Entre le rêve et la réalité dans le Vieux-Québec. Inspiré par les gouvernements totalitaires autour de la planète.
La photo ci-dessus est le résultat d’une sortie récente dans le Vieux-Québec. Pourquoi le cliché dégage-t ’il une impression aussi bizarre? Eh bien, les actions des gouvernements autoritaires de plusieurs pays ont suffi à modifier ma perception photographique pour un instant. Un montage s’imposait donc pour laisser filtrer l’émotion du moment.
Théorie de la photographie
L’ensemble de bâtiments de ce secteur de la ville présente un intérêt, mais pour produire un effet spécial, un important recadrage s’impose. Le format carré laisse de côté les détails inutiles de l’image initiale. Je ne voulais pas de distraction; seulement l’essentiel.
J’imaginais aussi un ciel menaçant au-dessus des édifices vieillots de la ville de Québec. Mais comment exprimer ce danger sans retoucher une photo normale ? En effet, le ciel est souvent trop beau ou trop banal pour transmettre une impression suffisante d’inconfort.
L’édition du ciel à partir du fichier RAW demeurait la solution. Après traitement numérique, j’ai pu obtenir une combinaison de couleurs dépareillées qui perturbent la scène. On retrouve même un semblant de visage dans les nuages, un effet qui n’était cependant pas prévu. L’ensemble nous renvoie dans un univers qui se situe entre le rêve et la réalité.
Hélicoptère Airbus H160 au décollage de EHFD F3-FB-1A dans la mer du Nord avec MSFS.
L’étape 13 du tour du monde en simulation de vol s’effectue avec l’hélicoptère Airbus H160 Luxury. J’utilise toujours le simulateur de vol Microsoft Flight Simulator (MSFS).
Internet injecte la météo réelle entre les deux plateformes pétrolières situées en mer du Nord. Une fois les données entrées, le décollage s’effectue d’une plateforme localisée aux Pays-Bas. Son nom de code est EHFD F3-FB-1A.
L’itinéraire nous mène en Norvège, vers les installations pétrolières appelées ENXB Eldfisk B. La FIR (Flight Information Region) de l’Écosse offre le service de recherche et sauvetage pour ce secteur.
Hélicoptère H160 en route vers la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B avec MSFS
Le trajet entre les deux installations représente environ 90 nm. Les conditions atmosphériques se détériorent par endroit, mais ce n’est pas vraiment surprenant en mer du Nord.
Nuages bas virtuels au-dessus de la mer du Nord vus d’un hélicoptère H160 en simulation de vol.
Lors de ce vol virtuel, nous croisons d’autres plateformes pétrolières et gazières. Cela est rendu possible grâce à l’addition de la scène virtuelle Aerosoft Offshore landmarks. L’une des installations se trouve ci-dessous. Mais la scène virtuelle ajoute également des navires de pêches, des pétroliers, des navires-cargos. Bref, tout ce que l’on retrouve normalement en mer du Nord, dans la Manche et dans la mer d’Irlande.
Une des plateformes visibles en Mer du Nord avec Microsoft Flight Simulator
L’approche vers l’hélipad débute avec de forts vents qui compliquent la procédure d’atterrissage. En effet, les rafales et l’inexpérience relative du pilote rendent les manœuvres délicates. L’équipage doit travailler pendant vingt minutes pour poser l’hélicoptère Airbus H160 de façon sécuritaire.
Approche du H160 pour la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B appartenant à la Norvège en MSFS
L’état de la manche à vent dans la photo ci-dessous donne une bonne idée des conditions. De plus, la direction du vent pousse sans cesse l’hélicoptère vers les installations. Mais l’atterrissage s’effectue finalement en douceur.
Cependant, les multiples tentatives d’approche ont saisi les passagers. Une personne a décidé de changer de carrière et occupera désormais un poste de bureau sur la terre ferme.
