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Plaisirs de l’hiver à Sillery

Oeuvre de neige, de glace et de bois composée par un citoyen de Sillery à Québec en 2015.
Oeuvre de neige, de glace et de bois composée par un citoyen de Sillery à Québec en 2015.

Un couple de retraités de Sillery, à Québec, a décidé d’ajouter de la vie et de la couleur devant leur maison. Au début, il ne s’agissait que de faire un bonhomme de neige de grande dimension. Puis, progressivement, tout le projet a été modifié, donnant naissance à un couple fait de neige, de glace et d’un peu de bois pour assurer que les membres les plus vulnérables puissent tenir le coup pendant des semaines. Un projecteur éclaire l’oeuvre dès que la nuit approche. Encore une preuve qu’il n’y a pas de limites à l’imagination, et que ce n’est pas une question d’âge.

Voici les données sur la photo, pour les personnes intéressées: Canon 5D MKII, F22, ISO320, objectif Canon 14mm 2.8L,trépied et câble de rallonge. La lumière provient du projecteur installé près de l’oeuvre.

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Province de Québec en photos
Ville de Québec et Île d’Orléans en automne
Ville de Québec et Île d’Orléans en hiver
Ville de Québec et Île d’Orléans au printemps
Ville de Québec et Île d’Orléans en été
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Photographie

Photographie de nuit

Empress Hotel au crépuscule, Victoria Harbor, Canada 2014
Empress Hotel au crépuscule, Victoria Harbor, Canada 2014

1. Assurez-vous d’emporter : trépied, déclencheur à distance, lampe de poche, chronomètre.

2. Prendre les photos en fichiers RAW (.TIFF). Il y a un plus grand potentiel pour les corrections subséquentes si le résultat initial ne vous satisfait pas.

3. Réduction du bruit activée sur la caméra.

4. Si les vents sont calmes : ISO entre 50 et 200.

5. Si les vents sont forts, une ISO de 400 peut être utile pour éviter le flou de bougé causé par une faible vibration du trépied lorsque l’exposition est trop longue. Il est préférable de travailler avec un trépied suffisamment lourd.

Boulevard Champlain à l'heure de pointe

6. Pour des photos de personnes bougeant à une vitesse normale, et avec l’utilisation d’objectifs de qualité, il est souvent nécessaire d’utiliser ISO 800 si vous désirez une photo nette. ISO 800 devrait permettre une vitesse d’environ 1/200 sec., ce qui est suffisant pour obtenir de la précision (à moins d’être en train d’utiliser une focale de 200mm et plus).

7. Pour les photos de personnes, il est préférable d’être dos à la lumière restante se trouvant à l’horizon, à moins de vouloir obtenir une silhouette.

8. Pour les expositions prolongées, le type d’autofocus doit être ONE SHOT, jusqu’à ce que cela cesse de fonctionner à cause du manque de lumière. Ensuite, utilisez le focus manuel. Vous pouvez également utiliser le focus manuel depuis le début de votre séance photo, pour une plus grande précision.

9. Le miroir doit être verrouillé (fonction de la caméra) pour éviter une vibration causée par le déclenchement de l’obturateur.

10. Naturellement, l’utilisation du câble ou du déclencheur à distance est requise, toujours pour éviter les vibrations au moment de la prise de photo.

Vieux-Québec
Vieux-Québec

11. Sélectionnez, si vous le désirez, un seul point de l’autofocus (sur tous les points disponibles de votre caméra), pour vous assurer d’une précision maximale quant à ce qui importe davantage pour vous dans la scène.

12. N’utilisez pas le mode FULL AUTO la nuit.

13. Les trois modes les plus importants sont : 1. Ouverture (en prenant soin de surexposer légèrement pour les lumières environnantes) 2. Vitesse 3. Manuel.Il y a une raison supplémentaire de surexposer légèrement si vous travaillez avec le format RAW: il y a plus de données enregistrées dans les zones lumineuses que dans les zones ombragées. Donc lorsque la photo est prise, vous avez accès à plus d’informations pour ajuster les zones ombragées de la photo et limiter le bruit.

14. Si vous prévoyez une exposition plus longue que 30 secondes, utilisez BULB MODE.

15. Les photos de nuit se prennent en utilisant la fonction BRACKETING de la caméra (-1,0,+1) et ce, à toutes les 2 minutes.

