW est compatible avec FS2004, FSX, ESP, P3D, Steam et X-Plane.
FSGRW vous donne la possibilité d’utiliser la météo présente à un certain aéroport et de la transposer à un autre endroit. Vous avez accès à la météo passée au travers de fichiers sauvegardés. Vous pouvez également choisir entre la météo statique et dynamique (renouvelée toutes les six minutes depuis la version 027).
Vous pouvez créer votre plan de vol et votre séquence météo.
FSGRW peut fonctionner à travers un réseau.
J’utilise FSGRW en conjonction avec les sets de textures de nuages de REX et je suis très satisfait du résultat. Mais je n’ai aucun doute que les moteurs météo d’ASN, OpusFSI ou REX auraient également donné d’excellents résultats. La seule chose à se rappeler est qu’il est nécessaire de se procurer un moteur météo ET des sets de textures de nuages pour améliorer l’aspect visuel de la météo virtuelle.