Vents forts lors d’un atterrissage virtuel avec un hélicoptère H160 sur la plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B en Norvège.
La plateforme pétrolière ENXB Eldfisk B en Norvège mais dans la FIR de l’Écosse avec MSFS Microsoft Flight Simulator
L’étape 14 de l’exploration simulée de la planète s’effectuera entre ENXB Eldfisk B et l’Écosse, en passant par la ville d’Édimbourg et l’aéroport de Dundee (EGPN).
Hélicoptère Airbus H160 quitte Helgoland (EDHX) pour une plateforme pétrolière dans la mer du Nord.
La douzième étape du tour du monde en simulation de vol comporte un atterrissage qui demande de la précision. L’escale s’effectue sur une plateforme pétrolière dans la mer du Nord. Le nom de code de cette installation située aux Pays-Bas est EHFD F3-FB-1A. Nous utilisons comme d’habitude le simulateur de vol MSFS.
Hélicoptère H160 Airbus en vol virtuel vers la plateforme pétrolière EHFD F3-FB-1A
Le décollage s’effectue en soirée de l’île de Düne, en Allemagne. L’arrivée sur la plateforme se fera à la tombée de la nuit.
Hélicoptère H160 virtuel approchant un parc d’éoliennes dans la Mer du Nord avec MSFS
La photo ci-dessus montre un parc d’éoliennes droit devant nous dans la mer du Nord. En cas d’amerrissage forcé, l’hélicoptère H160 est équipé de flotteurs activables sur commande du pilote.
La nuit approche alors que l’hélicoptère virtuel H160 approche de la plateforme pétrolière avec MSFS.
Le vol virtuel s’effectue en météo réelle. En cette fin de journée, le ciel prend de superbes teintes. Quelques minutes plus tard, la tour de forage devient visible.
Très venteux pour un hélicoptère H160 atterrissant sur la plateforme pétrolière EHFD F3-FB-1A dans la mer du Nord avec MSFS.
Généralement, les vents se maintiennent à une vitesse assez élevée pour l’approche sur l’hélipad. De plus, les mâts des grues demeurent en mouvement. Il faut donc se présenter au bon endroit. De surcroît, la turbulence près du bâtiment complique les manœuvres. À cause de cela, deux approches deviennent nécessaires avant de poser l’appareil de façon sécuritaire.
Hélicoptère H160 sur la plateforme pétrolière EHFD F3-FB-1A en simulation de vol.
L’hélicoptère passera finalement la nuit sur la plateforme. L’équipage de même que les passagers s’offriront certainement un repos bien mérité. Demain, le mandat consiste à faire la liaison vers une seconde installation de forage. Celle-ci se situe plus au nord, dans le territoire de la Norvège. Pour les amateurs de simulation de vol qui aimeraient tenter l’expérience, le nom de code est ENXB Eldfisk B.
Le nouveau roman graphique « Pour une fraction de seconde » de Guy Delisle
Guy Delisle frappe fort avec son nouveau roman graphique « Pour une fraction de seconde — La vie mouvementée d’Eadweard Muybridge ». Il nous présente un personnage haut en couleur, célèbre pour avoir fait progresser la photographie à pas de géant en étudiant les animaux en mouvement. À partir de ces innovations va également se développer le cinéma.
Les dessins et le scénario de Guy Delisle fonctionnent à merveille. Cette fois, l’enseignement de l’histoire prend le dessus, mais sans jamais ennuyer le lecteur, au contraire. Un sujet qui aurait pu se révéler aride devient amusant et plein de surprises. On a donc affaire à un livre un peu plus sérieux que ce que l’auteur nous offre habituellement, mais le tout servi sous une forme décontractée et fort bien proposée.
Lorsque quelqu’un se démarque de façon étonnante dans un domaine, on entend souvent l’expression : « Il est né pour faire cela ». Ce n’est certainement pas le cas de Muybridge. Et pourtant, il réussit là où plusieurs échouent ou n’auraient pas eu la ténacité et le caractère pour affronter l’adversité.