Sapin illuminé dans une rue de Sillery
Sapin illuminé dans une rue de Sillery

16. La meilleure période pour les photos de nuit se trouve 15 minutes après le coucher du soleil jusqu’à la nuit. Utiliser internet pour connaître l’heure du coucher du soleil. Comme la période de lumière intéressante est très courte, il importe que vous sachiez d’avance ce qui vous intéresse et que vous soyez positionné et prêt pour la prise de photos au moment opportun.

17. La noirceur complète n’est pas ce qui favorise le plus les photos de nuit. Vous pouvez cependant obtenir des résultats intéressants avec des photos noir et blanc.

18. Faites attention aux reflets causés par les lumières environnantes.

19. L’histogramme doit être vérifié pour s’assurer qu’il n’y a pas de surexposition de certaines lumières.

Paris Le Marais

20. Il est préférable de demeurer avec une ouverture se situant entre F11 et F16 pour une définition maximale de même qu’une profondeur de champ idéale.

21. Si vous photographiez un sujet à contre-jour, il peut y avoir un fort contraste de lumière entre l’endroit où se trouve le sujet et l’endroit où vous vous trouvez. Vous pourriez alors utiliser des filtres gradués (3-6-9-10) pour aider à diminuer le fort contraste. Vous pouvez également de profiter du moment pour photographier en HDR. Ou les deux! Il y a également des filtres spécialement conçus pour les levers et couchers du soleil qui seront d’une grande aide pour améliorer vos photos.

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Ouverture, ISO et vitesse

UN CHOIX À FAIRE

Vous devez constamment décider de la combinaison idéale entre les choix suivants : l’ouverture, la vitesse d’obturation et l’ISO. Ces trois facteurs sont constamment reliés et le choix de l’un affecte immédiatement les deux autres…

Vous êtes face à un paysage dans lequel tous les plans sont importants. Vous décidez que l’ouverture est ce qui importe le plus. Le choix de l’ouverture en premier est très populaire. Vous choisissez donc F16, qui devrait vous procurer une belle profondeur de champ. Cependant, cette ouverture laisse entrer peu de lumière. Il faut donc compenser quelque part. S’il n’y a pas vraiment de mouvement dans la photo, et que vous avez un trépied à votre disposition, vous pouvez alors choisir une vitesse lente, ce qui permettra à plus de lumière d’entrer dans l’appareil photo. Ce faisant, vous n’aurez pas besoin d’augmenter l’ISO de façon importante et vous éviterez ainsi d’ajouter du bruit sur votre photo.

Dans la photo ci-dessous, l’ouverture est à F16. La végétation dans le coin gauche nous amène vers les personnages et par la suite vers le quai des Cageux. Enfin nous arrivons au pont de Québec, le plus grand pont de type cantilever au monde.

Quai des Cageux, Québec 2012.
Quai des Cageux, Québec 2012.

Si vous décidez que la vitesse est prioritaire pour votre photo, il y aura un prix à payer au niveau de l’ISO. Ce dernier devra être augmenté pour améliorer la sensibilité à la lumière, mais cette action occasionnera du même coup une augmentation de la grosseur du grain dans la photo (le bruit). De même, la profondeur de champ sera affectée, car une vitesse rapide laisse entrer peu de lumière et donc on ne peut choisir également une ouverture à F16. Vous trouverez donc des zones qui semblent hors focus autour de votre sujet principal.Il faut faire les compromis permettant que la qualité de la photo soit acceptable. Avec un peu de pratique, vous pouvez limiter la vitesse d’obturation à condition de suivre exactement le mouvement du sujet avec votre appareil-photo.

La photo ci-dessous représente un problème un peu particulier: elle a été prise alors que j’étais sur un bateau balloté par les vagues. L’aigle se trouvant loin et voyageant en direction inverse de notre bateau, sa vitesse relative augmentait. La photo a été prise à main levée avec une focale de 400 mm, une vitesse de 1/1600 et l’ISO à 5000. Naturellement, le grain en souffre un peu mais il s’agissait d’un compromis pour capturer l’oiseau en vol.

Aigle observé dans la région de Campbell River, été 2012.
Aigle observé dans la région de Campbell River, été 2012.
IMG_0617 - Resize Queen Mary 2 Québec 2012 watermark

Il commence à faire sombre et vous désirez une photo de la plus grande qualité possible.Vous décidez alors que l’ISO est l’élément déterminant pour votre photo. Vous ne faites aucun compromis et choisissez ISO 50 car il vous procurera un grain très petit (bruit minimal). Cela exige beaucoup de lumière, car plus l’ISO est bas et moins il est sensible à la lumière. Pour vous assurer que la photo ne sera pas floue, un trépied est absolument nécessaire, car le temps d’exposition sera long. Dans la photo ci-dessus, l’obturateur a été ouvert pendant 10 secondes, avec une ouverture de 9.0, une focale à 200 mm et 50 ISO. Il n’y a que les petites branches agitées par le vent qui sont floues.

