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Simulation de vol: le Cessna 185F C-GNWA de North-Wright Airways Ltd

Cessna 185F virtuel C-GNWA en finale pour Roberts Lake (CRL8) en Ontario
Cessna 185F virtuel C-GNWA en finale pour Roberts Lake (CRL8) en Ontario

Ce Cessna 185F virtuel est actuellement en finale pour Roberts Lake (CRL8) en Ontario. À cause des vents dominants au moment du vol, j’ai dû faire une approche basse au-dessus de la piste de l’aéroport de Parry Sound (CNK4). La météo réelle était téléchargée de l’internet.

Comme vous pouvez le constater, il y avait de la mauvaise météo près de l’aéroport. Considérant la nuit qui approchait, ce fût le dernier vol de la soirée.

C-GNWA appartient à la compagnie North-Wright Airways Ltd, basée à Norman Wells dans les Territoires du Nord-Ouest. Ce Cessna 185F a été construit en 1977.

FSX est la plateforme de simulation de vol qui a été utilisée. Les nuages virtuels sont une combinaison de REX (Texture Direct et Soft Clouds) et Cumulus X. La capture d’écran a été légèrement éditée au moyen d’un logiciel de traitement de l’image de façon à optimiser les contrastes et la luminosité.

Vlad Maly, qui est décédé en 2016, était le créateur de cette scène virtuelle combinant Parry Sound et Roberts Lake. Elle est vendue par la compagnie Orbx.

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Du Chili vers Rothera, Antarctique, avec le Twin Otter de la société BAS et le simulateur de vol FSX

Vue aérienne de la station de recherche de Rothera en Antarctique.
Vue aérienne de la station de recherche de Rothera en Antarctique.

Pour ce vol, vous avez obligatoirement besoin du logiciel de simulation de vol Antarctica X créé par Aerosoft.

Les Twin Otters et le Dash-7 de la société BAS sont entretenus à Calgary, au Canada, et volent vers l’Antarctique durant l’été austral, entre Octobre et Mars. Donc si vous souhaitez simuler un vol avec un Twin Otter ou un Dash-7 entre le Chili et l’Antarctique, choisissez un de ces mois pour plus de réalisme.

Étant donné qu’il serait un peu long de faire tous les vols virtuels normalement effectués du Canada vers l’Antarctique, j’ai plutôt choisi d’effectuer les trois derniers vols, pour voir de quoi le paysage a l’air.

Le Twin Otter est normalement approuvé pour un décollage avec poids maximal de 12,500 livres. Mais avec des skis pesant 800 livres et du carburant supplémentaire requis pour des trajets anormalement longs, la société BAS (British Antarctic Survey) s’est organisée pour faire certifier leurs Twin Otters à un poids maximal de 14,000 livres. Même à ce poids, l’avion peut toujours continuer à voler sur un moteur.

Le premier vol consiste en un trajet entre l’aéroport de La Florida (SCSE) au Chili et l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt (SCTE) également au Chili. La Florida est une escale obligée pour ravitaillement en carburant.

Décollage de La Florida, Chili, après un plein d'essence.
Décollage de La Florida, Chili, après un plein d’essence.

Ce vol avec le Twin Otter dure environ 4 :25 heures (696 nm) avec un cap de 185 degrés.

En vol vers El Tepual de Puerto Montt, Chili.
En vol vers El Tepual de Puerto Montt, Chili.

Pour améliorer le paysage, je me suis servi des logiciels FTX Global, FTX Vector et Pilot’s FS Global 2010. Orbx a également retravaillé l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt pour inclure quelques personnes, des avions et de nouveaux bâtiments. Cela rend la destination plus intéressante.

Twin Otter en finale pour El Tepual de Puerto Montt, Chili.
Twin Otter en finale pour El Tepual de Puerto Montt, Chili.
Prêt pour le ravitaillement à l'aéroport de El Tepual de Puerto Montt, Chili
Prêt pour le ravitaillement à l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt, Chili

Le prochain vol se fait entre l’aéroport de El Tepual de Puerto Montt (SCTE) et celui de Punta Arenas (SCCI), les deux au Chili.

Avion Twin Otter au décollage vers Punta Arenas, Chili.
Avion Twin Otter au décollage vers Punta Arenas, Chili.

Ce vol, effectué à travers les Andes, demande absolument une belle météo. Vous devrez monter jusqu’à 17,000 pieds pour faire un trajet direct entre les deux aéroports.

Twin Otter au-dessus des Andes en montée pour 17,000 pieds
Twin Otter au-dessus des Andes en montée pour 17,000 pieds

Des vues spectaculaires s’offrent souvent au pilote virtuel durant le trajet. Le Twin Otter de la BAS n’est piloté que par un seul pilote mais celui-ci est toujours accompagné d’une autre personne.

Avion Twin Otter en rapprochement pour Punta Arenas, Chili.
Avion Twin Otter en rapprochement pour Punta Arenas, Chili.

N’oubliez pas d’appauvrir le mélange air/essence durant la montée. Utilisez également de l’oxygène supplémentaire (!!) si vous ne voulez pas commencer à divaguer et voler en cercles après une heure de vol. Pensez à enrichir le mélange lors de la descente, considérant que vous perdrez pratiquement 17,000 pieds.

Plein de carburant à Punta Arenas, Chili.
Plein de carburant à Punta Arenas, Chili.

La version originale de l’aéroport Punta Arenas, telle qu’elle se trouve dans FSX, n’est vraiment pas très intéressante. L’aéroport est dénudé, ne présentant qu’un seul bâtiment et un VOR.

Mais étant donné que le pilote de la société BAS effectue toujours ce trajet obligatoire avant de s’envoler pour l’Antarctique, j’ai choisi de ne pas changer le trajet. Le vol vers Punta Arenas a suivi une direction moyenne de 164 degrés et la durée a été d’environ 4 :28 heures. Vous pouvez bien sûr accélérer le processus une fois l’aéronef établi en vol de croisière.

Le dernier vol a été de Punta Arenas, au Chili, vers Rothera en Antarctique.

Avion Twin Otter en route pour l'aéroport de Rothera en Antarctique.
Avion Twin Otter en route pour l’aéroport de Rothera en Antarctique.

