Phasme à tiare en visite sur ma main à l’insectarium de Montréal.
Quelle belle expérience vécue cette semaine à l’insectarium de Montréal ! Alors que nous visitions un des pavillons, une préposée m’a offert de tenir un phasme à tiare (Extatosoma tiaratum), communément appelé « phasme scorpion ».
L’insecte tient sa réputation de scorpion du fait qu’il courbe sa queue de la même manière qu’un scorpion lorsqu’il se sent en danger. Mais il ne pique pas. On peut ensuite mettre la main à l’envers et il s’agrippe sans effort. C’est d’ailleurs sa position naturelle sous une branche.
Moi qui traîne rarement mon cellulaire, j’étais très heureux de l’avoir cette journée-là pour le prendre en photo !
Une partie de la collection d’insectes à l’insectarium de Montréal.
La diversité de formes et de couleurs des insectes présents dans l’environnement est stupéfiante. La nature étonnera toujours.
Extraordinaires spécimens à l’insectarium de Montréal.
À part le pavillon central où se retrouve un très grand nombre d’insectes multicolores, il est aussi possible de se promener dans une volière à papillons. Ces derniers se promènent autour des visiteurs, mais il est cependant interdit de les toucher.
L’étape 18 autour de la planète en simulation de vol s’effectue entre l’aéroport de Donegal (EIDL) et celui de l’Île de Man (EGNS), aussi appelé Douglas Ronaldsway. Cette île est reconnue comme paradis fiscal et pour ses jeux en ligne. Elle a un régime financier plus « avantageux » que le Royaume-Uni. Son rôle est aussi apparu dans les « Paradise Papers ».
Étant donné que l’on survole la mer d’Irlande en monomoteur, le Nardi FN-333 s’avère un excellent choix en cas de panne moteur. De plus, il offre une autonomie intéressante (490 nmi) et une vitesse de croisière respectable (143 noeuds à 8000 pieds).
Nardi FN-333 Riviera virtuel à l’aéroport de Donegal (EIDL) avec MSFS
Capable d’une ascension de 1280 pieds/minute, il survole sans problème le relief après le décollage de Donegal.
Nardi FN-333 Riviera virtuel au décollage de l’aéroport de Donegal (EIDL) dans la République d’Irlande avec MSFS.
Nardi FN-333 Riviera survolant le secteur de Strangford and Lecale area of outstanding natural beauty de l’Irlande du Nord avec MSFS
Une fois au-dessus de la Mer d’Irlande, on aperçoit le premier porte-conteneurs, qui sera suivi de beaucoup d’autres navires aux fonctions diverses (traversiers de Irish Ferries, transporteurs de voitures, pétroliers, méthaniers, etc.
Nardi FN-333 Riviera survolant un porte-conteneurs sur la mer d’Irlande avec Microsoft Flight Simulator.
En fin de journée, on aperçoit l’île de Man. Il est toujours plus intéressant d’arriver avant la nuit lorsque l’on atterrit une première fois à un aéroport inconnu. Cela permet de bien observer les environs.
Nardi FN-333 Riviera en finale pour l’aéroport île de Man avec MSFS
Le soleil éclaire le poste de pilotage d’une façon très réaliste avec les nouveaux simulateurs de vol. Autrefois, les ombrages ne se déplaçaient pas dans le cockpit.
L’île de Man est en vue en soirée avec le simulateur de vol Microsoft Flight Simulator
Très près de l’aéroport de l’Île de Man (EGNS) se trouve un immense bâtiment, le King William’s College. Il offre une éducation privée aux jeunes entre 3 et 18 ans. Je me demande si le personnel a déjà eu une frousse à cause d’une approche ratée d’un des nombreux appareils qui se posent quotidiennement sur l’île. Car les accidents ne manquent pas.
Le King William’s College près de l’aéroport de l’Île de Man avec Microsoft Flight Simulator
L’atterrissage s’effectue heureusement sans effrayer les étudiants du collège voisin.