L’itinéraire de Muybridge
Avant d’atteindre la renommée pour ses succès en photographie, le personnage principal emprunte de multiples chemins dont certains semblent contradictoires. Il est d’abord libraire, entrepreneur, expérimentateur, inventeur de génie, assassin, homme d’affaires, écrivain et conférencier. Il se fait également voyageur international pour faire avancer ses projets. On le retrouve alors en Angleterre, aux États-Unis, en France, en Allemagne et en Italie.
Une page du roman graphique de Guy Delisle « Pour une fraction de seconde »
La réputation de Guy Delisle comme bédéiste au Québec et en France lui permet de choisir un sujet qui le passionne en sachant que le public le suivra. Il y a tout un travail de recherche derrière son nouveau livre. En un sens, il nous rend service, car nous apprenons un pan de l’histoire tout en nous divertissant.
Vous rencontrerez au passage des personnalités comme Tesla, Edison, les frères Lumière et découvrirez qui était la personne derrière le nom « Stanford » de la fameuse université américaine.
Bonne lecture !
Titre : Pour une fraction de seconde — La vie mouvementée d’Eadweard Muybridge
Pour cette onzième étape de ce tour du monde en simulation de vol, le départ s’effectue de l’aéroport de Padderborn Lippstadt (EDLP) pour rejoindre Helgoland (traduit Heligoland en français), en Allemagne.
Notre commanditaire ayant un budget illimité, nous effectuons le vol avec un hélicoptère Airbus H160 Luxury. En route pour la destination, une escale est prévue à l’aéroport de Bremen (EDDW).
Hélicoptère Airbus H160 au-dessus de l’aéroport de Bremen avec MSFS
Pour les férus d’aviation, la route se lit comme suit à partir de Brême: EDDW DCT DO DCT DW271 DCT DW285 DCT WSN DCT NDO DCT EDXH (Heligoland). J’utilise les logiciels suivants : Navigraph, Simbrief, FSLTL et le simulateur de vol MSFS 2020. Le vol s’effectue en météo réelle (injectée via internet).
Après le décollage, nous survolons certaines installations industrielles de Brême.
Hélicoptère Airbus H160 au-dessus d’installations industrielles de Bremen avec MSFS2020
Une co-pilote m’aide à m’acquitter de ma tâche, spécialement lorsque je prends des photos. Je ne peux pas dire qu’elle est très bavarde, mais l’essentiel est d’atteindre l’aéroport en sécurité.
Vue du cockpit dans l’hélicoptère Airbus H160 avec MSFS
À l’approche de la mer du Nord, le littoral se charge pour un court instant de nuages bas et la visibilité diminue. Quelques gouttelettes de pluie tombent, pendant qu’un double arc-en-ciel se forme et qu’un peu de turbulence se fait sentir.
Les précipitations ne causent pas vraiment de problème, car elles ne durent pas longtemps. Mais avec une température extérieure de -5 C, on doit surveiller le givrage.
Arc-en-ciel et courants ascendants avant d’atteindre la Mer du Nord en provenance de Bremen en simulation de vol.
La météo redevient VFR et l’on s’engage au-dessus du plan d’eau vers Heligoland.
Hélicoptère Airbus H160 au-dessus de l’Allemagne en route pour Helgoland.
Heligoland a souvent changé de propriétaire au cours des décennies, en fonction des conflits armés. Le site a appartenu à la Grande-Bretagne, au Danemark et fait maintenant partie de l’Allemagne. C’était un lieu stratégique militaire dont les installations ont été dynamitées (et solidement !) par les Britanniques à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Hélicoptère H160 arrive à Helgoland, Allemagne, en simulation de vol
Nous observons les falaises d’Heligoland pour ensuite nous diriger vers le but du voyage, la petite île de Düne, en arrière-plan sur la photo ci-dessous.