Le Twin Otter prend entre six et sept heures, sur un cap de 162 degrés, pour couvrir la distance entre Punta Arenas (SCCI) et Rothera (EGAR).

Au-dessus des sommets enneigés du Chili, en route vers Rothera, Antarctique
Au-dessus des sommets enneigés du Chili, en route vers Rothera, Antarctique
Transport d'une réserve de carburant en route pour Rothera, Antarctique.
Transport d’une réserve de carburant en route pour Rothera, Antarctique.

La piste de l’aéroport de Rothera est faite de gravier et mesure 2953 pieds, suffisamment longue pour le Twin Otter et le Dash-7. Avant d’effectuer le vol, allez dans votre fichier de simulateur de vol « aerosoft/Antarctica X » et cliquez sur l’option LOD 8.5 (le programme est réglé de base sur un LOD 4.5). Vous obtiendrez ainsi une définition supérieure lorsque vous approchez l’Antarctique.

La station de recherche antarctique de Rothera est en vue
La station de recherche antarctique de Rothera est en vue
Avion Twin Otter en finale pour Rothera, Antarctique.
Avion Twin Otter en finale pour Rothera, Antarctique.

La revue Airliner World a publié en mars 2017 un excellent article sur les opérations de la société BAS en Antarctique. On y trouvait de multiples photos très intéressantes et des explications détaillées sur ce que doivent anticiper les pilotes et le personnel travaillant pour la société BAS. J’ai comparé l’aéroport virtuel de Rothera avec les photos du vrai aéroport fournies par Airliner World et j’ai été étonné par le niveau de ressemblance et la précision des détails.

Avion Twin Otter de la British Antarctic Survey atterrissant sur la piste de Rothera, Antarctique
Avion Twin Otter de la British Antarctic Survey atterrissant sur la piste de Rothera, Antarctique

La société BAS est toujours prête pour les surprises : « Elle maintien un inventaire de pièces de $5m, incluant un moteur de rechange pour chaque aéronef, des hélices supplémentaires et des composants pour le train d’atterrissage ».

Avion Twin Otter de la BAS après un atterrissage sur la piste de Rothera, Antarctique
Avion Twin Otter de la BAS après un atterrissage sur la piste de Rothera, Antarctique

« Un nouveau développement pour l’Air Unit a été son association avec la RAF, utilisant un avion de transport C-130 Hercules pour parachuter du matériel sur le champs d’opérations. Ils volent de Punta Arenas et parachutent du carburant pour aider à notre programme de recherche sur le Ronne Ice Shelf. […] Cela fait partie de le système d’entraînement et la précision de leur parachutage est très impressionnante. Ils peuvent parachuter 250 barils de carburant, pensez au nombre de voyages de Twin Otter que cela aurait représenté pour nous (48 ou plus de 400 heures de vol) ».

Le hangar principal de Rothera, Antarctique.
Le hangar principal de Rothera, Antarctique.

La compagnie Aerosoft a fait un excellent travail pour répliquer Rothera, la station de recherche principale de la société BAS en Antarctique. Le hangar principal peut accomoder en même temps trois Twin Otters et un Dash-7.

Intérieur du hangar principal de la station de recherche de Rothera, Antarctique.
Intérieur du hangar principal de la station de recherche de Rothera, Antarctique.

Lorsque votre vol sera complété, n’oubliez pas de cliquer de nouveau sur LOD 4.5 pour l’Antarctique dans votre fichier aerosoft/Antarctica X.

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Simulation de vol: un MD-11 de FedEx en approche pour l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

L’amateur de simulation de vol aura du plaisir à tenter ce court vol (14 minutes) entre l’aéroport virtuel de Eagle County (KEGE) et l’aéroport virtuel de Telluride (KTEX). Le vol virtuel, sous FSX, a été effectué durant l’hiver, plus précisément le 8 janvier (pour ceux qui voudraient répéter l’expérience). Les photos ci-dessous représentent une idée de ce qu’il est possible d’observer en route pour Telluride. Une altitude de 14,000 pieds devrait suffire….

MD-11 de FedEx roule à l'aéroport d'Eagle County (KEGE) (FSX)
MD-11 de FedEx roule à l’aéroport d’Eagle County (KEGE) (FSX)
MD-11 de FedEx au décollage de l'aéroport de Eagle County (KEGE) (FSX)
MD-11 de FedEx au décollage de l’aéroport de Eagle County (KEGE) (FSX)
MD-11 de FedEx en route de Eagle County airport (KEGE) vers Telluride (KTEX) (FSX)
MD-11 de FedEx en route de Eagle County airport (KEGE) vers Telluride (KTEX) (FSX)

Il y a beaucoup de belles montagnes entre KEGE et Telluride, et aussi une météo passablement imprévisible…

MD-11 de FedEx entre l'aéroport de KEGE et celui de KTEX (FSX)
MD-11 de FedEx entre l’aéroport de KEGE et celui de KTEX (FSX)

Le plafond prévu à Telluride était de 8500 ft. En route vers l’aéroport, les nuages et la visibilité obscurcissaient parfois les montagnes.

MD-11 de FedEx sur un trajet Eagle County (KEGE) Telluride (KTEX) (FSX)
MD-11 de FedEx sur un trajet Eagle County (KEGE) Telluride (KTEX) (FSX)

Telluride est un aéroport invitant pour un MD-11. La piste de 7000 pieds ne représente pas un grand défi, même si avec sa largeur de 100 pieds elle demeure un peu étroite : cet avion exige normalement une piste d’atterrissage de 150 pieds de large.

L’approche VFR virtuelle faite avec le MD-11 constituait la façon la plus dispendieuse de faire le voyage étant donné qu’elle exigeait un vol par le travers de Telluride suivi d’un virage de 270 degrés vers la droite pour un alignement piste 09.

MD-11 de FedEx passe par le travers de l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
MD-11 de FedEx passe par le travers de l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

Le virage de 270 degrés a été effectué avec un angle variant entre 10 et 20 degrés pendant que l’altitude passait de 14,000 à 10,000 pieds de façon à éviter toute manœuvre radicale. Pendant le virage et la descente, la vitesse a progressivement été réduite à 160 kts. Le MD-11 était maintenant établi en finale avec les volets réglés à 50 degrés.