Le Nardi FN-333 Riviera vient d’atterrir à l’aéroport de l’Île de Man (EGNS) en soirée.
Une escale de quelques jours sera nécessaire avant d’entreprendre la suite du voyage. Nous rejoindrons alors la République d’Irlande en atterrissant à l’aéroport de Dublin (EIDW) avec le simulateur de vol MSFS 2020 et le Cessna 310R de Blackbird Simulations.
Un piéton se repose en soirée dans le Vieux-Québec, avec l’édifice Price en arrière-plan.
Un piéton se repose en soirée à l’ombre de l’édifice Price, dans le Vieux-Québec. Beaucoup de résidents et de touristes apprécient la sécurité ambiante régnant dans la vieille ville. Qu’elles soient accompagnées ou non, même les personnes âgées s’y sentent en sécurité en soirée.
L’édifice Price est le seul gratte-ciel autorisé dans le Vieux-Québec. Lors de mes sessions de photographie dans ce secteur, je m’amuse à trouver des points de vue différents et des lumières particulières pour mettre en valeur ce bâtiment unique. Au moment où j’ai capturé la scène, il restait encore un peu de bleu dans le ciel. Cette couleur se marie délicatement avec le jaune orangé environnant.
Cliquez sur le lien pour d’autres photos du Québec dans mon blogue.
Le tour de la planète en simulation de vol se poursuit avec un Britten Norman BN2A Trislander MK III. La version initiale de l’avion n’est pas particulièrement fiable. Quand ce n’est pas un moteur qui lâche, ce sont des craques qui affectent la structure ou le capot qui s’ouvre inopinément. Nous allons tout de même tenter notre chance avec cet appareil aujourd’hui.
La piste de sable de la plage de Barra (EGPR) dans les Hébrides extérieures de l’Écosse est parfaite pour un décollage avec le BN2A. Aujourd’hui, nous prévoyons nous rendre à l’aéroport de Donegal (EIDL) dans la République d’Irlande.
BN2A Trislander au décollage de la plage de sable de Barra avec MSFS
Avec un trimoteur, les pilotes ne tiennent pas compte de la distance par rapport à la rive en cas de panne moteur. Mais si nous pilotions un monomoteur, il faudrait plutôt nous diriger vers Tiree Island à l’altitude la plus élevée possible pour ensuite bifurquer vers Donegal.
BN2A Trislander MK III virtuel en route vers l’aéroport de Donegal (EIDL) en République d’Irlande avec MSFS
Dans tous les vols virtuels réalistes, un programme injecte les données météorologiques reçues des aéroports par internet directement dans le simulateur de vol.
Depuis quelques jours, il n’y a que du beau temps en Irlande et en Écosse. Je croyais rencontrer pluie et nuages bas, mais ce fut tout le contraire.
Donc pour l’instant, la belle météo facilite la planification des vols au-dessus d’une très grande région. Ci-dessous on peut observer le paysage plus rocailleux aux environs de l’aéroport de Donegal.
Le BN2A Trislander descend vers Donegal dans la République d’Irlande avec MSFS.
Le Trislander se trouve maintenant en finale pour la piste 21 à Donegal. Les vents faibles facilitent l’approche. On n’a perdu aucun morceau de l’appareil lors du trajet!
Le Britten Norman Trislander en finale pour la piste de l’aéroport de Donegal (EIDL) en simulation de vol
Le personnel de l’aéroport a déjà sorti les valises à embarquer sur le prochain vol. C’est beaucoup trop ! On a dû confondre le Trislander avec un Boeing 737. Les règles de l’aviation sont strictes. Je ne sais pas si les passagers ramènent des coquillages ou de la bière en quantité, mais certains bagages ne partiront pas aujourd’hui !
Avion BN2A virtuel à l’arrivée à l’aéroport de Donegal (EIDL) avec Microsoft Flight Simulator
En soirée, un drone virtuel permet de survoler la région, histoire d’observer les falaises et les nombreuses éoliennes présentes dans la région.