Note: en général, il est préférable d’utiliser un trépied le plus souvent possible, même en plein jour, pour obtenir des photos de qualité optimale. Si vous achetez un trépied, il est préférable d’en acquérir un qui soit suffisamment lourd pour ne pas bouger lorsqu’il vente. Un trépied léger est bien plaisant à transporter mais ne permet pas d’obtenir de bons résultats quand le temps est venteux. Il est certain que la photo du Queen Mary ne serait pas aussi précise si un trépied léger avait été utilisé. Dans ce cas-ci, le temps d’ouverture de dix secondes aurait signifier que l’appareil-photo se fait secouer légèrement pendant toute la période de pose.

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Histoires vécues comme spécialiste en information de vol (FSS): Inukjuak FSS

Allégations concernant le massacre de chiens de traîneaux durant les années ` 50 et `60.

Chiots esquimaux canadiens devant une maison de Inukjuak en 1983
Chiots esquimaux canadiens devant une maison de Inukjuak en 1983

(Histoire précédente : acquisition d’une sculpture Inuite à Inukjuak en 1982)

Lorsque j’étais en poste à Inukjuak (CYPH) comme spécialiste en information de vol (FSS) pour Transports Canada, entre 1982-1983, j’adorais faire des promenades le long du littoral de la baie d’Hudson. Une belle journée, j’eus la chance d’être accompagné par un gros chien esquimau canadien appartenant à un employé d’Environnement Canada. Le chien avait trouvé la façon de se libérer de sa laisse et j’avais profité de sa compagnie pour explorer les environs.

Il n’était pas et il n’est toujours pas fréquent d’apercevoir un chien sans surveillance sur le territoire habité par les Inuits, spécialement durant l’été. Ces derniers ont l’habitude d’aller porter les chiens en surplus sur quelques îles se trouvant à proximité des différents villages le long des côtes de la baie d’Hudson et d’Ungava. Naturellement, les Inuits revenant de la pêche s’arrêtent fréquemment sur les îles où se trouvent les chiens et laissent de la nourriture. Ce procédé est toujours en place en 2013, car il fonctionne bien. Selon un Inuit d’Inukjuak avec qui je discutais récemment, l’île permet aux chiens de conserver leur liberté de mouvement au lieu d’être prisonnier d’une corde. De même, les moustiques y sont beaucoup plus rares et les chiens ne s’en portent que mieux.

En 1982, j’entendais des rumeurs selon lesquelles un chien laissé libre était susceptible d’être abattu, mais je n’ai jamais assisté à rien de tel. La politique locale veut que des chiens errants ne soient pas tolérés, car ils pourraient représenter une menace pour la population. Dans tout ce qui se dit concernant des chiens abattus pour les raisons les plus diverses, le thème qui revient le plus est celui de l’allégation de massacres de chiens esquimaux durant les années ` 50 et `60. La documentation trouvée à cet égard fait état d’un millier de chiens qui auraient été abattus au courant des années, la plupart inutilement, dans les différents villages longeant les côtes de la baie d’Hudson, de l’Ungava et le long du détroit de Davis.

Un rapport intérim d’enquête sur ce sujet a été remis en 2009 à la Corporation Makivik et au Gouvernement du Québec par le juge à la retraite Jean-Jacques Croteau, de la Cour Supérieure du Québec. On apprend de ce rapport qu’autant la GRC que la Sûreté du Québec avaient participé à l’élimination de chiens de traîneaux au cours des années, en interprétant de façon personnelle et passablement restrictive une loi datant de 1941 et traitant des « Abus causés à l’agriculture ». Le texte de loi visait, lors de sa création, à créer un système de non-responsabilité pour une personne qui abattrait un chien errant selon des conditions spécifiques stipulées dans le texte de loi. On faisait référence ici à des actions prises contre des chiens errants attaquant des moutons et des animaux de ferme.