Un MD-11 de FedEx en longue finale piste 09 pour l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Un MD-11 de FedEx en longue finale piste 09 pour l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

La piste d’atterrissage en altitude de 9078 pieds au-dessus du niveau de la mer signifiait que le pilote devait considérer une densité de l’air plus faible et ajuster la vitesse de l’appareil en conséquence pour éviter un décrochage en finale.

Un MD-11 de FedEx en finale piste 09 pour l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Un MD-11 de FedEx en finale piste 09 pour l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

Voici une vue à partir de la tour de Telluride…

Vue à partir de l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX) d'un MD-11 de FedEx en finale piste 09
Vue à partir de l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX) d’un MD-11 de FedEx en finale piste 09

Avec une vue comme celle-là, pas question d’arriver en mode IFR…!

Un MD-11 de FedEx en provenance de KEGE en finale pour l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Un MD-11 de FedEx en provenance de KEGE en finale pour l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

De façon à prévenir une approche manquée et des dépenses supplémentaires en carburant (qui étaient déjà anormalement élevées), une approche optimale était requise.

La plupart des accidents impliquant un MD-11 se produisent lorsque le pilote pousse sur le manche lorsqu’il y a un rebond de la roue avant, créant ainsi un rebond supplémentaire encore plus prononcé. Lorsqu’il y a un rebond, il n’est pas nécessaire d’appuyer sur le manche : il suffit d’attendre que l’avion se stabilise et la roue de nez redescendra d’elle-même rapidement.

Un MD-11 de FedEx au-dessus du seuil de piste 09 à l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Un MD-11 de FedEx au-dessus du seuil de piste 09 à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

C’est le moment du freinage maximal et des inverseurs de poussée

Un MD-11 de FedEx en freinage piste 09 à l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Un MD-11 de FedEx en freinage piste 09 à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

Le MD-11 peut facilement quitter la piste à la première voie de circulation à Telluride. Mais dans le but de capturer une meilleure vue de l’aéroport, j’ai utilisé la dernière voie de circulation (ajoutant encore un peu aux dépenses extravagantes en carburant)…

Un MD-11 de FedEx quitte la piste 09 à l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Un MD-11 de FedEx quitte la piste 09 à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

L’employé sur la rampe semble se demander si l’aile du MD-11 risque d’accrocher le jet d’affaires N900SS en circulant. Mais il y avait suffisamment d’espace (environ 11 pouces!).

Un MD-11 de FedEx circule sur la rampe à l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Un MD-11 de FedEx circule sur la rampe à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

Le MD-11 a été stationné temporairement à un endroit privilégié de l’aéroport. Il a été nécessaire de décharger rapidement le précieux cargo et dégager l’aire de ravitaillement.

Stationnement temporaire improvisé pour un MD-11 de FedEx à l'aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)
Stationnement temporaire improvisé pour un MD-11 de FedEx à l’aéroport de Telluride (KTEX) (FSX)

De l’aide de professionnels sera requise pour aider à déplacer le MD-11 et le ramener vers la piste. Mais cela est le problème du gestionnaire de l’aéroport qui a promis d’avoir l’équipement nécessaire au moment des communications avec FedEx!

MD-11 de FedEx stationné à l'aéroport de Telluride (FSX)
MD-11 de FedEx stationné à l’aéroport de Telluride (FSX)

La scène virtuelle, du départ jusqu’à la destination, est une création des programmeurs de la compagnie ORBX. Le MD-11 virtuel provient de PMDG Simulations (je ne suis pas certain que l’appareil fonctionne sous P3D). Le moteur météo est conçu par REX Simulations, qui est également le fournisseur des textures de nuages, en combinaison avec Cumulus X.

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Simulation de vol (FSX): un C-17A à l’aéroport de Block Island (KBID) aux États-Unis

Alex Geoff, le concepteur de l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) de ORBX a demandé aux enthousiastes de simulation de vol de tenter d’utiliser le plus gros appareil possible sur cet aéroport dont la piste ne fait que 2502 pieds.

Avion militaire canadien C17-A prêt pour le décollage piste 10 à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A prêt pour le décollage piste 10 à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)

Naturellement, il est ici question de vol virtuel. Il faut donc pardonner l’atterrissage d’un appareil qui, dans la vraie vie, détruirait la piste sans compter les nombreux arbres qu’il faudrait tailler si l’avion utilisait la voie de circulation après l’atterrissage. Et j’oubliais également les pilotes et le gérant d’aéroport qu’il faudrait renvoyer suite à l’autorisation de la manœuvre.

Le contexte du vol étant donc présenté, voici les données qui permettront aux amateurs de vol virtuel de retenter le circuit à l’aéroport de Block Island avec un C-17A de Virtavia.

Contrairement aux appareils de type Cessna qui utilisent généralement l’aéroport, la masse de mon C-17A militaire canadien était de 405,000 livres. Le carburant a été ajusté à 50% dans les réservoirs extérieurs et intérieurs. Les deux pilotes ont accepté de sauter le dîner, de façon à ne pas ajouter de poids supplémentaire à l’appareil…

Les volets étaient ajustés à 2/3. J’ai reculé l’avion jusqu’en tout début de piste, appliqué les freins, pousser la manette des gaz à fond, attendu la montée du régime maximal, relâché les freins et profité de l’effet de sol pour arracher l’appareil du sol au tout dernier moment. Le décollage s’est fait sur la piste 10 par vent de travers de 12 nœuds et avec un angle de 70 degrés par rapport à la piste.

Avion militaire canadien C17-A décolle piste 10 à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A décolle piste 10 à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)

Par la suite, quatre virages à droite successifs ont été effectués : 190°, 280°, 010° et 100°. Lors du vol, l’altitude de l’appareil n’a pas dépassé 2000 pieds.

Avion militaire canadien C17-A vire vent arrière piste 10 à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A vire vent arrière piste 10 à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)

Les roues et les pleins volets étaient sortis en base de façon à ne pas avoir à faire trop de réglages en finale.