Paysage virtuel autour de la région de Donegal en République d’Irlande avec le simulateur de vol MSFS 2020
Scène virtuelle de la région de Donegal en République d’Irlande avec MSFS 2020.
L’étape 18 de l’exploration de la planète s’effectuera entre l’aéroport de Donegal et l’île de Man au moyen d’un Nardi FN-333 Riviera et avec le simulateur de vol Microsoft Flight Simulator 2020.
Une solution créative pour un arbre problématique.
La photo ci-dessus est un bon exemple de comportement humain approprié et une façon originale d’éviter les éternelles chicanes de clôture entre voisins.
Pourquoi se disputer au sujet d’un arbre trop près de la limite d’une propriété ? Deux voisins de Québec ont ainsi choisi de travailler ensemble et tailler la clôture pour faciliter la pousse d’un arbre qui grossit avec les années.
Il s’agit d’un effort minimal qui préserve la bonne entente entre voisins tout en se préoccupant de l’environnement. L’intelligence, c’est la capacité de s’adapter !
Cliquez sur le lien pour d’autres articles sur l’environnement dans mon blogue.
L’exploration de la planète en simulation de vol continue. Aujourd’hui, nous effectuons le trajet entre Bruray / Out Skerries (EG78 ou OUK pour le code IATA) et la plage de Barra (EGPR). Il s’agit d’un vol virtuel exigeant surtout en ce qui concerne le décollage de Out Skerries. Les vents soufflent fort et passablement de côté par rapport à la petite piste. Vous pouvez le constater en observant la manche à vent à partir du cockpit.
DHC-4 Caribou virtuel prêt pour un décollage avec forts vents de côté à l’aérodrome EG78 Out Skerries avec MSFS.
L’équipage choisit d’utiliser un bon vieux DHC-4 Caribou qui a fait ses preuves quant aux atterrissages et décollages difficiles. Les nuages virtuels reflètent la situation présente dans les îles Shetland.
Les deux pieds sur les freins, les volets ajustés et le volant tourné à droite pour limiter l’effet du vent sur l’aile droite, l’équipage pousse le régime au maximum tout en relâchant les freins. L’avion cherche à se déporter un peu vers la gauche lors du roulement, mais en jouant du palonnier l’appareil demeure sur la piste assez longtemps pour permettre le décollage.
Avion virtuel DHC-4 Caribou au décollage de l’aérodrome Out Skerries (EG78) en Écosse en météo virtuelle avec MSFS.
Le vol s’effectue en mode VFR sous les nuages. Éventuellement, le ciel s’éclaircit et on peut apprécier le paysage lors de l’approche vers la plage de Barra. La marée basse nous permettra un atterrissage sans problèmes.
Avion virtuel DHC-4 Caribou en route vers la plage de Barra (EGPR) pour un atterrissage avec MSFS.
La photo ci-dessous montre le Caribou en base droite pour la plage de Barra. Quelle belle journée pour voler en visuel !
La plage de sable de Barra (EGPR) en vue avec l’avion virtuel DHC-4 Caribou avec MSFS.
Avion virtuel DHC-4 Caribou en finale pour la plage de Barra (EGPR) avec MSFS.
Le DHC-4 se trouve maintenant en courte finale pour la piste de sable. Même s’il s’agit d’un gros bimoteur, ses capacités d’atterrissage et de décollage court font en sorte qu’il n’aura besoin que d’une toute petite portion de la plage qui s’offre à lui.
Aéroport de Barra virtuel (EGPR) et DHC-4 Caribou à l’arrêt en simulation de vol.
Quelques passagers semblent déjà arrivés, à moins que ce ne soient des curieux qui ont entendu l’appareil approcher. Il s’agit certainement d’une très rare visite d’un DHC-4 à Barra!
Avion DHC-4 Caribou virtuel après l’atterrissage sur la plage de Barra (EGPR) avec MSFS.
La direction de l’aéroport refuse de dévoiler la destination de l’appareil. De toute façon, ce ne sera pas la première fois qu’un Caribou effectue des vols spéciaux sur des pistes exigeantes.
