Il y a dix ans cette anne, nous prenions le train qui mène la plus haute gare d’Europe.
Cette dernière se situe dans le col du Jungfraujoch en Suisse, une altitude de 3571 mètres (11 716 pieds MSL).
La construction de cette gare fut l’poque une prouesse d’ingnierie, mais coûta la vie de nombreux travailleurs. On ne fait pas son chemin coups de bâtons de dynamite l’intrieur d’une chaîne de montagnes sans qu’ l’occasion la nitroglycrine impose un ordre du jour imprvu.
Le train ne peut donc accder cette gare qu’en circulant l’intrieur des montagnes sur une pente abrupte ncessitant un mcanisme hydraulique pour tirer le train vers l’avant. Le touriste doit faire confiance aux ingnieurs et au soutien technique…
Pour me remmorer notre voyage dans cette rgion, j’ai pens effectuer un vol virtuel en hlicoptère en partant de Lauterbrunnen pour atterrir directement sur la plateforme de l’observatoire astronomique du Sphinx, cette attraction touristique du Jungfraujoch connu dans le monde entier. Heureusement pour moi, la compagnie Red Wing Simulations a rcemment cr une scène virtuelle incluant ces deux magnifiques sites.
Les amateurs de simulation de vol auront intrêt utiliser le Bell 407, car la limite d’utilisation du Guimbal Cabri G2 fourni par le simulateur de vol Microsoft plafonne 13 000 pieds. Il est prfrable de voler avec un appareil un peu plus puissant quand on manœuvre cette altitude.
D’un paysage verdoyant en t on passe graduellement aux neiges ternelles des sommets les plus levs dans le Valais.
Le paysage tait spectaculaire en train et il l’est tout autant en vol virtuel. Un problème mcanique avec l’hlicoptère dans cet environnement constitu de falaises grandioses ne laisserait que peu de chances au pilote.
Nous voici en approche : il est possible d’atterrir sur la plateforme de l’observatoire du Sphinx, mais il faut se prparer pour les cisaillements de vent et les nuages imprvus cette altitude tout en prenant soin lors de l’approche d’viter de toucher avec la queue de l’hlicoptère le mât du drapeau et les clôtures de protection entourant la plateforme.
La compagnie Red Wing Simulations a fait un travail de conception remarquable pour cette scène virtuelle. Dans la photo ci-dessous, on peut même observer au bas de la falaise des skieurs qui se rchauffent avant d’entamer leur première descente.
Même si la scène virtuelle comprend autre chose que Lauterbrunnen et le Jungfraujoch, il demeure que le plaisir d’effectuer une approche russie sur la plateforme du Sphinx vaut lui seul le coût d’acquisition du logiciel.
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