Avion militaire canadien C17-A en base piste 10 à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A en base piste 10 à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A en longue finale piste 10 à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A en longue finale piste 10 à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A en finale piste 10 à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A en finale piste 10 à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)

La vitesse est éventuellement descendue à 128 nœuds et, alors que l’appareil était encore à deux pieds dans les airs, les aérofreins ont été sortis. Les inverseurs de poussée ont été activés au maximum (pression continue sur F2) juste avant de toucher le sol puisqu’ils prennent du temps à faire effet. Normalement ça ne se fait pas et vous pouvez donc activer les inverseurs directement lors du toucher au sol, vous ne perdrez qu’une seconde. Les roues du train principal ont touché le tout début de la piste et le freinage maximal a alors été engagé.

Avion militaire canadien C17-A atterri piste 10 à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A atterri piste 10 à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)

Il a été possible de sortir sur la voie de circulation sans avoir à remonter la piste. L’environnement passant encore en deuxième, quelques arbres avaient été taillés pour ne pas qu’il y ait contact avec les ailes de l’appareil.

Avion militaire canadien C17-A quitte la piste 10 à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A quitte la piste 10 à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A sur la voie de circulation à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A sur la voie de circulation à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)

Si vous tentez l’expérience, pensez à sauvegarder le vol lorsque vous êtes en finale, au cas où vous ne seriez pas satisfait de votre performance à l’atterrissage (avion endommagé, maisons et véhicules du voisinage détruits, incendie d’une partie de la forêt au bout de la piste 10, victimes collatérales, etc.).

Avion militaire canadien C17-A à l'aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)
Avion militaire canadien C17-A à l’aéroport virtuel de Block Island (KBID) aux États-Unis (FSX)

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Simulation de vol: un Boeing B-52 de Montréal vers Anchorage, Alaska

Boeing B-52 (FSX) au décollage de Montréal Pierre-Elliott-Trudeau Intl vers Anchorage, Alaska
Boeing B-52 (FSX) au décollage de Montréal Pierre-Elliott-Trudeau Intl vers Anchorage, Alaska
Boeing B-52 (FSX) entre deux couches de nuages au-dessus de Montréal
Boeing B-52 (FSX) entre deux couches de nuages au-dessus de Montréal

Le B-52 est une création de CaptainSim et la scène virtuelle de l’aéroport de Montréal provient de la compagnie FlyTampa, et tout le reste du paysage provient de la compagnie ORBX. Voici quelques infos de base pour ceux qui seraient tentés de faire un vol avec le B-52 immédiatement après le téléchargement. Pour le décollage: pitot heat, 100% volets baissés, YAW SAS Switch Engage, stabilisateur ajusté, plein pouvoir en-dedans de quatre secondes, montée entre 1500 et 2000 ft/min. La montée avec volets baissés se fait à 180 kts. Ajustez le pouvoir de façon à avoir suffisamment de temps pour rentrer les volets complètement (utilisez 230 kts pour zéro degré de volets). Une fois en vol, freinez pour arrêter la rotation des roues puis remontez le train d’atterrissage (cependant, ne pas le faire avant d’avoir atteint 1000 ft agl).

B-52 en vol de croisière (FSX)
B-52 en vol de croisière (FSX)
Boeing B-52 en rapprochement pour Anchorage, Alaska (FSX)
Boeing B-52 en rapprochement pour Anchorage, Alaska (FSX)
Boeing B-52 avec volets et train sortis sur l'approche pour Anchorage (FSX)
Boeing B-52 avec volets et train sortis sur l’approche pour Anchorage (FSX)

Pour une descente normale: (note: il faut se garder environ 20 kts de plus que la vitesse proposée lorsque l’avion est en virage). La descente se fait à 240 kts, avec aérofreins 4, train sorti, manette des gaz à zéro. À 220 kts, vous pouvez commencer à sortir les volets (prend 60 secondes pour avoir pleins volets). En vent arrière, 153 kts avec aérofreins 4 (pour 225,000 lbs). Pas de virages à plus de 30 degrés. Le roulé au sol ne doit pas excéder 133 kts.

Boeing B-52 avec piste en vue à Anchorage (FSX)
Boeing B-52 avec piste en vue à Anchorage (FSX)
Boeing B-52 et parachute sur l'arrivée à Anchorage (FSX)
Boeing B-52 et parachute sur l’arrivée à Anchorage (FSX)
Boeing B-52 quitte la piste à Anchorage (FSX)
Boeing B-52 quitte la piste à Anchorage (FSX)

Le touché des roues se fait à environ 110 kts IAS, avec les aérofreins entièrement déployés. Le parachute est alors sorti (jamais au-dessus de 135 kts). Il ne faut cabrer l’appareil que très légèrement. Au moment de circuler, mettre les interrupteurs de lacet et des aérofreins à «OFF». Voilà pour les infos sommaires. En passant, lorsque le parachute est déployé, vous ne verrez pas de différence dans la distance de freinage; il n’est là que pour la réalité graphique.

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Simulation de vol : les aéroports de « Tapini» en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)

Un DHC-6 Twin Otter virtuel en route pour Kokoda après un feu sur le moteur droit au départ de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-6 Twin Otter virtuel en route pour Kokoda après un feu sur le moteur droit au départ de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Ken Hall et Tim Harris ont créé une nouvelle scène virtuelle pour les amateurs de simulation de vol. Elle se nomme « Tapini» et est vendue par ORBX. Leur avant-dernière création, AYPY Jackson’s International, permettait aux pilotes virtuels de voler vers des aéroports virtuels très exigeants le long de la Kokoda Trail en Papouasie Nouvelle-Guinée. « Tapini » représente un tout nouveau défi et j’ai inclus plusieurs captures d’écran pour vous donner une impression générale des différentes pistes incluses dans cette nouvelle scène virtuelle.

« Tapini », toujours en Papouasie Nouvelle-Guinée, permet aux pilotes virtuels de se mesurer aux défis présentés par sept nouvelles pistes d’atterrissage dans la chaîne de montagnes Owen Stanley. Ces aéroports constituent également un sérieux test pour les aéronefs, comme dans la photo ci-dessus où des dommages au moteur droit ont été subis à Yongai.