Luxe ultime avec lits privés pour les futurs passagers de l’avion virtuel DHC-4 Caribou avec MSFS.
Une dernière photo montre l’intérieur du Caribou. On y constate un luxe impressionnant avec des couchettes disponibles pour les passagers en première classe. On n’arrête pas le progrès !
L’étape 17 de ce tour du monde en simulation de vol s’effectuera entre Barra et Donegal (EIDL) en Irlande du Nord. Le Britten Norman BN2A Trislander MK III virtuel fera le voyage au moyen du simulateur de vol Microsoft Flight Simulator 2020 (MSFS).
Pleine lune vue de l’Église St-Michel à Québec 2023
L’église Saint-Michel de Sillery a remplacé l’ancienne chapelle des Jésuites bâtie à Québec en 1644. Le nouveau bâtiment se trouve maintenant sur un cap qui offre une vue exceptionnelle sur le fleuve Saint-Laurent.
De passage dans le stationnement de l’église pour une session de photographie de nuit, j’ai profité de la sculpture honorant les huit saints martyrs canadiens pour mettre la pleine lune en valeur.
Un des Jésuites me facilitait la tâche car il pointait déjà son doigt vers le ciel. Il ne restait plus qu’à attendre le bon moment pour relier religion et astronomie. Les médias sociaux ont popularisé ce genre de technique en photographie, mais il demeure toujours satisfaisant de réussir une telle photo.
À travers les vidéos sur Youtube, je constate qu’une piste qui suscite de l’intérêt pour un atterrissage difficile se nomme Out Skerries (EG78 or OUK) dans les îles Shetland. En effet, elle ne fait que de 1195 pieds de long.
La minuscule piste d’atterrissage constituera donc la destination pour l’étape #15 de notre tour du monde en simulation de vol avec le simulateur de vol MSFS.
Pour augmenter le plaisir, nous choisissons un bimoteur, appareil plus lourd et qui demande une distance de roulage au sol plus longue.
Nous décollons de Dundee (EGPN) avec un Diamond DA-62 virtuel et arriverons à la tombée du jour. C’est probablement un peu juste pour une courte piste qui n’est pas éclairée, mais nous tentons le coup.
Avion DA-62 au décollage de l’aéroport de Dundee, Écosse, avec Microsoft Flight Simulator.
La vitesse de décrochage du DA-62 en configuration d’atterrissage se situe à 68 nœuds, ce qui nous aidera à réussir notre entreprise. Nous empruntons une trajectoire nordique de 018 degrés pour atteindre les îles à partir de Dundee. La vitesse-sol se situe à environ 155 nœuds pour ce trajet de 250 miles nautiques.
DA-62 virtuel au-dessus de l’Écosse en route pour les îles Shetland.
DA-62 près de Fair Isle dans les îles Shetlands avec Microsoft Flight Simulator.
On doit passer au large de Fair Isle en route pour la destination. J’apprends à travers quelques recherches que le tricot « Fair Isle » demeure un des produits les plus célèbres des îles Shetland. J’imagine que les produits de la pêche demeurent également fort populaires.
Trajectoire de vol vers Out Skerries (EG78) sur les îles Shetland, Écosse.
En approche pour l’aéroport virtuel Out Skerries (EG78) en Écosse avec Microsoft Flight Simulator.
Nous voici en approche pour Out Skerries. L’absence de lumières de piste rend l’opération délicate.
Les collines environnantes bloquent la vue du pilote à basse altitude et ce qui est considéré comme une piste d’atterrissage n’est visible qu’assez tard dans l’approche. On ne trouve pas non plus d’autres aides pour aider à localiser les installations.
Les vents omniprésents viennent compliquer la tâche, de même que le virage en approche. Un des seuils de piste se termine par une falaise prête à recevoir les aviateurs mal préparés.
Après l’atterrissage à Out Skerries (EG78) avec Microsoft Flight Simulator.