Les falaises de Lummenfelsen à Helgoland en simulation de vol
Sans être sportif, l’atterrissage demande quelques précautions à cause des rafales soufflant à 23 nœuds. Au moment de se poser, l’appareil flotte pendant quelques secondes en se comportant comme un bateau sur un plan d’eau agité. Mais, finalement, tout se passe bien.
Atterrissage de l’hélicoptère virtuel Airbus H160 à Helgoland en Allemagne avec MSFS
Le prochain vol virtuel s’effectuera à destination d’une plateforme pétrolière située aux Pays-Bas, en mer du Nord. Pour ceux qui aimeraient tenter l’atterrissage, le nom de code est EHFD F3-FB-1A.
Old Quebec in winter seen from Parc Montmorency in 2025
Le temps est venu pour une autre sortie hivernale dans le Vieux-Québec. La session de photographie de nuit sera consacrée à l’architecture.
La température se situe autour de -14 C et les vents soufflent à 15 km/h. Sans gants pour pouvoir manipuler les petits boutons de l’appareil-photo, la peau ressent -22 C. Une pause régulière devient essentielle pour se dégeler un peu les doigts !
J’ai pris la photo à partir du parc Montmorency, juste en haut de la côte de la Montagne. Ce lieu historique constitue une attraction touristique majeure de Québec. Louis Hébert, le premier agriculteur du Canada, a cultivé la terre à cet endroit lors de son arrivée en Nouvelle-France. Il faut cependant comprendre que les autochtones connaissaient l’agriculture et cultivaient le sol bien avant la venue des colons français.
À gauche sur la photo se trouve une sculpture de Sir Georges-Étienne Cartier, l’un des Pères de la Confédération. On aperçoit également le Château Frontenac et l’édifice Price au loin. Au premier plan se trouve un bâtiment qui a maintes fois changé de fonction. Il fut à l’origine le premier Palais épiscopal.
Technique de photographie
Pour ce cliché, j’ai planté mon trépied dans 40 centimètres de neige. J’utilisais un appareil-photo Canon 5 DSr muni d’un zoom ultra grand-angulaire Canon EF 11-24 mm F/4L USM. J’aurais pu régler l’ISO à 200 grâce à la stabilité du trépied, mais le vent exigeait un résultat plus rapide à cause des possibles vibrations. L’ISO et la vitesse de l’obturateur obéissent donc aux conditions climatiques ambiantes plutôt qu’à la faible lumière.
Remorqueur Ocean sur le fleuve Saint-Laurent devant Québec en hiver.
Ce remorqueur de la compagnie Ocean se déplace à travers les glaces sur le fleuve Saint-Laurent devant Québec. La photo a été prise à partir de la terrasse Dufferin dans le Vieux-Québec. L’hiver relativement doux laisse encore des passages ouverts pour les navires.
Théorie de la photographie
La bonne technique recommande d’utiliser un trépied et un câble de rallonge. On limite ainsi les vibrations. Mais la terrasse de bois communique les vibrations causées par les piétons. Il faut attendre que ces derniers s’éloignent pour améliorer les chances de cliché bien défini.
La photographie de nuit combinée avec un bateau en mouvement augmente les risques d’obtenir un résultat médiocre. Le cliché exige une vitesse minimale d’à peu près 1/125 à 1/160 ainsi qu’un ISO approprié. Le grain doit être le plus petit possible, car il faudra recadrer pour rapprocher le remorqueur.
Dans le cas présent, j’ai sacrifié la profondeur de champ, car l’intérêt principal porte sur le vaisseau et les glaces environnantes. Les lumières de Lévis en arrière-plan ajoutent un peu de dynamisme à la scène.
Voici une photo HDR de l’escalier de bois menant de la terrasse Dufferin jusque dans le quartier Petit-Champlain, deux attractions touristiques bien connues. Toutes les décorations des Fêtes procurent une atmosphère encore plus spéciale dans le Vieux-Québec.