Un Piper Pacer virtuel s'apprête à atterrir sur la piste courbée d'Ononge (ONB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX). (Il est possible de voir la courbe débutant au haut de l'image)
Un Piper Pacer virtuel s’apprête à atterrir sur la piste courbée d’Ononge (ONB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX). (Il est possible de voir la courbe débutant au haut de l’image)

Pour améliorer les nuages virtuels lors des voyages entre les différents aéroports, j’ai utilisé les moteurs météo REX ou FSGRW. Les textures de nuages et les effets météo ont été améliorés par un ou plusieurs des produits suivants : CumulusX, PrecipitFX, REX Texture Direct et REX Soft Clouds.

Un Dash 7 virtuel après son atterrissage sur l'aéroport de Woitape (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Dash 7 virtuel après son atterrissage sur l’aéroport de Woitape (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Comme il y a du plaisir dans la variété, et également dû aux défis posés par les différentes pistes, les avions virtuels suivants ont été utilisés : Carenado C-185F, Lionheart Creations PA-18, Virtavia DHC-4, Aerosoft DHC-6 Twin Otter et Milton Shupe De Havilland DHC-7.

La scène « Tapini » offre au pilote la sélection des sept pistes suivantes :

ASB (Asimba)

Une piste difficile et très courte près d’une rivière

Un DHC-4 Caribou virtuel en approche pour la piste en pente d'Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel en approche pour la piste en pente d’Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Il s’agit d’une piste très intéressante où un avion ADAC tel que le DHC-4 Caribou est approprié. Les habitants doivent cependant offrir leur aide pour vous aider à dégager quelques branches près de la piste et qui sont susceptibles de nuire à un appareil de cette taille. La piste est en pente vers le bas pour le décollage, ce qui aide l’avion à gagner de la vitesse plus rapidement.

Un DHC-4 Caribou virtuel au sol sur la piste d'Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel au sol sur la piste d’Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel décolle de la piste en pente d'Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel décolle de la piste en pente d’Asimba (ASB) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

FNE (Fane)

Une piste en pente de 12 degrés présentant un vrai défi. Des vents imprévisibles soufflent sur cette piste à sens unique située en haut d’une colline.

Un avion virtuel De Havilland DHC-7 est en approche pour un atterrissage sur la piste en pente de l'aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX).
Un avion virtuel De Havilland DHC-7 est en approche pour un atterrissage sur la piste en pente de l’aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX).

La piste est située au-dessus d’une colline. Atterrir sur cette piste est une expérience vraiment intéressante : pas étonnant qu’il y ait autant de personnes surveillant les arrivées et départs.

Si vous ralentissez trop rapidement après l’atterrissage sur cette piste en pente avec un avion tel que le DHC-7, les douze degrés empêcheront l’appareil de continuer à se déplacer vers l’avant. Vous devrez alors laisser l’avion redescendre doucement la pente en utilisant le pouvoir des moteurs pour contrôler la descente. Le palonnier sera utilisé pour demeurer aligné avec la piste. Il s’agira ensuite d’appliquer de nouveau la pleine puissance pour quelques secondes, juste assez pour franchir la pente.

Un avion virtuel De Havilland DHC-7 circule après un atterrissage sur la piste en pente de l'aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un avion virtuel De Havilland DHC-7 circule après un atterrissage sur la piste en pente de l’aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Pour circuler au sol et replacer le DHC-7 pour le décollage, une combinaison de pouvoir et de poussée inverse est nécessaire jusqu’à ce que tous les obstacles aient été évités (les humains s’aventurant à l’arrière de l’appareil pendant la procédure pourraient être affectés…).

Un avion virtuel De Havilland DHC-7 décolle de la piste en pente de l'aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un avion virtuel De Havilland DHC-7 décolle de la piste en pente de l’aéroport de Fane (FNE) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Il y a un homme qui n’a pas l’air trop amical et qui tient une carabine près de la zone d’embarquement. Même le personnel des Nations-Unies n’a pas jugé bon de s’éterniser…

KGH (Yongai)

Une piste très bosselée et à sens unique. Un vrai avion de brousse est ici requis!

Un DHC-6 Twin Otter virtuel en approche pour la piste bosselée de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-6 Twin Otter virtuel en approche pour la piste bosselée de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Même avec un très bon avion de brousse, il est possible qu’une des hélices de l’appareil touche le sol au moment de circuler sur cette piste vraiment spéciale. Il y a tellement de trous profonds et de bosses qui sont difficiles à voir que je ne peux que souhaiter bonne chance à toute personne s’aventurant sur cet aéroport!

Un DHC-6 Twin Otter virtuel au sol sur la piste de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-6 Twin Otter virtuel au sol sur la piste de Yongai (KGH) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Portez une attention particulière à la zone près de la petite maison en fin de piste. Le DHC-6 a vraiment été secoué en effectuant les manœuvres pour se repositionner pour le décollage. Une des hélices a touché le sol, mais il n’y avait pas de signes de problème sérieux… jusqu’à ce que l’avion redécolle. L’alarme de feu a retenti juste au moment où l’appareil franchissait le seuil de piste.

Un DHC-6 Twin Otter virtuel avec le moteur droit en feu au décollage de Yongai en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-6 Twin Otter virtuel avec le moteur droit en feu au décollage de Yongai en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Il a donc fallu abandonner le voyage prévu. Et pas question de retourner à Yongai sur un moteur. J’ai tiré la manette pour éteindre le feu, mis l’hélice en drapeau et coupé l’alimentation en carburant sur le moteur droit pour ensuite me diriger vers l’aéroport de Kokoda étant donné qu’il s’agissait d’un déroutement sûr dû au fait que la piste est suffisamment longue et à une altitude beaucoup plus basse que Yongai.

KSP (Kosipe)

Une piste relativement courte qui requiert des calculs précis de la part du pilote étant donné sa haute altitude dans les montagnes.