On aperçoit le seuil de piste au dernier moment. Étant donné que le DA-62 pèse davantage qu’un monomoteur, on doit compter avec une distance de freinage accrue.
Le contact avec le sol est plus dur que d’habitude, mais sans rebonds. Avec un rebond, le pilote doit absolument remonter et refaire l’approche.
On doit vraiment coller l’appareil au sol au seuil de piste, relever immédiatement les volets tout en tirant le manche pour accroître au maximum l’efficacité du freinage. Dans la vraie vie, on rajouterait que le freinage doit s’effectuer sans barrer les roues.
Je classe cet exercice dans la catégorie des vols virtuels exigeants.
Bateau de pêche autour des îles Shetland avec Microsoft Flight Simulator.
Une fois le vol terminé, l’équipage en profite pour faire une randonnée dans les alentours. De nombreux navires de pêche vont et viennent autour des îles.
Culture de moules autour des îles Shetland en Écosse avec Microsoft Flight Simulator
On aperçoit même des installations qui permettent la culture des moules.
Lors du prochain vol, nous nous dirigerons vers l’aérodrome de Barra (EGPR). Il est situé en Écosse, dans les Hébrides extérieures. C’est le seul aéroport au monde « où des services réguliers atterrissent sur une plage ». On regardera l’heure des marées avant le décollage…
Effet d’un brouillard d’inversion sur les types d’architecture à Québec.
Théorie de la photographie
En mars, une vague de chaleur envahit la ville de Québec alors que se trouve encore de la neige au sol. L’air chaud qui flotte au-dessus de la neige favorise l’apparition de brouillard ou de brume par endroit. Mais si le vent se lève, même un peu, la visibilité s’améliora rapidement.
Pour les amateurs de photographie de nuit, c’est le temps de s’activer ! J’arrive sur Grande-Allée au moment où le brouillard commence à se dissiper. La scène présente plusieurs types de contrastes. La visibilité varie selon différentes hauteurs et en présence de bâtiments au style très différent.
Je me place de sorte que la vieille maison se trouve directement devant l’immeuble plus moderne. En cadrant serré, j’élimine toutes les distractions. Le léger brouillard accentue l’impact des nombreuses lumières de la tour. Cela augmente d’autant plus l’effet clair-obscur. Une heure plus tard, il ne reste aucune trace du brouillard. Cliquez sur le lien pour d’autres photos de Québec et de l’île d’Orléans au printemps sur mon blogue.
La photo ci-dessus représente l’usine Papiers White Birch à Québec. J’ai pris le cliché à main levée avec un appareil-photo plein format Canon 5 dsr muni d’un objectif Canon EF 85 mm f/1.2L II.
Qu’est-ce que l’intelligence artificielle pense d’une scène industrielle? Voici sa définition: « Une scène industrielle peut évoquer une variété de sentiments, souvent liés à l’environnement urbain et à l’activité humaine. Pour certains, elle peut inspirer une sensation de puissance et de dynamisme, en raison de l’énergie et de l’activité qui y règnent. D’autres peuvent ressentir une mélancolie ou une nostalgie en pensant à l’impact de l’industrialisation sur l’environnement et les communautés.
Les textures, les couleurs et les formes des structures industrielles peuvent également susciter un sentiment d’étrangeté ou de beauté brute. En somme, les émotions que peut générer une scène industrielle dépendent largement de la perspective de chacun. »
Théorie de la photographie
Sur le fichier RAW original, les couleurs s’estompaient faute de luminosité suffisante, empêchant d’obtenir l’impact dramatique recherché. Un traitement numérique de l’image s’imposait.
J’ai choisi un ton unique bleu acier pour accentuer l’effet d’étrangeté, prévenir les distractions de toutes sortes et mettre en valeur la tour centrale, les colonnes de fumée et les contrastes lumineux autour des installations.
De façon à respecter l’ancienneté des bâtiments de Papiers White Birch, j’ai conservé un grain numérique passablement élevé. Polir une image à outrance lui confère davantage de modernité, ce que je souhaitais éviter.