Pris en soirée, le cliché comprend cinq photos aux ouvertures différentes. Ce procédé permet de composer avec le grand écart de luminosité entre le premier plan et la ville de Lévis au loin.
Les nuages et la neige aident à refléter les lueurs de la ville durant la nuit. J’ai malgré tout rehaussé la lumière de l’arrière-plan pour que les bâtiments deviennent plus facilement visibles.
Reflets durant la nuit sur la rue Saint-Louis dans le Vieux-Québec en 2025.
Encore une soirée parfaite pour photographier le Vieux-Québec en hiver ! Je me considère très chanceux d’avoir un accès quotidien à cet endroit magique. En effet, il s’agit d’un joyau de l’UNESCO et d’une attraction touristique majeure du Canada.
Théorie et technique de photographie
Ce soir, on trouve tout : des vents calmes, une neige faible, une température acceptable et un plafond nuageux à basse altitude. Il faut en profiter pour améliorer la technique de photographie. Pour couronner le tout, Québec se trouve entre deux périodes d’affluence touristique. Cela diminue le nombre personnes floues lors de la photographie de nuit.
La neige fond immédiatement lorsqu’elle atteint la rue Saint-Louis. Elle crée de multiples reflets propices aux effets spéciaux.
Il est possible de travailler sous un bel éclairage, même en pleine nuit. En effet, les lueurs de la ville se reflètent sur la base des nuages et sur les précipitations. Cela illumine en retour les vieux édifices.
Il s’agit désormais de trouver un angle original pour capturer la rue Saint-Louis. Je tente d’éviter le cadre trop répété de la carte postale !
L’œil du spectateur doit demeurer concentré sur la rue et sur l’architecture. Il doit voyager vers l’arrière-plan pour découvrir une section des bâtiments de l’Assemblée nationale au loin. La composition photographique s’effectue facilement.
Pour atteindre l’objectif, il faut capter l’attention du spectateur. On peut se servir d’un objet à la forme attrayante comme premier plan. Nul besoin qu’il soit complètement visible. Le vase installé sur le Monument Samuel-de-Champlain fera l’affaire. Ce n’est pas lui qui nous intéresse vraiment, mais il sert d’entrée dans la scène.
Ce sont tous des conseils photographiques simples et efficaces qui améliorent les chances d’obtenir de belles photos lors de sorties dans le Vieux-Québec en hiver.
Scène de Québec et du Château Frontenac la nuit. Photo par François Ouellet
Photographier de nuit une attraction touristique comme le Château Frontenac, avec toutes ses lumières, représente un bon défi, autant pour l’appareil-photo Canon 5 DSr que pour le photographe. Voici quelques conseils photographiques pour pouvoir profiter au mieux de l’expérience :
Pour un effet spécial, autant y aller à fond et capturer le château en incluant tous les éclairages des bâtiments situés près du quartier Petit-Champlain.
La composition photographique correspond à la règle des tiers. Il n’est vraiment pas obligatoire de toujours respecter les notions théoriques, mais cette fois-ci, le tout fonctionne bien.
L’observateur aperçoit en premier les bâtiments les plus illuminés. Il détecte ensuite le château sur le cap.
Le contraste est volontaire. Le château n’est pas représenté dans toute sa splendeur architecturale, mais sous forme de quelques lignes éclairées dans la nuit.
Le spectateur n’a plus besoin de voir toutes les formes du château pour le reconnaître. C’est le château le plus photographié au monde. Le cerveau analyse rapidement les aspects visibles et complète le bâtiment en une fraction de seconde.
Le fait d’être photographié sous cet angle et cette lumière donne un aspect plus mystérieux à cet hôtel qui surplombe les petits édifices.
La technique de photographie HDR résout en partie les problèmes de luminosité. J’ai superposé cinq clichés pour obtenir le résultat final.