Un Cessna C-185F virtuel en route pour l'aéroport de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Cessna C-185F virtuel en route pour l’aéroport de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Le Cessna C-185F est très approprié pour cette courte piste. Assurez-vous de ne pas appuyer trop fortement sur les freins à l’arrivée, car les hélices de C-185 sont difficiles à trouver à Kosipe. Vous pouvez atterrir dans les deux directions. Le mélange air/essence doit être absolument ajusté, car l’aéroport se trouve à plus de 6300 pieds.

Un Cessna C-185F virtuel à l'atterrissage sur la piste de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Cessna C-185F virtuel à l’atterrissage sur la piste de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Cessna C-185F virtuel au décollage de la piste de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un Cessna C-185F virtuel au décollage de la piste de Kosipe (KSP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

ONB (Ononge)

Une piste courbée et très bosselée. Pour ceux qui aiment les vols en rase-mottes. Assurez-vous de choisir le bon appareil, car il n’y a pas beaucoup de place pour manœuvrer une fois au sol.

Un Piper Pacer virtuel en approche pour la piste courbée d'Ononge (ONB) en Papouasie-Nouvelle Guinée PNG (FSX)
Un Piper Pacer virtuel en approche pour la piste courbée d’Ononge (ONB) en Papouasie-Nouvelle Guinée PNG (FSX)

Ononge est assez impressionnant lorsqu’on se présente en finale pour la première fois. On se demande si la petite trace de terre sur le dessus de la colline peut vraiment être une piste d’atterrissage. Pour ce genre de situation, le Piper Pacer est un excellent avion : il peut approcher très lentement et s’immobilise sur une courte distance. La piste étant courbée, il est nécessaire d’utiliser un peu de palonnier pour maintenir l’avion au milieu de la piste.

A Virtual Piper Pacer on the Ononge curved runway in Papua New Guinea PNG (FSX)
A Virtual Piper Pacer on the Ononge curved runway in Papua New Guinea PNG (FSX)

J’imagine que tous ces gens avec leurs valises s’attendaient à un avion un peu plus gros…

Un Piper Pacer virtuel au décollage de la piste courbée d'Ononge (ONB) en Papouasie-Nouvelle Guinée PNG (FSX)
Un Piper Pacer virtuel au décollage de la piste courbée d’Ononge (ONB) en Papouasie-Nouvelle Guinée PNG (FSX)

TAP (Tapini)

Une piste exigeante à sens unique et située près d’une vallée étroite. Vous pouvez même utiliser un ILS pour vous y rendre!

Un DHC-4 Caribou en approche finale pour l'aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou en approche finale pour l’aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

Il s’agit d’une région et d’un aéroport superbement modélisés. Je l’ai visitée avec le DHC-4 Caribou, mais tout autre gros avion ADAC aurait fait l’affaire. Il y a suffisamment de place pour manœuvrer. La piste n’est pas trop bosselée. La pente est intéressante : elle débute en descendant et se termine en montant : cela aide l’aéronef à ralentir après l’atterrissage.

Un DHC-4 Caribou au sol à l'aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou au sol à l’aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel décolle de l'aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)
Un DHC-4 Caribou virtuel décolle de l’aéroport de Tapini (TAP) en Papouasie Nouvelle-Guinée PNG (FSX)

WTP (Woitape)

Cette piste à sens unique et en pente légère semble assez facile d’usage mais elle nécessite des calculs et ajustements assez précis si vous désirez vous y poser avec autre chose qu’un petit appareil.

Un De Havilland DHC-7 virtuel en approche finale pour l'aéroport virtuel de Woitape airport (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)
Un De Havilland DHC-7 virtuel en approche finale pour l’aéroport virtuel de Woitape airport (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)

J’ai trouvé que la piste était assez glissante pour le De Havilland DHC-7. Je dois avouer qu’il y avait un vent de côté important (je volais en météo réelle téléchargée par internet). Le DHC-7 se comporte comme un gros bateau lorsqu’il décélère sur une telle piste.

Un De Havilland DHC-7 virtuel ainsi que deux DHC-6 au sol à l'aéroport virtuel de Woitape airport (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)
Un De Havilland DHC-7 virtuel ainsi que deux DHC-6 au sol à l’aéroport virtuel de Woitape airport (WTP) en Papouasie Nouvelle-Guinée (FSX)

La scène virtuelle de Woitape est superbe. Il est très intéressant de trouver des animaux, personnes et avions virtuels conçus de façon aussi réaliste.

Un De Havilland DHC-7 virtuel au décollage de Woitape (WTP), Papouasie Nouvelle-Guinée, (FSX)
Un De Havilland DHC-7 virtuel au décollage de Woitape (WTP), Papouasie Nouvelle-Guinée, (FSX)

J’adore ce nouveau produit de la compagnie Orbx. Lorsque vous volez dans un paysage aussi réaliste, le cerveau ne fait pas de différence entre ce qui est réel et ce qui est virtuel. Cela fonctionne vraiment! Et si vous utilisez la météo réelle téléchargée de l’internet, c’est encore mieux!

J’ai essayé les sept aéroports inclus dans la scène virtuelle « Tapini » et ils sont exigeants. Yongai a été pour moi celui présentant le plus grand défi. J’ai dû faire deux approches manquées étant donné que je me suis présenté chaque fois trop haut sur l’approche. Mais j’ai éventuellement réussi, comme dans la vraie vie!

Le logiciel Microsoft flight simulator X (FSX) a été utilisé pour tous les vols, mais d’autres plateformes auraient également très bien fonctionné et donné d’excellents résultats (Dovetail Games FSX Steam edition (FSX: SE) et toutes les versions de P3D). Les produits suivants étaient également installés sur mon simulateur de vol : FTX Global, FTX Golbal Vector et Holgermesh, de même que Pilot’s FS Global 2010.

Il s’agit d’une expérience virtuelle totalement immersive et vous devez vous concentrer totalement lorsque vous tentez ces vols virtuels exigeants… si vous désirez en ressortir « virtuellement » vivant!

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Simulation de vol : un DC-3 sur skis sur la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska, sous FSX

DC-3 sur l'aéroport virtuel de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)
DC-3 sur l’aéroport virtuel de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)

Si vous désirez tenter l’expérience de faire un atterrissage virtuel sur une piste de glace, une opportunité vous est offerte par la compagnie ORBX à travers leur aéroport virtuel de Homer (PAHO) en Alaska. Pour le vol virtuel, j’ai utilisé la plateforme FSX mais P3D aurait également donné d’excellents résultats.