Un chien esquimaux canadien (Jordan) à Inukjuak en 1983
Un chien esquimau canadien (Jordan) à Inukjuak en 1983

Rapidement, les forces policières utilisèrent à outrance ce passage de la loi pour l’appliquer sur un territoire qui n’était pas visé par la loi. Je peux me tromper, mais je crois que personne n’a encore observé un Inuit éleveur de moutons sur une ferme dans le Grand Nord. Les évènements les plus importants se produisirent après que la GRC eut laissé la responsabilité du territoire à la Sûreté du Québec. Cette force policière fit preuve d’une méconnaissance complète de la culture Inuite. Selon les preuves présentées dans le rapport, des policiers arrivaient dans un village sans prévenir et tuaient les chiens errants, les pourchassant même sous les maisons, sans avoir pris soin de vérifier si le chien était malade ou dangereux. On trouve dans le rapport le témoignage de deux Inuits de Kangiqsujuaq affirmant avoir vu deux policiers arriver par hydravion, et sans dire un mot à qui que ce soit commencer à pourchasser les chiens errants à travers le village. Trente-deux bêtes furent éliminées et les policiers quittèrent le village sans donner d’explications.

Le rapport mentionne que les Inuits du nord du Québec n’ont jamais été consultés quant à la portée de la loi sur « Les abus à l’agriculture », une loi totalement inappropriée pour eux et ne tenant aucun compte de leurs droits ancestraux. Les Inuits dépendaient complètement des chiens pour se déplacer, chasser et pêcher. On peut lire le passage suivant, dans les dernières conclusions du rapport : « Après 1960, les actions et comportements des forces policières dépassèrent les bornes. C’était à n’y rien comprendre. Les officiers démontraient un manque total de conscience par rapport aux droits fondamentaux des Inuits, à leur culture et à l’importance des chiens pour leur subsistance. Le comportement des officiers, qui ne pouvait être ignoré par les administrations civiles provinciale et fédérale, eut pour effet de nuire grandement à 75 propriétaires de chiens et leur famille dans leur capacité de subvenir à leurs besoins en nourriture ». Aucune aide ne fut offerte par les autorités pour compenser la perte des chiens.

Le juge note finalement qu’il n’a d’autre choix que de déclarer qu’il y a eu bris de la part du Canada et du Québec dans leurs obligations fiduciaires envers les Inuits. J’imagine que des compensations monétaires ont été offertes, à moins que ce rapport ne soit que le premier d’une longue série visant à établir les responsabilités et compensations futures.

Pour lire les autres histoires vécues à Inukjuak, cliquez sur le lien.

(Prochaine histoire : l’OVNI inventé à Inukjuak en 1983)

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Photographie Photographie de navires

Les jonques chinoises de Tai Po

Photo de jonques chinoises prise près de Tai Po avec un Pentax SF1 durant l'été 1990. Originalement sur diapositive et digitalisée par la suite.
Photo de jonques chinoises prise près de Tai Po avec un Pentax SF1 durant l’été 1990. Originalement sur diapositive et digitalisée par la suite.

Cette photo a été prise lors d’un voyage d’un mois dans les environs de Hong-kong en 1990. La qualité discutable de la photo provient des traitements multiples pour la rendre disponible sur le web. Quelques autres photos sélectionnées sur ce voyage se trouvent dans la section « galeries de photos » sous « Asie ».

La période où cette photo des jonques a été capturée correspond à exactement un an après le massacre de Tiananmen Square. Le South China Morning Post avait fait mention d’un rassemblement de 100,000 personnes à Victoria Park pour commémorer la tragédie. D’ailleurs on pouvait voir la foule à partir du hublot du Boeing 747-200 de Cathay Pacific au moment du survol de Hong-Kong pour l’approche finale vers l’aéroport de Kaï Tak.

Pour d’autres photos de bateaux ou de navires affichées sur le présent site, cliquez sur le lien.

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Mauvaise météo à Québec

Un violent orage approche l'aéroport Jean-Lesage de Québec en 2012
Un nuage arcus en rouleau en formation devant un orage approchant Québec en 2012

Dans la section « Améliorez vos photos » du présent site se trouve une page intitulée « Photographie et météo » . D’ici quelques jours, cette page contiendra une vingtaine de photos et des informations susceptibles d’aider les photographes à profiter des meilleurs moments offerts par Dame Nature lors de leurs sorties. La photo ci-dessus représente un nuage arcus en rouleau en formation qui précède un violent orage approchant la Ville de Québec en 2012. Les nuages les plus spectaculaires s’étaient formés juste après le passage au-dessus des collines de Val-Bélair.

