Normalement on emploie le ratio 3 : 2 ou 4 : 3 pour afficher dans le mode vertical. Mais le format 16 : 9 de la photo ci-dessus permet de montrer autant les rverbrations dans l’eau qu’une portion significative du paysage. Donc, peu importe les conventions et ce qui rend les puristes heureux, on utilise ce qui rend justice notre impression première.
Qu’est-ce qui a retenu mon attention dans cette scène ? La très large gamme des tons de vert, l’alternance des parties claires et des rgions ombrages dans le paysage et les reflets, la rondeur des feuillus et les pointes des conifères, l’atmosphère de l’endroit et, enfin, la prsence humaine. Cela s’observe en une fraction de seconde et le clich se prend avant que le canot se retrouve dans la zone ombrage gauche.
La photo ci-dessus montre un chalet historique dans le parc national de la Jacques-Cartier au printemps. On ne peut plus le louer, mais il constitue un atout pour les amateurs de photographie. À cet endroit, l’utilisation de la planche pagaie se fait sans danger cause d’un courant vraiment faible.
Durant la même journe et sur la même rivière, mais quelques kilomètres en amont, des gens tentent pour la première fois une descente dans une embarcation gonflable sur un plan d’eau plus mouvement.
Le premier groupe se lance alors que le deuxième observe en attendant son tour et en tentant d’apprendre des erreurs des autres. Il arrive que les pagayeurs restent pris sur le dessus d’une roche plate fleur d’eau ; ils doivent alors faire preuve d’initiative pour se librer et poursuivre leur trajet. Parfois, des canotiers se retrouvent l’eau et le personnel de la Spaq https://www.sepaq.com/ doit les dpanner.
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