DC-3 sur skis au décollage de l'aéroport virtuel de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)
DC-3 sur skis au décollage de l’aéroport virtuel de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)

La piste de glace est juste à côté de la piste principale (et asphaltée) de Homer. J’ai cru que le DC-3 serait un excellent choix pour cette tentative étant donné sa vitesse d’approche très basse et le fait qu’il soit un des quelques modèles seulement d’aéronefs virtuels équipés de skis.

Un DC-3 sur skis tourne en finale pour la piste glacée de Homer en Alaska (FSX)
Un DC-3 sur skis tourne en finale pour la piste glacée de Homer en Alaska (FSX)

Si vous décidez de tenter ce vol, assurez-vous au préalable de configurer votre simulateur de vol pour que l’option de la piste de glace de Homer soit activée, sinon vous allez vous retrouver dans la flotte…

De façon à ajouter un peu de défi en même temps que de réalisme à la scène hivernale, ajoutez un peu de vents de travers et activez l’option « heavy snow » dans FSX. Le programme PrecipitFX aide beaucoup si vous recherchez une meilleure définition des précipitations, que ce soit pour la pluie ou la neige. Pour ce vol, le programme virtuel CumulusX était également activé.

Vue du cockpit d'un DC-3 virtuel en finale pour la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)
Vue du cockpit d’un DC-3 virtuel en finale pour la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)
DC-3 virtuel sur skis en courte finale pour la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)
DC-3 virtuel sur skis en courte finale pour la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)
DC-3 virtuel sur skis au point de toucher le seuil de la piste de glace de Homer en Alaska (FSX)
DC-3 virtuel sur skis au point de toucher le seuil de la piste de glace de Homer en Alaska (FSX)

Ce petit vol s’est avéré une expérience intéressante, étant donné que la piste était étroite et qu’il y avait un peu de vents de travers. Je croyais que ce serait très glissant à l’arrivée mais ce ne fut pas le cas. Peut-être qu’un jour les pros d’ORBX, en coopération avec ceux de FSX Steam (Dovetail Games), modifieront la plateforme de simulation de vol pour ajouter des possibilités de CRFI (JBI) de .40 ou moins de façon à accroître le niveau de difficulté de contrôle de l’aéronef virtuel une fois l’aéronef sur la glace?

Un DC-3 sur skis à quelques pieds au-dessus de la piste de glace de Homer (FSX), produit de la compagnie ORBX
Un DC-3 sur skis à quelques pieds au-dessus de la piste de glace de Homer (FSX), produit de la compagnie ORBX
Un DC-3 virtuel sur skis après un atterrissage sur la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)
Un DC-3 virtuel sur skis après un atterrissage sur la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska (FSX)
Un DC-3 virtuel sur skis remontant la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska (plateforme FSX)
Un DC-3 virtuel sur skis remontant la piste de glace de Homer (PAHO) en Alaska (plateforme FSX)

Étant donné que ce vol n’est pas un exercice très difficile, je l’ai placé dans la section « simulation de vol » de mon site, sous « vols virtuels standards ». Pour d’autres vols virtuels de ce genre, cliquez sur le lien suivant : Autres vols virtuels standards

Amusez-vous à tenter ce vol! Bientôt, je présenterai une autre piste de glace située en Antarctique, dont la scène virtuelle a été conçue par Aerosoft. On peut même y faire atterrir un C-17 Globemaster III

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Simulation de vol : Saint-Barthélemy (TFFJ) avec le Twin Otter d’Aerosoft sous FSX

Commençons avec une vidéo montrant qu’il n’y a pas vraiment de marge d’erreur lorsque l’on tente un atterrissage à l’aéroport Saint-Jean-Gustave III (Saint-Barthélemy) :

Sur cette vidéo, il est possible de constater qu’une vitesse d’approche excessive de l’aéronef le force à flotter au-dessus de la piste pendant de précieuses secondes. Rapidement, il n’y a plus assez de piste restante pour permettre à l’aéronef de s’immobiliser en sécurité.

Il faut donc s’assurer que la vitesse d’approche soit minimale et être prêt à effectuer une approche manquée si les roues ne touchent pas suffisamment rapidement à la piste.

40014 Piste de St Barths TFFJ en vue à gauche et au milieu de l'île (FSX)
40014 Piste de St Barths TFFJ en vue à gauche et au milieu de l’île (FSX)
40015 Un Twin Otter de la compagnie Solomons est en finale piste 10 pour St Barths TFFJ (FSX)
40015 Un Twin Otter de la compagnie Solomons est en finale piste 10 pour St Barths TFFJ (FSX)

Une approche avec un aéronef virtuel de votre choix peut être effectuée à Saint-Barthélemy (TFFJ) étant donné qu’une reproduction de l’aéroport est offerte dans la scène de FlyTampa St Maarten. J’ai tenté un circuit avec le Twin Otter d’Aerosoft, sous FSX, et cela s’est bien passé, étant donné que cet aéronef peut voler à de très basses vitesses et freiner sur une très courte distance.

Cessna 208B N208SG en finale piste 10 pour l'aéroport de Saint Barthelémy, Guadeloupe (sur carte postale aviation)
Cessna 208B N208SG en finale piste 10 pour l’aéroport de Saint Barthelémy, Guadeloupe (sur carte postale aviation)
40016 Twin Otter maintenant en courte finale pour la piste 10 à St Barths TFFJ FSX
40016 Twin Otter maintenant en courte finale pour la piste 10 à St Barths TFFJ FSX
40017 Le Twin Otter touche le seuil de la piste 10 à St Barths TFFJ (FSX)
40017 Le Twin Otter touche le seuil de la piste 10 à St Barths TFFJ (FSX)
40021 Un peu de sable soufflé sur les baigneurs à St Barths TFFJ (FSX)
40021 Un peu de sable soufflé sur les baigneurs à St Barths TFFJ (FSX)
40022 Un Twin Otter de Solomons quitte la piste de St Barths TFFJ (FSX)
40022 Un Twin Otter de Solomons quitte la piste de St Barths TFFJ (FSX)

Pour votre information, la piste 10/28 de l’aéroport de Saint-Barthélemy a une longueur de 2133 ft (650m). Pour l’atterrissage, les vents soufflaient du 031/10G20, ce qui offrait un bon vent de travers. Le plus gros aéronef à avoir atterri à Saint-Barthélemy est un de Havilland DHC-7 de construction canadienne.