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360 muffins à donner

Bonjour, voici les deux dernières additions au site, en date de cette semaine:

tout d’abord, dans la section « Améliorez vos photos », sous « un mois de muffins », j’ai ajouté 30 photos de muffins (5 groupes de 6 photos). Ces photos représentent en fait trente douzaine de muffins qui ont été cuisinés par ma fille, pour ensuite être donnés à la Maison Gilles Kègle.

Gilles Kègle est un infirmier de la rue qui travaille sept jours par semaine depuis des décennies pour aider les gens dans le besoin. Lorsque vous visiterez cette section du site, vous pourrez donc voir les trentes sortes de muffins, de même que lire toutes les informations quant aux décisions qui ont été prises dans le but de photographier le travail de ma fille. J’ai également ajouté un vidéo sur l’oeuvre de Gilles Kègle et un lien internet vers sa Fondation.

L’autre addition au site se trouve dans la section galeries photos, sous Guatemala en photos. Vous y trouverez 19 photos prises par ma fille lors de son voyage dans ce beau pays durant la période de Pâques 2014. Bonne visite!

Les festivités de Pâques approchent à Antigua, Guatémala, 2014
Les festivités de Pâques approchent à Antigua, Guatemala, 2014
Tapis de fleurs créé par des experts durant la période de Pâques à Antigua, Guatémala
Tapis de fleurs créé par des experts durant la période de Pâques à Antigua, Guatemala
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Des souvenirs de l’Europe

Vue à partir de notre chambre d'hôtel à Schwanden, Suisse 2013
Vue à partir de notre chambre d’hôtel à Schwanden, Suisse 2013

Voici quelques photos ajoutées récemment à la galerie de photos sur l’Europe. Schwanden, en Suisse, a été une merveilleuse surprise car l’hôtel était situé en campagne mais à une distance très acceptable d’un grand centre comme Bernes. Il s’agit d’une photo HDR. En effet, les contrastes étaient trop importants entre les ombrages du balcon et la luminosité du ciel pour qu’une seule photo suffise à rendre justice au paysage. Cette photo représente en fait cinq photos superposées et traitées avec Photomatix. Bonne visite dans les galeries photos ci-dessus!

Paris, France 2013
Paris, France 2013
Gruyères, Suisse 2013
Gruyères, Suisse 2013
Genève, Suisse 2013
Genève, Suisse 2013
Domodossola, Italie 2013
Domodossola, Italie 2013
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Une tulipe dans le parc du Bois-de-Coulonge

Une tulipe dans le Bois-de-Coulonge, Ville de Québec.
Une tulipe dans le Bois-de-Coulonge, Ville de Québec.

Cette fleur fait partie des nouvelles photos ajoutées dans la section « Galeries photos ». Elle a été prise au printemps, dans le parc du Bois-de-Coulonge, à Québec, avec un appareil Canon 5D MKII. Pour les photographes désirant connaître les détails techniques, voici les informations: vitesse 1/80 sec., ouverture 5.0, ISO 100, focale 110.0 mm, Mode WB auto, Mode AF Autofocus One-Shot, objectif Canon 70-200 mm F2.8L IS II USM, fichiers RAW. Il y avait d’autres tulipes dans le champ de vision mais j’ai choisi de n’avoir qu’une fleur en isolé.

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Mise à jour 9 novembre 2014

Bonjour,

Juste une petite note en ce dimanche soir frisquet pour signaler quelques ajouts depuis les dernières semaines. Il y a bien sûr la série d’articles sur les histoires vécues qui se poursuit (7 ont été publiées jusqu’à présent, sur un total approximatif de 80). La galerie photo qui a été le plus améliorée est celle concernant les photos dans les provinces canadiennes (au moins une trentaine de nouvelles photos ajoutées). Également, dans la section des vols virtuels, un vol en planeur et un atterrissage en hélicoptère sur un bateau de croisière ont été affichés. À venir sous peu, une petite revue sur un livre surprenant: « Les lois fondamentales de la stupidité humaine ». Voici trois des photos ajoutées récemment. Bonne visite!

Empress Hotel au crépuscule, Victoria Harbor, Canada 2014
Empress Hotel au crépuscule, Victoria Harbor, Canada 2014
Maison éditée avec Photoshop, Fisherman's Wharf, Victoria, Canada 2014
Maison éditée avec Photoshop, Fisherman’s Wharf, Victoria, Canada 2014
Photo d'une partie du centre-ville de Banff, Alberta, Canada 2014
Photo d’une partie du centre-ville de Banff, Alberta, Canada 2014