Bonne chance dans vos essais à tenter ce vol virtuel! Dans la section «simulation de vol» vous trouverez d’autres idées de vols virtuels exigeants.

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Simulation de vol : l’aéroport Juancho E. Yrausquin et la plus petite piste commerciale au monde (FSX)

Un vol virtuel exigeant sous FSX est assuré lorsque vous utilisez l’aéroport Juancho E. Yrausquin car il possède la plus petite piste pour aéronefs commerciaux au monde. La piste ne fait que 1299 pieds de long (396m) et 60 pieds (18m) au-dessus du niveau de la mer. Le code IATA est SAB et le code ICAO est TNCS.

30314 Un avion Twin Otter en longue finale pour Saba (FSX)
30314 Un avion Twin Otter en longue finale pour Saba (FSX)

L’aéronef virtuel idéal pour cette piste peut être le Twin Otter (DHC-6) ou le Britten Islander (BN-2). Si vous désirez quelque chose de plus gros, le DHC-7 de De Havilland est parfait. Oubliez les réactés, la piste est trop courte.

30315 Un avion Twin Otter en courte finale pour Saba (FSX)
30315 Un avion Twin Otter en courte finale pour Saba (FSX)

Pour ajouter un peu de plaisir, utilisez la piste 30 et sélectionnez des vents de travers importants, avec rafales. Dans les captures d’écran ci-dessous, j’ai ajusté les vents sur l’approche à 030 degrés à 10G20. Pour le vol, j’ai également utilisé CumulusX et PrecipitFX de façon à améliorer l’effet visuel.

30317 Un avion Twin Otter arrive à Saba (FSX)
30317 Un avion Twin Otter arrive à Saba (FSX)
30320 Un Twin Otter de la compagnie Royal Tongan quitte la piste à Saba (FSX)
30320 Un Twin Otter de la compagnie Royal Tongan quitte la piste à Saba (FSX)
30321 Un avion Twin Otter sur la rampe à Saba (FSX)
30321 Un avion Twin Otter sur la rampe à Saba (FSX)

Pour une expérience encore plus réaliste, je vous suggère de vous procurer la scène FlyTampa St. Maarten. Cela vous permettra d’avoir accès à trois aéroports aux approches spectaculaires : l’aéroport de Juancho E. Yrausquin, sur l’île de Saba, l’aéroport de St-Barthélémy (TFFJ) et l’aéroport international Princess Juliana à St. Martin (St.Maarten).

Dans la section « vols virtuels exigeants » de mon site web, j’ai déjà inclus l’approche à l’aéroport Princess Juliana au moyen d’un MD-11. L’approche à St.Barthélémy (TFFJ) sera ajoutée sous peu.

Vous vous amuserez intensément à tenter de réussir les différentes approches à ces trois aéroports. Si vous désirez d’autres idées de vols virtuels exigeants, visitez la section «simulation de vol«.

Je vous souhaite beaucoup de plaisir!

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Simulation de vol : Lukla, l’aéroport le plus dangereux au monde (FSX)

Si vous recherchez un vol virtuel exigeant, pourquoi ne pas essayer le trajet SyangbocheLukla avec le DHC-6 Twin Otter de la compagnie Aerosoft? Il s’agit d’un vol de très courte durée, quelques minutes seulement, où l’avion est continuellement en descente jusqu’à sa destination.

Un avion Twin Otter est en descente de Syangboche pour la piste de Lukla
Un avion Twin Otter est en descente de Syangboche pour la piste de Lukla

L’approche à Lukla est trompeuse, à cause d’une piste en pente de12 degrés. Vous avez l’impression d’arriver trop vite, mais il faut résister à la tentation de diminuer la vitesse : à cette altitude, le décrochage survient à une vitesse plus élevée avec n’importe quel aéronef.

Un avion Twin Otter est en approche pour la piste 06 de Lukla
Un avion Twin Otter est en approche pour la piste 06 de Lukla
Un avion Twin Otter est en courte finale piste 06 pour Lukla
Un avion Twin Otter est en courte finale piste 06 pour Lukla

Il n’y a qu’une piste pour l’atterrissage, la 06. Les départs ne se font que de la piste 24. Il n’y a pas vraiment de possibilité d’approche manquée : c’est la réussite ou l’écrasement, car devant vous se trouve une paroi rocheuse insurmontable.

Un avion Twin Otter se prépare à atterrir sur la piste 06 de Lukla
Un avion Twin Otter se prépare à atterrir sur la piste 06 de Lukla

Le vol se fait donc au départ de Syangboche (code OACI :VNSB, altitude : 3748m et piste de 400m) vers Lukla (code OACI :VNLK, altitude 2860m et piste de 460m).

Un avion Twin Otter se pose sur la piste 06 de Lukla
Un avion Twin Otter se pose sur la piste 06 de Lukla

Le paysage et les objets autour de Syangboche sont une création de la compagnie ORBX. Une fois en rapprochement de Lukla, vous observerez un changement dans la conception du paysage : c’est que la scène n’est plus de la compagnie Orbx, mais plutôt une addition que vous devrez vous procurer: Aerosoft (Lukla). L’intégration des deux paysages est tout de même très bien réussie.

Un avion Twin Otter vient de se poser sur la piste de Lukla
Un avion Twin Otter vient de se poser sur la piste de Lukla
Un avion Twin Otter de la compagnie Kenn Borek sort de piste à Lukla
Un avion Twin Otter de la compagnie Kenn Borek sort de piste à Lukla

Ce vol exigera toute votre attention. Bonne chance! Pour d’autres idées de vos exigeants, visitez la section «simulation de vol«.

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